Le Proces De Socrate

témoignages dans leur authenticité primitive ; retrouver le texte original (Criton, Platon : traduction d’Emile CHAMBRY (1965) : « Merveilleux Socrate » (2004) : « Diable de Socrate » Jacqueline Morne (2001) : « Oh mon cher Socrate » Isabelle Colin : (2006) « w daimonie Swkratex » « oh dionisiaque Socrate » >> CF Dionysos, le dieu de l’inspiration des arts : « Socrate, toi qui m’inspires tant de choses » il faut faire la chasse aux interpolations c’est-à-dire aux choses qui sont rajoutées au texte initial

pour fonction la réglementation des relations entre les individus et pour fin, le maintien de l’ordre et de la paix sociale. Etre juste selon cette perspective, c’est être dans le légal tout comme l’a été Socrate, en acceptant sa condamnation à mort. Or, le sort qui a été réservé à Socrate nous montre que ce qui est légal, n’est pas toujours légitime. En ce sens, que les lois de la Cité ne correspondent pas toujours à l’idéal de justice. Ainsi, de toute évidence, on ne peut pas considérer comme

l’interprétation de la loi et la suppléance de la loi. 1) L’élaboration de la jurisprudence. L’application : la jurisprudence utilisera le syllogisme (majeure, mineure, solution), crée par Socrate, qui permet en partant d’une constatation d’arriver à une solution (Socrate est un homme, tous les hommes sont mortels donc Socrate est mortel). Dans le syllogisme judiciaire on a tout d’abord la proposition majeure qui est la règle de droit, puis la proposition mineure qui pose les faits juridiques d’espèce (ce

L’apologie de Socrate, Platon (399 av J-C) Dans l'Apologie de Socrate, Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès. à Athènes qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes (composant le Tribunal de la Cité). Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse, non-reconnaissance de l'existence

Livre : «  De la problématologie » (Livre : La problématologie) Les questions que la philo travail sont des questions d’histoire, la philo est indis de son histoire. Ex : Avec l’art, on va voir des peint des anciens peintres (musé) Platon (maitre Socrate) on dit qu’il est le père de la philo. Important dialogue : Le Menon et la république. Platon, a créé l’académie, a un élève (son plus fidèle opposant) Aristote qui a créé le lycée. Il n’a pas de « matière » dont il n’est pas le père, on l’appelle

 Chapitre 1 : Les penseurs grecs Socrate    On dit que Socrate a hérité du métier de sa mère  Il se disait « Sage-Homme ». Si sa mère accouchait les corps  Socrate s’occupait d’ACCOUCHER LES ESPRITS. Comment ? Il laissait sortir les vérités et vérifiait ces vérités par le questionnement.  Il évacue d’abord les pensées toutes faites et les opinions, en montrant, par des contre-exemples, leur fausseté ou leur fragilité jusqu’à aboutir sur une idée juste. Cet art d’accoucher les

s’occupe de gérer la maison et les esclaves. Si une personne de passage reste plus d’un mois à Athènes, elle est alors enregistrée et considéré comme métèques. Il sera alors placé sous la protection d’un proscène (celui qui le protègera dans un procès) les métèques doivent aussi payer un impôt particulier, et ils ont aussi le devoir de protéger la cité (par exemple en tant que rameur). Dans de rares occasions il arrivait qu’un métèque devienne citoyen (actions ou renommée illustres). I/ L’organisation

Mythos              Logos But : Chercher le principe unique de toute chose (explication + scientifique)   La philosophie nait en Grèce en Ionie (cotes turques) au 6ème S avt J-C. Suite à l’invasion des Perses. Au 5ème S à Athènes. Evénement fondateur : Procès + mort de Socrate en 339 ACN   Présocratiques = Précurseurs de la rationalité (principe de toute chose):   -          Thales : (Ionien début 6e S ACN) Eau= élément par raréfaction et condensation forme tout ce qui existe. -          Pythagore : (fin 6e

ou de l’utilité qui domine dans les sociétés industrielles dites « de consommation » semble peu en accord avec les exigences et le cheminement d’une discipline dont le propre est le désintéressement (Les juges ne reprocheront-ils pas à Socrate, lors de son procès, de ne pas se faire payer pour ses « leçons » ?), le goût pour les questions plus que pour les réponses, le souci des « jeux de langage » (concept de Ludwig Wittgenstein)... Si l’on affirme, selon la formule prosaïque, que le temps c’est

entre avec elle. Par ailleurs, « calcul des plaisirs » ? interrogerait Socrate. Calcul par rapport à qui ? Par rapport à la personne qui calcule, bien sûr. Du coup, avant de « calculer » quoi que ce soit, la personne en question doit mener une belle introspection. « Gnôthi seauton » : connais-toi toi-même. Inspecte-toi. (Voir aussi, pour comparer, la première partie du corrigé « moderne ».) Socrate, lors de son procès (voir ce cours), déclare à ses juges : « Moi, je vous rends vraiment heureux