Le Président Sous 3ème 4ème Et 5ème République

communisme en Europe et dans le monde. Elle signe en 1949, le traité de Washington qui donne naissance à l'Alliance Atlantique ( OTAN).  Les limites de la puissance française apparaissent cependant à l'occasion de la crise de Suez en octobre 56. Le président égyptien Nasser avait en effet décidé de nationaliser le canal. Il remettait en cela en cause de capitaux français et britanniques. La France et le Royaume-Uni décidèrent de mettre en place une opération en coopération avec Israël pour empêcher cette

la guerre. Il est inenvisageable que les femmes participent au pouvoir. Les enfants sont exclus de la participation au pouvoir. Pour les époques archaïques, le statut des femmes s'apparente à celui des mineurs. En droit romain archaïque, le fils est sous l'autorité de son père quel que soit son âge. la fille en se mariant passe de l'autorité de son père à l'autorité de son mari. juridiquement, l'épouse romaine est la sœur de son mari en quelque sorte. Les incapables. • Importants: la cité grecque

marge d'action limitée dans la démocratie semi-direct. Démocratie semi-direct : exemple du référendum. C 'est une chose qui a existé dans l'histoire démocratique française puis sous la 3eme république elle a été reniée mais elle est revenue au lendemain de la guerre puis s'est trouvée inscrite ans la constitution de la 5eme république.Cependant, c'est une procédure en voie de désuétude. En Suisse, le référendum est bcp plus pratiqué, aussi dans certains états fédérés des états unis. Dans d'autres

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fondamentaux de la République française ? Les principes fondamentaux de la République française sont énoncés dans sa devise : « Liberté, Egalité, Fraternité ». Ils se traduisent par des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux, qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame que « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ». « Une République indivisible »

constitution dans la hiérarchie des normes. L'expression à été forgée par Louis Favoreu, professeur de droit publique à la faculté d'Aix-en-provence. Le bloc contient 4 éléments : La DDHC de 1789, le préambule de la 5ème république de 1946, l'intégralité de l'actuelle constitution de la 5eme république de 1958 et la CDE de 2004. Il n'existe pas en droit français de supra-constitutionnalité : tous les textes sont inférieurs au bloc de constitutionnalité et doivent en respecter les principes de ce bloc.

dire que le pouvoir législatif est incarné par le parlement. Il est partagé. Le parlement débat, élabore… Mais les lois sont à l’origine 90 % originaire des projets de lois du gouv. Une fois la loi votée elle doit être promulguée par le président de la république. Ce qui permet alors de l’exécuter, mais entre le vote et sa promulgation la loi peut faire l’objet d’un contrôle de C, et donc d’une interprétation qui va contribuer à la signification de la loi et qui interprète a cette occasion la loi 

différents mécanismes qui facilitent son soutient (I) ; mais que en revanche il est plus difficile au parlement de manifester son aversion au Gouvernement (II). I) Les moyens d’appuis que possède le Parlement au gouvernement : Dans une première sous partie nous allons voir l’assemblée nationale et sa question de confiance (A) et dans un second temps nous aborderons le Sénat et l’approbation de la déclaration de politique générale (B) A/ L’assemblée nationale et la question de confiance (49-1)

INTRO : Phénomène de l’institutionnalisation du pouvoir = le pouvoir n’appartient plus à des autorités nominativement désignées mais à des autorités désignées de manière impersonnelles. Ce mouvement commence de manière lente à l’ancien régime. Sous l’ancien régime, le pouvoir est confié à un monarque, entité impersonnelle, au-delà des différents titulaires, le pouvoir du roi reste intact. Quand le roi est mort, le monarque persiste avec son successeur, l’institution de monarque est totalement

Constitution de 1958 L’article 3 de la Constitution de 1958 diffère de la DDHC sur deux points : tout d’abord, ce n’est plus la nation mais le peuple qui est désigné comme le titulaire de la souveraineté. La doctrine juridique de la 3ème République distinguait le peuple, l’universalité des citoyens, donc un être réel capable d’exercer la souveraineté et la nation, une entité abstraite construite par la Constitution pour figurer l’intérêt supérieur du pays ou la continuité des générations