Le Progrès Entraine T Il Le Bonheur

que tout est au mieux. » Candide écoutait attentivement, et croyait innocemment ; car il trouvait Mlle Cunégonde extrêmement belle, quoiqu'il ne prît jamais la hardiesse de le lui dire. Il concluait qu'après le bonheur d'être né baron de Thunder-ten-tronckh, le second degré de bonheur était d'être Mlle Cunégonde ; le troisième, de la voir tous les jours ; et le quatrième, d'entendre maître Pangloss, le plus grand philosophe de la province, et par conséquent de toute la terre. _Extrait du chapitre

Travail et technique comme facteur d'aliénation La domination de la nature La transformation de la nature devient une domination et une exploitation de l'homme Rousseau (1712-1778) : -Le progrès technique implique une décadence morale. La dépossession de soi-même Le machinisme entraîne par l'automatisation une dégradation des conditions de travail. Marx (1818-1883) : -L'ouvrier ne peut plus s'humaniser ni avec le travail ni ailleurs (salaires trop bas). L’assujettissement du

distingue de nombreux parallèles entre son auteur et son héros. Mais Voyage au bout de la nuit est avant tout un roman initiatique dans lequel le thème de l’errance tient une part importante. Le narrateur et personnage principal, Ferdinand Bardamu, est entrainé malgré lui dans des aventures qui lui permettent de murir mais également d’ouvrir les yeux face à l’horreur, à l’absurdité et au grotesque de l’existence humaine. Après avoir été blessé durant la guerre, Ferdinand voyage en Afrique et aux Etats-Unis

peut nous servir d’exemple et ainsi régler les difficultés de notre société. Ainsi, Montesquieu décrit dans les Lettres Persanes la société des Troglodytes. Les Troglodytes sont des êtres bons et vertueux qui se ravissent d’une vie champêtre mêlant bonheur, joie et simplicité. Ils ne connaissent pas la propriété, tous les Troglodytes sont donc parfaitement égaux, ce qui assure une entente parfaite entre eux. De même, dans le texte de Fénelon, le peuple habitant la Bétique est un peuple heureux, qui

sa démarche. 2. Prospérité et dépression Dans ce second chapitre, Daniel Cohen développe, à travers l’analyse des grandes de l’histoire économique et a contrario les périodes de prospérité, le thème devenu majeur qui est celui du bonheur des hommes. Il donne alors une nouvelle lecture des deux guerres mondiales qui diffère des analyses précédentes. En effet, les grands faits économiques qui ont pu être avancés pour expliquer le déclenchement de la Première Guerre mondiale

- la hausse du facteur travail (population active) ; - la hausse du facteur capital (accumulation du capital, investissement, achat de machines et de biens d'équipement...) ; - la hausse de la productivité (efficacité productive) liée au progrès technique. La croissance extensive du XIXème et de la première moitié du XXème siècle s'explique, pour une large part, par l'augmentation de la population active (facteur travail) et des machines utilisées (facteur capital). La croissance intensive

compliqué des généalogies». Aussi trouve-t-elle Julien de Lamare «très comme il faut». Par son immobilisme final, elle annonce le comportement de Jeanne. Le baron a adopté un rousseauisme qui a pu favoriser les malheurs de sa fille. Il croit au progrès ; il veut «laisser faire la vie» ; dans un XIXe siècle dépourvu de tendresse, il voit dans le monde entier une force bonne et généreuse «produisant sans but, sans raison et sans fin dans tous les sens et dans toutes les formes à travers l’espace infini

Entre 1850 et 1940, l’Europe puis d’autres pays comme les Etats-Unis et le Japon connaissent une formidable croissance économique grâce à l’industrialisation de leur économie. Ce phénomène, fondé sur deux révolutions industrielles importantes a entraîné la transformation de la société. Face à l’apparition d’inégalités sociales, de nombreuses réflexions ont été développé afin d’améliorer la société. Apparition du Taylorisme : Vers 1880, l’ingénieur américain Taylor souhaite organiser le travail

bien nécessaire voire même primordial. Mais jusqu'où cette nouvelle manière de communiquer peut conduire ces utilisateurs ? On entend souvent parler dans cette ère de la communication à outrance que les nouvelles technologies vont nous apporter bonheur et liberté. Certains affirment même qu'elles permettent d'effacer de nombreuses frontières qu'elles soient physiques, temporelles voire parfois psychologiques. Cette spectaculaire explosion d'une volonté certaine de disponibilité semble tout à

les) sens à retenir pour chacun des mots-clefs? 6. Quelles sont les limites de validité spécifiées dans l'énoncé par les mots-outils (généralisation universelle, spécification, restriction exclusive...) ? 7. Quels sont les rapports logiques entraînés entre les parties de l'énoncé par les mots-outils (cause, conséquence, comparaison, opposition, condition, but...) ? 8.* Quel est le thème de l'énoncé (ce dont parle l'énoncé)? Est-il explicite ou implicite? 9.* Quel est le propos de l'énoncé