Le Protectionnisme Dans Les Pays émergents

coûts de productions. Chaque pays va se spécialiser dans un domaine ou il excelle et ou les coûts de production sont inférieurs à tous les autres pays, et va acheter dans les pays extérieurs ou c’est moins cher. Productivité = quantités produits / moyens mis en œuvre. Théorie des avantages comparatifs de David Ricardo (19ème siècle) Les pays doivent s’entraider, faire du commerce ensemble. Le pays n’est pas obligé d’être le meilleur pour se spécialiser, chaque pays à intérêt a se spécialiser et

écrit en juin 1997 par Martin Wolf du Financial Times I. Le phénomène de mondialisation A. Définir la mondialisation Le Fonds monétaire international (FMI) définit la mondialisation comme « l’interdépendance économique croissante de l’ensemble des pays du monde, provoquée par l’augmentation du volume et de la variété des transactions transfrontières de biens et de services, ainsi que des flux internationaux de capitaux, en même temps que par la diffusion accélérée et généralisée de la technologie »

encore technologique . Ces phénomènes conduisant à une intégration croissante , d'espace et d'homme à l'échelle mondiale avec les communications . Pour que la mondialisation soit positive , il faudrait pour certain , diminuer la sur-représentation des pays riches dans les grandes instances internationales comme l'OCDE . Cela revient à dire qu'une mondialisation plus équitable nécessiterait une refonte de l'ordre mondial . Ce terme est devenu un mot passe partout . En effet il évoque une certaine fatalité

L’Organisation Mondiale du Commerce est aujourd’hui le fer de lance de la mondialisation. Tous les pays ou presque souhaitent en faire partie. Pourtant les critiques ne manquent pas et les conflits internes sont rudes. Le dernier cycle de négociation du GATT (General Agreement on Tarifs and Trade – forum permanent créé en 1947 pour encadrer et favoriser le commerce entre toutes les nations du monde) a donné naissance à la date du 1er janvier 1995 à l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Cette

boucs émissaires. Le libre échange est un système de commerce international reposant sur la libre circulation des marchandises. La main d’œuvre des pays développés entre en concurrence avec celle des pays émergents, moins payée, ce qui exerce une pression négative sur les revenus des salariés ainsi qu’une fuite des capitaux vers les pays en expansion. Le libre échange n’est pas remis en question par nos dirigeants. Quelles sont les causes de cet aveuglement ? En France, les économistes ne

la croissance économique. Cette relation a été renforcé au cours des années 2000, alors que l’ouverture commerciale et la libéralisation des échanges s’est largement développée. En fait, elle provient du constat suivant : l’évolution de nombreux pays grâce à ces échanges a permis l’enrichissement de leur population et l’amélioration des conditions de vie. Donc les échanges ont engendré un progrès. Ils seraient donc favorables au développement. De plus, l’ouverture commerciale a été marquée par

graphe  part des pays en dvlpmt dn le stock d’IDE = en augmentation très forte dps fin WWII mais surtout dps 90s, dû à montée Chine. Cf carte  flux polarisés par la Triade, et plus précisemment l’UE, les EU, le Japon. Place particulière de l’UE, mais UE reste la somme de l’ensemble des pays, stocks surtout Fra, All, RU. Le Japon à d’avantage de stocks entrants que de stocks sortants : protectionnisme pour les stocks entrants, mais laissent les IDE partir du pays. Pour les pays dvlppés, flux entrants

Mondial de Bien et de Service Mesure du commerce Mondial Balance des paiements Retrace les flux d’actifs financiers monétaires des résidents d’un pays et les non-résidents. Composé de 3 éléments : -Compte de transactions courantes : prend en compte les B/S. -Compte de Capital : Brevets, Dettes et créances que l’on a vis-à-vis d’autres pays. -Compte financier : Investissements Directs à l’Etranger IDE. Solde de la Balance des transactions courantes : Excédentaires : Exportations supérieures

importations), avec, dans le cas algérien notamment, un modèle de développement industriel qui, sans aller jusqu’à viser l’autarcie, avait l’ambition de rompre avec l’« économie mondiale capitaliste ». Ces politiques s’accompagnaient d’un protectionnisme en matière de commerce extérieur. Les exportations étaient alors largement dominées par des biens primaires (agriculture, produits miniers, hydrocarbures, phosphates..). Cependant, ces modèles amenèrent une augmentation et une diversification

phases depuis le 18ème siècle, jusqu’au démantèlement du protectionnisme des années 1930, et au renforcement du libéralisme après 1945, et surtout dans les années 1980-1990. Les institutions économiques internationales[2] sont engagées depuis le milieu des années 1990 dans un effort de renouvellement sans précédent. Le club des pays riches, l’Organisation pour la Coopération et le Développement Économique (OCDE) s’élargit aux pays émergents, ainsi que la Banque des Règlements Internationaux (BRI)