Le Prisonnier

caverne 2. Donnez aux sections du récit un titre descriptif qui illustre ce qui s’y passe. - Section 1 : Décor de la caverne et de ce qui s’y trouve. - Section 2 : Les prisonniers croient que tout ce qui est autour d’eux n’est qu’ombre. - Section 3 : La libération du prisonnier - Section 4 : La découverte de la lumière par le prisonnier -Section 5 : La réflexion du captif sur ce qu’il connaissait des ténèbres et les découvertes qu’il fait. - Section 6 : Comparaison de la connaissance avec la lumière

faire la même chose, décide de faire don du sien à deux prisonniers chinois pour leur permettre d'éviter le bûcher. Pour étudier cet extrait, nous traiterons de la fraternité entre des hommes déshumanisés avant d'aborder l'influence que ces derniers ont sur le héros pour finir par étudier les implications de la décision de Katow. On observe que l'action évolue dans un monde très sombre tant au niveau psychologique, car les prisonniers sont condamnés au bûcher, qu'au niveau descriptif, il y

par les prisonniers et les conditions dans lesquelles ils l’effectuent. -         Thèse de l’ouvrage : o       Les principales problématiques : Dans quelles conditions les prisonniers travaillent-ils ? Le travail effectué par les prisonniers leur permet-il d’avoir des remises de peine ? La réinsertion des prisonniers est-elle favorisée par le travail en prison? o Le livre se divise en quatre parties : Dans une première partie, l’auteur nous informe sur les salaires des prisonniers, des inégalités

1. Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l'idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d'une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l'impossibilité de penser à autre chose. / Un jeune prisonnier dont on ignore le crime évoque sa tourmente : condamné à mort il est hanté par l'idée de son exécution prochaine. Douleur psychologique bien plus abominable que la douleur physique de la

aRésumé de ‘ Le dernier jour d’un condamné’ Chapitre par Chapitre CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre chose. CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son

signifie »combien de pièces ? » Les pièces désignant les prisonniers. Ils sont embarqués dans un train de marchandises tel du bétail. Ils sont considérés comme des animaux : « Wer hat noch zu fressen ? » (Chap7 p°115). Le mot allemand « fressen » qui signifie manger chez les animaux est utilisé à la place du mot « essen ». Ils ont perdu tout ce qui fait d’eux des hommes. La déshumanisation passe aussi par le corps. Une fois au camp, les prisonniers sont déshabillés, tondus, tatoués d’un numéro sur le

Pour cela nous étudirons tous d'abord le personnage de la Zeilenesseniss, qui s’enlise de plus en plus faces aux nombreux prisonniers, puis en deuxième axe nous étudirons le comportement de Brodeck ainsi que la narration particulière que celui-ci fait de cette mort. Développement : I. La Zeilenesseniss un personnage qui s'enfonce de plus en plus face aux nombreux prisonniers Contraste entre le passé et le présent : les anciens droits et devoirs de cette femme deviennent de vieux privilèges.

mourir. III. La transformation de l'homme en prisonnier L'homme en lui même n'ai plus ! Après l'arrivée au camps, ceux qui ne seront pas destinées à la chambre à gaz, ce verront dépouillés de leurs biens, de leurs vêtement, de leurs chaussures et même leurs noms qui seront bientôt remplacé par des numéros qui sont inscris avec une petite aiguille à pointe bleu. Il faut alors des semaines voir des mois pour que les hommes deviennent de «bon» prisonniers. Les déportés sont roués de coups car ils

réserve des soins à leur fournir en vertu de l'article précédent, les blessés et les malades d'une armée tombés au pouvoir de l'autre belligérant seront prisonniers de guerre et les règles générales du droit des gens concernant les prisonniers leur seront applicables. Cependant, les belligérants resteront libres de stipuler, en faveur des prisonniers blessés ou malades et au delà des obligations existantes, telles clauses qu'ils jugeront utiles. ARTICLE 3. Après chaque combat, l'occupant du champ

implore la pitié mais il sait déjà que son sort est scellé. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné. CHAPITRE1 Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l’idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d’une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l’impossibilité de penser à autre chose. CHAPITRE2 De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et