Le Premier Ministre Sous Mitterrand

La dissolution sous les IV et V ème république Introduction: Le régime parlementaire Français est caractérisé par des moyens d'actions réciproques entre les pouvoirs législatif et exécutif. La séparation des pouvoirs permet au parlement de jouir de la motion de censure et de la question de confiance, face a ce pouvoir l’exécutif dispose du droit de dissolution. La dissolution consiste à mettre prématurément fin au mandat d’une des chambres s’il s’agit d’un système bicaméral, ou du parlement

dernier Conseil des Ministres à peine quelques jours avant. Ces élections sont anticipées donc la campagne est courte. La gauche se présente rassemblée avec Mitterrand pendant que la droite se présente divisée avec deux candidats déclarés. François Mitterrand: Candidat unique de la gauche : François Mitterrand se présente comme une alternative crédible, il était, en 1965, l'homme qui a mis en ballotage Charles de Gaulle lors de l'élection présidentielle (31,72 % au premier tour et 44,80 % au

absolue. Au dernier plan, le panthéon. Au premier plan les sujets, aux ordres du monarque (le parti gaulliste) Comment est ce qu'on gouverne ? Qui gouverne ? Gouverne avec des héritages. Comment gouverner la France en pleine transformation après la seconde guerre mondiale ? I Le cadre institutionnel : comment gouverner ? A) L'Etat-nation, produit d'une longue construction historique À partir de 843 le territoire français existe réellement (traite de Verdun sous Charlemagne). Le fait d'être français

neutralité: le chef d’Etat parlementaire doit être, selon B. Constant un « pouvoir neutre ». Le sens actif est celui qui est couramment utilisé pour désigner les décisions que prend le Premier ministre, dans le cadre de sa fonction de direction de l’action du gouvernement, lorsque les divergences se manifestent entre les ministres par exemple les arbitrages budgétaires. Avec la Ve République le Président devient le juge de l’intérêt général et se trouve ainsi amené a intervenir dans l’action gouvernementale

candidature, ce qui avait ajouté aux relations difficiles avec son ancien premier ministre. A Gauche, il n'y a pas de candidats en mesure de l'emporter. Pompidou l'emporte au 2ème tour avec 58% des voix, le 15 juin 1969. Il nomme Jacques Chaban-Delmas, gaulliste historique, qui ouvre le gouvernement aux R.I et aux centristes. Il continue la pratique gaullienne des institutions, affirmant la suprématie du président sur le 1er ministre. Cette continuité se retrouve également dans la politique étrangère

marianne-en-ligne.fr Mitterrand Petit le prisedeguerrepolitique deNicolasSarkozy vientdefêtersanstambour trompette ses deuxansRuedeValois. Car constat échec estterriblepourceministre quiaccumule lesgaffes estaliénépresque tout monde Mais quoisert encore Frédéric Mitterrand PAR FRÉDÉRIC MARTEL Personnage flamboyant , , il ni ' le d et s' le . à ? scène se passe auxVictoires de musique enmarsdernier Le ministre de Cultureest dans salle

général de Gaulle est la personnalité la mieux placée pour maintenir les trois départements algériens au sein de la République. Les gaullistes reçoivent le soutien occulte de Léon Delbecque, un ancien officier de 39 ans, missionné en secret par le ministre de la Défense Jacques Chaban-Delmas. Léon Delbecque met en place des réseaux de pieds-noirs pour préparer son retour au pouvoir. Dès février 1958, il rencontre le général Raoul Salan, qui commande les troupes en Algérie, et tente de le convaincre

nationale peut renverser le gouvernement (l'unique cas étant celui du premier gouvernement Georges Pompidou le 5 octobre 1962 à la suite du vote d'une motion de censure) ; — le président de la République peut dissoudre l'Assemblée nationale, après consultation du premier ministre et du président de chacune des deux assemblées2 (ce qui survient à cinq reprises : Charles De Gaulle le 9 octobre 1962 puis le 30 mai 1968, François Mitterrand le 22 mai 1981 puis le 14 mai 1988, Jacques Chirac le 21 avril 1997)

répartition des pouvoirs et l’équilibre des organes au sein de l’Exécutif sous la V° République I/ Le fonctionnement hiérarchique de l’exécutif en période de concordance des majorités présidentielles et législatives : le partage vertical du pouvoir Les périodes de concordance des majorités, « période normale », se caractérisent par les éléments suivants : 1ère : il y a un accord politique entre le Chef de l’Etat et le 1er ministre 2ème : il y a un accord politique entre le Chef de l’Etat et la

grands électeurs, donc au suffrage universel indirect, nomme le premier ministre et préside le Conseil des ministres; Il assume les pouvoirs classiques prévus par les deux constitutions précédentes ( promulguer les lois, signer les traités et être le chef des armées ). En plus, il peut dissoudre l'assemblée et prendre les pleins pouvoirs en cas de situation grave ( article 16 ). Il peut consulter directement la population sur une question sous forme de référendum. ← L'autorité du gouvernement