Le Processus De Marchandisation

politiques. Bien que les médias n’aient pas le pouvoir de changer le cours de l’histoire, les médias peuvent l’accélérer. II. Approche psychologique L’approche psychologique est importante car il faut étudier la naissance du paradigme sur les processus d’influence. On assiste à une massification (pas au sens quantitatif) mais au sens de masse informe et de mélange des catégories sociales. Quel que soit les classes sociales, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Cette société moderne produit

de mise en œuvre des décisions, avec des engagements de libéralisation moins ambitieux ou de mesures visant à accroître les débouchés commerciaux ou l’assistance technique. AGCS L’Accord général sur le commerce des services (AGCS) vise la marchandisation et la libéralisation de tous les secteurs des services, y compris les services publics: l’éducation, la distribution et la gestion de l’eau, les transports en commun, les parcs naturels… Seuls sont exclus la défense, la justice, les services administratifs

travail va entrainer une différenciation sociale. Weber : rationalisation La société moderne est caractérisée par un mouvement, un processus. La société change, mais toujours selon un processus de rationalisation. Elias : individuation et socialisation Il faut à la fois tenir compte de l’individu et de la société. Cette relation s’étudie à travers deux processus : celui d’individuation (la société moderne nous oblige à nous individualiser) et celui de socialisation (les individus vivent en société

répondre à l’attente du marché. Il faut savoir produire, vendre et communiquer avec le marché, nous sommes en économie de marché. Les concepts de segmentation (1954), de marketing mix (1958) apparaissent. C’est l’ère du mix et de la connaissance des processus de consommation (Ecole managériale 1950 / 1970). 1.4 L’économie d’environnement (du client au citoyen) L'offre est toujours supérieure à la demande (contexte d’hypercompétition) mais l'entreprise est de plus en plus dépendante de son milieu et

sociaux sont réduit voir niés et les services publiques sont remis en cause par privatisation. L'action des organisations internationales (OMC FMI...) ainsi que les politiques des unions régionales sont orientées vers la libéralisation et la marchandisation des activités humaines. Le modèle de développement impulsé par le capitalisme remet en cause les limites des écosystèmes et met donc en danger les droits des générations futures. Les biens communs de l'humanité sont menacés par le biais de brevet

ne sont pas considérés commes des individus à part entière mais comme des éléments qui participent à la production de Business. On s'est apérçu que la taylorisme avait un inconvénient majeur: conscidérer l'individu comme un élément nécessaire au processus productif. Le fordisme est encore pire que le taylorisme. Dans cette logique là on a mené dans les années 30 aux États-Unis des expériences. Expériences de (usine) HANTHORNE: lieu de production qui appartenait à la Western Electric (ancêtre d'Alcatel-Lucent)

Mondialisation Carte du monde Le terme de mondialisation (aussi appelée globalisation) désigne le processus d'intégration des marchés et de rapprochement des hommes qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication à l'échelle planétaire1. Elle se manifeste par, outre l'interdépendance croissante des économies (mondialisation économique) et

presse écrite, radio, et télévision (voir notamment Miège et al., 1986). Ce courant de recherche, inscrit plus largement dans la perspective de l’économie politique de la communication attentive aux implications sociétales et politiques de la marchandisation de la culture et de l’information (Mosco, 1996 ; Calabrese & Sparks, 2004), s’est développé en affinant ses modèles théoriques jusqu’à intégrer aujourd’hui les derniers développements numériques (Bouquillion & Combès, 2007). Quelques chercheurs

i e ✴ Urb a n i sa ti on ✴ Diff us io n de la co ns o mma ti on d e ma s se ✴ N o u v e l l e s v a l e u r s  : é m a n c i p a t i o n fé mi n in e , i nd i vi d u a lis me ✴ Dé mo cra ti s at io n d e lʼenseignement ✴ Intensification de la marchandisation: ex: le s s erv ic es à la p e rso n n e ( so i n a u x vie illa rds , ga rd e d e s e n f a nt s .. .) é t ai e nt au t ref o is bé n é vo l es . remplacent souvent des hommes ( s u b s t it u t i o n d u ca p i t a l a u t r a v a i l) ca r

l'ordre consumériste. Même la religion ne constitue plus un contre-pouvoir à l'avancée de la « consommation-monde » : le christianisme, par exemple, s'est adapté aux valeurs d'épanouissement personnel, de bonheur privé, et on assiste même à la marchandisation des activités religieuses et para-religieuses. Aussi, si l'éthique et la responsabilité se sont introduites dans la consommation, elles n'en changent pas « l'ethos consumériste ». La consommation s'immisce alors dans le couple, la politique, le