Le Pouvoir Des Fables Structure

Dissertation Introduction: Les textes argumentatifs à visée persuasive se concentrent sur un sujet unique: «La condition de l'Homme». Tous les textes argumentatifs ne sont pas forcément présentés de la même forme, on peut trouver des fables comme celles de La Fontaine, ou bien des essais comme ceux de Montaigne, ou encore dans un contexte plus contemporain les chansons notamment celles de Renaud, Léo Ferré, Courseaux et bien d'autres. Une question surgit au lecteur de tous ces textes, concernant

Anna Margerin 2°17 Argumentation sur Les deux coqs, La Fontaine I. Présentation : Sous le règne de Louis XIV, Jean de La Fontaine met en place à travers ses fables une critique de la société. Une de ses fables « Les deux Coqs » est extraite du livre VII des Fables de La Fontaine, recueil publié entre 1668 et 1694. Le récit met en scène deux coqs qui se livrent combat pour une poule. Le vainqueur crie sa victoire sur tous les toits et se fait attraper par un vautour. Le vaincu revient finalement

implicite. Dans ses fables, le narrateur a le regard scientifique surplombant d’un zoologue ; cela donne l’impression qu’il domine, qu’il maîtrise les défauts humains et qu’il s’en amuse. Il nous donne également l’impression que les comportements humains appartiennent à des lois naturelles, ce qui les rend d’autant plus dérisoires. Le pouvoir des fables tient dans cet habile mélange de récit et de morale, rappelant les vers initiaux de la fable 1 du Livre VI, Le Pâtre et le Lion : Les fables ne sont pas

décide de s'exposer publiquement, afin de faire part de sa contestation, pour qu'un nouveau procès, plus indépendant, puisse se dérouler. C'est cet article qui relance l'affaire Dreyfus. Cet article représente le symbole de l'éloquence oratoire et du pouvoir de la presse mis au service d'une cause juste et généreuse. Zola s'inscrit dans une tradition d'engagement politique de l'intellectuel. Tous ces écrivains ont su consacrer leur savoir-faire, leur habileté rhétorique, à combattre l'intolérance et l'injustice

fable quand elle n’est pas implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. Pour Phèdre, le fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double : elle suscite le rire et donne une leçon de prudence1. » Cette portée didactique des fables peut expliquer que les fables ont circulé et ont été reprises d'une culture à une autre. Selon G. K. Chesterton, « la fable est une sorte d'alphabet de l'humanité au moyen duquel on a pu écrire les premières certitudes philosophiques; et pour cette raison les figures

comme Perrault ou la Fontaine, ont choisi d'argumenter de manière détournée. Quels sont les avantages et les inconvénients de cette forme d'argumentation ? Plan : A- Argumentation directe I- Elements positifs - Les structures logiques - L’ouverture à l’échange, au débat - Les intentions polémiques II- Eléments négatifs - Ce genre est trop brutal, trop direct. - Il est difficile d’accés. B- Argumentation indirecte I- Eléments positifs

plusieurs recueils de fables. En tout, il en sortit deux recueils de chacun 6 livres. Le premier contient ses textes les plus connus. Dans le deuxième, on y retrouve des textes plus réfléchis, « la métaphore» des animaux est, par contre, moins présente. « Le rat qui s’est retiré du monde » est le troisième poème du livre VII. Nous nous trouvons donc dans le début du deuxième recueil . Cette fable a été écrite en 1678. Elle nous parle d’un rat qui s’est retiré de la société pour pouvoir être seul et méditer

lesquels il est impensable de distraire sans instruire, et l’on peut se demander s’il ne serait pas, en effet, une des formes d’argumentation les plus efficaces qui soient, en raison de sa clarté, et de sa brièveté . Les fables de la Fontaine recourent fréquemment à l’humour. Son pouvoir de persuasion lui vient tout autant de sa clarté. En effet, le récit bref ne souffre pas de grandes complexités : le nombre de personnages est souvent restreint, et l’intrigue offre le minimum de prolongements et de

terrestres concrets qui peuvent « remplir » ce vide, mais un « objet infini et immuable, c’est-à-dire Dieu ». C’est donc de la religion et de la foi que dépend le bonheur. Pour convaincre son lecteur, Pascal construit un raisonnement explicite très structuré, à la rigueur scientifique, dont chaque étape occupe un paragraphe : le premier pose une affirmation que consolident des connecteurs logiques (« et cependant », « donc »). Il procède par généralisation, en s’appuyant sur des phrases assertives

ce qui rend l'apologue encore plus plaisant. La structure narrative de ces textes plaît à tout le monde. Ensuite la fable a une visée didactique, c'est à dire qu'elle fait apprendre certaines choses au lecteur. C'est d'ailleurs le but de la morale. Dans toutes les fables il y a une morale plus ou moins facile à décrypter, elle est placé soit au début comme par exemple dans Le Loup et L'agneau soit à la fin comme dans La Cour du Lion. Dans les fables de La Fontaine l'auteur cherche à dénoncer la monarchie