Le Président Est Il Un Monarque Républicain

entre démocratie et monarchie a été remise en cause par les républicains et l’extrême droite. Ces évènements ont poussé Juan Carlos Ier (18 juin 2014) à défendre publiquement le rôle de la monarchie parlementaire : "La monarchie a permis à l’Espagne de vivre sa plus longue période de stabilité et de prospérité en démocratie". La monarchie constitutionnelle (Une monarchie constitutionnelle est un type de régime politique qui reconnaît un monarque élu ou héréditaire comme chef de l'État, mais où une constitution

- En 1848, la France connaît une grande agitation politique : - Février : chute de la monarchie de Louis-Philippe. Des Républicains sociaux proclament la IInde République. - Avril – Mai : arrivée au pouvoir des libéraux et conservateurs, souvent royalistes (Cavaignac, républicain modéré mais non socialiste). - Décembre : élection du 1er président de la République, Louis-Napoléon Bonaparte, qui ne songe qu’à la restauration de l’empire. - En décembre 1851, L. N. Bonaparte

France est une période de profonds changements et d'instabilité politique. Même si la Révolution française se termine en 1799, ses conséquences se prolongent jusque dans le dernier quart du XIXe lorsque la Franc trouve enfin l'équilibre politique républicain dont les insurgés de 1789 ont rêvé. L'héritage social et culturel de l'Ancien Régime est lourd et le pouvoir se place là où se trouve la puissance financière. En même temps, les bouleversements scientifiques et techniques changent la société française

Histoire des institutions publiques (1870-1879) Chapitre 1 : L’installation des Républicains au pouvoir (1871-1879) Dates clés : • 1870 : Napoléon II déclare la guerre à la Prusse. • 2 septembre 1870 : Napoléon III est vaincu à Sedan. • 4 septembre 1870 : le gouvernement provisoire s’est installé au Palais Bourbons et décide de poursuivre la guerre. • 19 septembre 1870 : Paris est assiégé par les Prussiens. • 18 janvier 1871 : c’est le début du II Reich

Cette convention est animée par 2 équipes qui se disputent le pouvoir : les montagnards et les girondins (autre appellation des brissotins). Après un coup de force des montagnards contre leurs rivaux les girondins (début juin 1793), la France républicaine est soumise à un pouvoir terroriste collégial animé par les jacobins (=montagnards sont là dedans) et notamment par Maximilien Robespierre. C’est un pouvoir collégial terroriste qui dure jusqu’en juillet 1794 date de l’élimination de Robespierre

met en place entre 1789 et 1792 amorce en certains points une monarchie parlementaire, notamment à travers la responsabilité pénale des ministres, le double jeu royal et la suspicion à l'égard du souverain ne permettent pas de faire de Louis XVI un monarque parlementaire. De même, la I ère République s'attache à empêcher que l'un des pouvoirs renverse l'autre en leur refusant des moyens d'action réciproques. A la chute de Napoléon en 1814, en réaction à l'échec des régimes précédents, le Sénat impérial

Le Président du Conseil sous la IIIe et le IVe République : Comme le parlementarisme, la fonction de Président du Conseil à été paradoxalement emprunté au système alors même que l’on met en place la IIIe république. La IIIe République est née de manière inattendue la 4 septembre 1870, après plus de 80 ans d’instabilité constitutionnelle, et marque donc l’installation quasi définitive d’un régime républicain. Il sera le régime politique le plus long depuis la révolution de 1789. Cette troisième

: La mise en place de la monarchie de juillet ( 1830-1848) - révolution de juillet 1830 = une révolution médiatique car la presse est menacée d'être soumise au pouvoir du roi + fin du règne de Charles X - arrivée de Louis Philippe d'Orléans, monarque libéral = révision de la Charte constitutionnelle de 1814 => réintroduit la liberté de la presse Charles Philipon : - novembre 1830 : édite et rédige le 1er périodique politico-satirique La caricature politique, morale et littéraire avec Daumier

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE : ARBITRE OU CAPITAINE ? « Tantôt je pense, tantôt je suis » affirmait Paul Valéry en pastichant la célèbre formule cartésienne, et l’on serait tenté de détourner de même la proposition de Jean Massot : « arbitre et capitaine », le président de la République ne serait-il pas plutôt tantôt arbitre, tantôt capitaine ? En effet, à considérer la lettre de la Constitution du 4 octobre 1958, on ne peut manquer de relever son article 5, lequel confère le soin, au chef

présidentiel La conception stricte de séparation des pouvoirs implique une cloison étanche entre pouvoir législatif et exécutif. En régime présidentiel, l'exécutif est par ailleurs moniste. Le pouvoir exécutif est confier en entier à une personne (président) qui cumule les fonctions de chef d'Etat, du gouvernement voir de gouvernements. Ainsi ses collaborateurs, secrétaires, ne forment pas un gouvernement, ils sont nommés et révoqués librement par le parlement. Ce dernier détermine et conduit la politique