Le Président Est Il Un Monarque Républicain

l’exécutif Adolphe Thiers. - La levée de l’hypothèque révolutionnaire Il y a 3 forces en présence : monarchistes, révolutionnaires et modérés. Le 18 Mars 1871, les révolutionnaires parisiens se soulèvent et créent un mouvement appelé la Commune (républicains). La Semaine sanglante du 22 au 28 Mai 1871 est l’épisode final de la Commune de paris, où celle-ci est écrasée et ses membres exécutés en masse. - Echec de la restauration monarchique Thiers pense pouvoir installer une République conservatrice

fait en fonction du mode d’organisation des pouvoirs. On a une séparation stricte, qui correspond au régime présidentiel, et une séparation souple, qui correspond au régime parlementaire. (le Monde du 20 janvier). Ce n’est pas le parlement ou le président qui domine. Régimes de séparation des pouvoirs Si la séparation des pouvoir est souple, alors le régime est parlementaire. Cette séparation souple signifie que les pouvoirs ont des moyens de pressions réciproques les uns sur les autres

général De Gaulle. Exécutif fort, président reprend du pouvoir. On veut éviter le régime d'assemblée de la IIIème et IV république. 1er article donc important. Président de la République. → garant de la constitution et des fondements qu'elle pose. Il est véritablement un chef de l'Etat. Article pas suffisant car assez flou sur les moyens dont dispose le président. Article 19 → va préciser. Article 5 en lui mm est vague mais les articles suivants, le président possède une batterie de pouvoirs

propres sources, ses propres organes chargés de l’appliquer et dispose de sanctions spécifiques dans les états, dans lequel il est appliqué. Il est constitué du droit public et du droit privé : Le droit public: il comprend les règles qui président à l’organisation d’un état et des différentes collectivités publiques, qui le constituent, ainsi que celles qui concernent leurs rapports avec les particuliers (état et ses collectivités). ➢ Droit administratif : règlement de l’organisation

doléances, rédigés par les électeurs et apportés par les députés aux Etats généraux réunis à partir du 5 mai 1789, demandaient de « donner une constitution au royaume », c'est-à-dire de séparer les pouvoirs, de mettre un terme au gouvernement d'un monarque tout-puissant, avec un pouvoir souverain et absolu, dont chaque édit, chaque ordonnance se terminait par les mots « car tel est notre plaisir ».La question posée est alors Par quelle moyens le principe de séparation de pouvoirs s'est ancré dans l'histoire

Paris (petit fils de Louis-Philippe). L’accord est trouvé par le biais du pacte de Bordeaux, signé entre eux en février 1871. En pratique, les monarchistes s’entendent pour que Chambord monte sur le trône. Un orléaniste lui succèdera. En face, les républicains sont eux aussi très divisés, et c’est dans ce contexte que l’Assemblée va, à Versailles, régler les principaux problèmes de la France. Les négociations avec l’Allemagne aboutissent ainsi à la perte de l’Alsace et de la Lorraine. La Commune de Paris

- Faire le contexte en dernier pour éviter les répétitions. - La problématique : dégager 2 axes pour 2 sous-axes. I- Suppression de la République II- Le danger pour les valeurs républicaines. On vide de la substance de la République en lui supprimant ses valeurs. Problème est que les valeurs républicaines ne sont énumérées nulle part. Mais nécessité de prévenir à ce danger. I et II vont dégager les préventions du danger de la République. On prend les A des 2 parties. I- Les dangers

monarchie limitée puis à la République. Cela passe par une rupture : limite la souveraineté nationale du monarque avant de la confier à une Assemblée nationale puis à la Nation qui forme un corps. Il y a deux phases à l’intérieur du cycle révolutionnaire (89-99 ; 48-51), en France et particulièrement à Paris. Deuxième révolution. Deuxième Constitution après les Etats-Unis, limitant les pouvoirs du monarque et garantissant les libertés individuelles (Habeas Corpus 1679, Bill of Rights) Comment les idées

l’image d’un républicain, on voit en lui un dictateur potentiel (car militaire et autoritaire et dont Roosevelt et les forces internes se méfient), un factieux. Il traine derrière lui une suspicion d’anti républicanisme (que l’on retrouve à partir du 13 Mai 1958, où PMF et Mitterrand crient au putsch). « De gaulle l’apprenti dictateur », la Vème République étant en qqes sorte une monarchie présidentielle selon le juriste Mauriste Duverger. Il est l’incarnation du monarque républicain. Personne autant

basculement de la France vers une IIIème République amenant un gouvernement Républicain. Ce dernier comprend une majorité de monarchistes divisés entre légitimistes (parti des Bourbons) et orléanistes (parti d’Orléans). Après l’amendement du député Wallon en 1875, le chef d’Etat prend alors le titre de Président qui sera assuré par Mac-Mahon jusqu’en 1879. Lors de sa démission, Mac-Mahon est remplacé par Jules Grévy, un Républicain. Les années qui suivirent fut marqués par d’importants bouleversements