Le Pouvoir Royal Au Xième Siècle

XIXème siècle, la poésie était définie à partir de la présence ou non de vers et de rimes. C'est ainsi que pendant des siècles, poésie et vers étaient associés, si bien que tout ce qui était écrit en vers était considéré comme de la poésie et tout ce qui était écrit en prose comme de la "non-poésie".La question que nous nous posons est donc de savoir comment définir précisément de la manière la plus affinée possible ce qu'est la poésie car comme le disait très bien le grand poète du XXème siècle, Paul

aux environs du VIIIème siècle, fondé par les Etrusques qui ont fondé une royauté à Rome qui a fini par se transformer en république en -509 et enfin un empire -27. Paragraphe 1 - L’époque royale ou archaïque (VIIIème-VIème av. JC) Aux alentours du VIIIème siècle, Rome : fédération de villages qui sont gouvernés par des clans (gentes/gens), dirigés par un chef (pater ou princeps), chargé de rendre la justice en cas de conflits avec des décisions (décrétum). Dès le VIIème siècle av. JC chef de clans

L’Eglise et les pouvoirs séculiers en Italie et en France au temps des premiers appareils d’Etat (v. 1050-v. 1350) L’Eglise et les pouvoirs séculiers en Italie et en France au temps des premiers appareils d’Etat (v. 1050-v. 1350) La grande ambiguïté : Au fondement de la dialectique entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel dans l’occident Au temps des premiers appareils d’Etat : Opposer société avec Etat et sans Etat n’est pas assez précis pour parler du moyen-âge ; l’idée est de

lèpre au Moyen-âge. Elle se consacre sur une période de trois siècles qui va de 1050 à 1350, sans pour autant oublier les indispensables éléments préalables sur l’histoire de la médecine. Première partie ; lépreux et médecins Chapitre premier ; le médecin médiéval et la lèpre Dans ce chapitre, Françoise Bériac commence par présenter sommairement la théorie des humeurs, pour signaler ensuite qu’Hippocrate (460-377), et au IVème siècle Oribase de Pergame (326-403) suivis par pléthore d’auteurs

qui ont permis l’émergence de notre corpus juridique actuel et donc de mieux comprendre ses forces et ses faiblesses. ♦ Approche chronologique en partant de la fin du Xème siècle pour arriver aux premières heures de la révolution française (fin du XVIIIème). En effet, après la chute de l’empire romain d’occident au Vème siècle, empire romain qui avait modeler le continent a partir de références et de concepts tirés de son droit. Droit lui-même influencé par la pensée grecque (L’Europe a connu ensuite

on trouve les premiers efforts de codification, même si elle est parcellaire. On parlait de compilations « fourre tout ». Cela va changer avec le droit romain qui est plus rationnel. Loi : Règle qui émane d’une autorité législative compétente (Pouvoir politique, institutions …) Coutume : Il n’y en a plus beaucoup aujourd’hui en France. Usage qui par sa répétition prend forme de droit. Habitude de la collectivité, elle va avoir une force contraignante. Exemple : Le Mariage. Jurisprudence :

notre être. Rome est très importante dans l’histoire de la civilisation occidentale car c’est à Rome que Jésus-Christ est né en l’an 0 et instaure donc le Christianisme. Le droit Romain n’est pas seulement celui de l’empire, Il forme pendant des siècles dégénération de juriste au sein des universités médiévale et moderne. Les juristes vont puisse les une partie des solutions aux problèmes d’une pratique principalement régie par le droit coutumier qui dépend des régions, droit extrêmement divers

→ elle est inquisitoireen effet, elle repose sur les initiatives du pouvoir et du juge en particulierl'instruction est assurée par le comte du palais le système probatoire subi

peuvent aussi y participer. L'auteur des Correspondances diplomatique des papes est l'abbé de Chaix de Lavarène. Contexte : On est dans un climat où le pouvoir royal s'affaiblit, ce qui a des conséquences sur l’Église. En effet, vers 990, dans le royaume de France, l'autorité royale s'effondre. Au même moment, Hugues Capet prend le pouvoir et la monarchie n'a plus vraiment autorité sur les ducs et comtes des différentes provinces. En effet, on remarque de nombreux actes de violence commis par

était en effet de faire respecter la loi de Maât, déesse égyptienne de l’ordre, de la justice, de la paix et de l’équilibre. Le pharaon a donc une responsabilité vis-à-vis de son peuple auprès des dieux: son autorité ne se fait pas de par son titre royal, qui n’est qu’une fonction qu’il exerce en tant qu’Homme, mais par le message et le rôle divin qu’il véhicule et que les dieux lui ont attribué. La religion possède ainsi une place prépondérante dans la civilisation égyptienne antique, que ce soit