Le Pouvoir Des Fable Pouvoir Didactique

LES FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. ➢

arguments, pour ensuite pouvoir mieux les reformuler. Ensuite, il faut ordonner les arguments. On peut par exemple les séparer en deux parties : la démarche et la démonstration. Ce qui va nous permettre de repérer les flux argumentatifs du texte. Enfin, il faut illustrer les arguments on énonçant une thèse, soit l’idée défendue. Les trois enjeux de l’argumentation sont : convaincre, persuader, ou délibérer. On cherche à convaincre par l’usage de la raison pour pouvoir mieux défendre sa thèse

FABLES Etude : LES SOURCES Attention : les notes qui suivent portent essentiellement sur les Livres VII à XII des Fables et renvoient à l’édition Folio Classique. NB : Ne pas confondre les sources de chaque fable, càd le texte de départ et les sources de chaque fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. Brefs récits

la Fontaine y emploie un effet de personnalisation, il donne aux animaux le don de parler et un statut social. Il utilise le registre tragique car dans sa fable, le peuple, les petites gens, doivent subir des situations désagréables et inévitables du fait de la volonté de personnes qui disposent d’un certain pouvoir. Le texte est aussi didactique car comme toutes les fables, il se termine par une morale. Le document B est un extrait de poème rédigé par Voltaire en 1756 qui s’intitule « Poème sur

« Le Loup et l'Agneau » La Fontaine Commentaire littéraire Introduction En 1668, La Fontaine fait paraître le premier recueil de ses Fables, duquel est extrait Le Loup et l'Agneau.
Cette fable illustre une morale et met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. Elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier

contradiction entre les deux objectifs, celui du conteur pour le plaisir (qui lutte contre l’ennui) et celui du moralisateur qui donne une leçon morale (peu être vu comme « ennuyeux »). Or ce sujet vient de la théorie exposée par La Fontaine dans la fable « le pâtre et le lion » notamment = la relire ! = « conter pour conter me semble peu d’affaire » ; mais aussi « une morale nue apporte de l’ennui ». La Fontaine refuse d’être un « moralisateur » (souvenez-vous qu’il est « libre penseur », « libertin

315-334 POÉTIQUE DE L’ALLÉGORIE DANS LES FABLES DE LA FONTAINE ALAIN GÉNETIOT* Fécond successeur de La Fontaine, le moderne Houdar de la Motte propose, en préface à ses Fables nouvelles (1719), cette définition toute « géométrique » du genre : La fable est une instruction déguisée sous l’allégorie d’une action. C’est un petit poème épique ; qui ne le cède au grand que par l’étendue, et qui moins contraint dans le choix de ses personnages, peut choisir à son gré dans la nature ce qu’il lui plaît de

et Nouvelles en vers » (1665, 1666, 1671) et ses « Fables » (1668, 1678, 1693) 3- Son importance Fait grimper la fable à son apogée, ouvre la voie à l'apologue. Dénonce certains aspects de la société, pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire, surtout avec ses Contes et ses Fables → récits didactiques, moralisateurs. Utilise des animaux personnifiés pour dénoncer, mettre en garde et critiquer la société du XVIIe (critiques

cohérence générique évidente puisque tous les documents relèvent du genre de la fable mais aussi une forte cohérence thématique dans la mesure où tous évoquent plus ou moins le milieu artistique face au milieu matérialiste bourgeois et les rapports au travail et à l’argent de l’un et l’autre. De plus, il existe une cohérence que l’on pourrait appelée « intertextuelle » puisque que tous sont des réécritures de la fameuse fable de La Fontaine, ce que révèlent déjà leurs titres. L’accent mis, dans les programmes

La Fable de Venus et Vulcain dans « l’Eneas » interpelle beaucoup de par les protagonistes qu’elle nous présente. Deux divinités en principe parfaites y sont cependant dépeintes sous les traits de la faiblesse et des passions humaines. Fâchée avec Vulcain son mari parce qu’il l’a humiliée devant les autres dieux (en raison de son aventure avec Mars), Vénus rompt toute liaison avec ce dernier pendant sept ans. Cependant, lorsque son fils, Eneas, fruits d’autres amours adultérins, se trouve en danger