Le Père Goriot Conclusion

à la fois un modèle de héros et la dérision de ce modèle. Pour répondre à cette problématique, nous envisagerons tour à tour l’aspect parodique de l’extrait, les effets néfastes de la lecture ainsi que le programme inscrit dans cette ouverture. Conclusion : 1- Nous avons un personnage désuet, anachronique, dans une Espagne qui se modernise. 2- Un personnage intéressant dans sa fonction anti-héros. Complément culturel – Gustave Doré, illustration : La folie de Don Quichotte. 1. Adéquation entre

10 mars 1833. La livraison du 17 mars donne les deux premières parties de Ferragus, chef des Dévorants : « Mme Jules » et « Ferragus » ; le troisième chapitre « La Femme accusée » paraît le 31, mais le quatrième « Où aller mourir », ainsi que la conclusion et une postface (jamais reprise) qui annonce les deux épisodes à suivre, ne seront publiés que dans un fascicule supplémentaire, tiré à part, dans le courant du mois d'avril. La version du texte publié dans la Revue de Paris est reproduite en 1833

Dans cet extrait Derville est le porte-parole de l'auteur , en effet c'est par lui que l'auteur va nous transmettre ses idées , ses dénonciations , les injustices de la société . Balzac va utiliser son épilogue afin d'énoncer sa conclusion . Il y a une certaine fascination pour la dimension romanesque de l'existence chez Derville qui ressemble par certains côtés à Balzac et qui en est en tout cas le porte-parole à la fin du livre. On peut l'identifier à l'auteur : c'est lui qui tient les fiches

produisit sur Vautrin l'effet de la foudre: il pâlit et chancela, son regard magnétique tomba comme un rayon de soleil sur mademoiselle Michonneau, à laquelle ce jet de volonté cassa les jarrets. La vieille fille se laissa couler sur une chaise. » (Le Père Goriot) 5 * Cité par Agnès Spiquel, Mesmer et l’influence. In Romantisme, Revue du dix-neuvième siècle, Sedes, 1997, n° pp33-40. 98, I- La méthode Balzacienne : comment Balzac écrit-il ses portraits ? 2- Quelques pistes sur la création balzacienne

dialogue, du conte et de l’utopie. 1) Un groupement de texte, œuvre 2) Candide, Voltaire Problématique : Comment le roman, le théâtre ou la poésie permettent également d’argumenter ? Extrait 1 : L’homme qui rit, V. Hugo. Extrait 2 : Le père Goriot, H. Balzac Extrait 3 : Ruy Blas, V. Hugo Extrait 4 : Dialogue entre Armande et Henriette, Les Femmes Savantes, Molière Extrait 5 : Tirade de Cléante, Le Tartuffe, Molière Extrait 6 : Stances à Marquise, Corneille 1) Groupement de texte

démontre que..... Dans le chapitre..... etc. Conclusion : Synthèse des arguments Ouverture : comparer avec un autre roman qui parle des mêmes sujets. Il y a un autre auteur du naturalisme : Honoré de Balzac. Celui-ci a fait un livre qui se rapporte au même sujet (le père Goriot) : comment une personne est reliée à comment on est. Comédie humaine. Et si l’on avait également exploité le thème ____ aurions-nous eu les mêmes personnages? Conclusion de fin de paragraphe : caractéristiques du courant

animé par des personnages. Là encore, à travers les temps littéraires, une figure de personnage émerge : les héros éponymes s’affichent dans de nombreux romans : Don Quichottes, La Princesse de Clèves, La Duchesse de Langeais, Madame Bovary, Le Père Goriot, entre autres… Sans oublier ceux dont le nom est intimement lié au récit : Ulysse dans l’Odyssée, et son long retour vers Ithaque ; Julien Sorel et son initiation à la vie dans Le Rouge et Le Noir ; Ariane, autrement connu sous l’appellation Belle

parole/ de l’écriture/ du regard), les changements d’énonciation. - la paraphrase, le simple montage de citations, une analyse juxtalinéaire - l’absence d’introduction et de conclusion - l’absence de références au texte et/ou les références à des textes qui ne sont pas des romans dans l’introduction ou la conclusion - l’absence d’étude de procédés de style - les contresens et les confusions auteur-narrateur, personne réelle-personnage - les efforts d’élaboration d’un plan qui ne suit

accentue cette déscente au enfer, et qui montre qu'elle est déjà au fond du gouffre. L'utilisation de l'imparfait montre aussi que ça prend du temps. Plus tard la mort du Père Bru est prédictive de celle de Gervaise car en effet Gervaise va passer du sixième à la niche sous l'éscalier qui était donc précedemment occupé par le Père Bru. Par ce changement de chambre la decente de Gervaise se fait encore plus ressentir. Ensuite avec l'expression « elle devenait idiote » à l'imparfait duratif suivi du

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