Le Protectionnisme Dans Les Pays émergents

c’est nécessaire. En ce sens, Nicolas Sarkozy n’est pas libéral. Il est beaucoup plus interventionniste que libéral. Mais je n’ai pas fini. Aux trois idées force que je viens de citer, il ajoute une pointe de protectionnisme lorsqu’il parle de réciprocité commerciale dans les échanges extérieurs, de communication politique avec ces déplacements dans des usines pour séduire et convaincre ce public ouvrier, qu’il craint de perdre. Et qu’il risque de

Exposé Histoire- Géographie : Une mondialisation en débat. Plan : Introduction : Aujourd’hui on parle beaucoup de la mondialisation et de ses aspects positifs : accroissements des contacts entre les continents et les pays, progrès remarquable d'internet et des moyens de communication et la multiplication des échanges notamment culturels. Mais lorsque l'on remet ce processus dans son contexte, on peut se rendre compte que les bienfaits de cette mondialisation ne profitent qu'à une minorité. En

en Asie 16 Transfert des réserves des banques centrales 16 Impact sur l’économie mondiale 18 Recyclage des capitaux 18 Les fonds souverains, garants du financement de long-terme 19 Financement de grands projets 21 Développement des pays émergents 21 Visées stratégiques 22 Assurer l’indépendance énergétique 22 Acquérir des technologies et du savoir-faire 22 Opacité, réactions et contre-réactions 23 Souveraineté publique et opacité 23 Contrôle public des fonds 23 Opacité 24

Aujourd’hui le monde est multipolaire, non seulement la domination britannique n’est plus elle a cessé des les années 1930. Le monde est marqué par l’émergence de nouvelles puissances. Effondrement du rôle de la GB et des Etats Unis, émergence des pays comme la Chine ou l’Inde. Il faut également tenir compte du jeu des firmes. Economie pop (idée de Paul Krugman) : monter l’opinion contre l’étranger. Ce n’est plus l’accès aux matières premières ou aux débouchés qui motivent les firmes, c’est aussi

traiter 1. Quelle a été la réaction de la plupart des pays face à la crise économique et quelles ont été leurs conséquences sur les échanges mondiaux ? La récession économique mondiale de 2008/2009 fondée sur un effondrement de la demande globale en Europe et en Amérique du Nord s’est traduite par un recul brutal du commerce de marchandises de plus de 10 % en 2009. Ce recul a été amplifié par les politiques commerciales de la plupart des pays et notamment de ceux du G20, qui ont soit durci les conditions

libre concurrence et du libre échange avec diminution des taxes douanières et lutte contre les situations de monopole et de dumping. *la DIT (division international du travail) en fonction de leurs avantages comparatifs (pays ateliers,pays high-tech,pôle de puissance=pays donneurs d'ordres) *financiarisation de l'économie : correspond à libéralisation des capitaux et à l'augmentation de la spéculation boursière. ->certaines FMN ont des capitaux >>>> PIB de certains Etats. Les revenus de la

a le bloc de l’est (PDES pays développé a économie socialiste), le bloc de l’ouest. Puis il y a le reste : le tiers monde : pays non industrialisés (Afrique, Amérique du sud). Expression qui rappelle le tiers état. Il estime qu’il y a deux blocs privilégié alors que le reste du monde ne bénéficie pas de cette protection et qui plus est le terrain des affrontements de la guerre froide : La guerre de Corée, Cuba, guerre du Vietnam, Afghanistan. Il faut aider ces pays là. Et la question est d’autant

protection sociale dans les grands pays développés " (Ecricome 1989) ou encore " Comment expliquer les écarts existant entre les taux de chômage de différents pays développés ? (ESCP 1998). Dans ce cas, il est possible de privilégier le cas français, sans toutefois s’y limiter.Le sujet peut ne reposer sur aucun cadre précis, il concerne alors l’ensemble des pays développés ainsi que ceux du tiers monde. Exemple : " Commerce international et protectionnisme depuis le premier choc pétrolier

niveau mondial comparativement à beaucoup de pays concurrents ou émergents ; * la progression du taux d’ouverture est essentiellement due aux importations, ce qui renseigne sur le degré de dépendance du Maroc vis-à-vis de l’extérieur ; * la faible contribution des exportations à la croissance économique ; * le recul de la part de marché du Maroc au niveau mondial ; * la concentration des ventes à l’étranger sur quelques produits et quelques pays ; * la faible valeur ajoutée des produits

internationales (FMI, GATT puis OMC). 3. Des répercussions : développement des États aptes à jouer avec ces règles : les États du Nord (Triade...) un certain nombre d’Etats du Sud qui ont ouvert leurs frontières au commerce mondial (pays émergents, États pétroliers, pays-ateliers)), marginalisation et appauvrissement des États ne disposant pas des atouts pour s’ouvrir (PMA). Les Etats semblent donc hors-jeu dans la mondialisation, condamnés à devoir s'adapter à des règles du jeu qui ne seraient