Le Père Goriot Conclusion

le pouvoir. « J’ai vu mourir un père dans un grenier », ("Le Père Goriot"), « j'ai vu brûler des testaments » ("Ursule Mirouët"). « J'ai vu des mères dépouillant leurs enfants » ("Gobseck"), « des maris volant leurs femmes » ("La Muse du département"), « des femmes tuant leurs maris » ("La Rabouilleuse", "Le Colonel Chabert"). « J'ai vu des femmes donnant à l'enfant d'un premier lit des goûts qui devaient amener sa mort »  ("La Femme de Trente ans"). En conclusion, la place de Derville dans le roman

des récits dans le goût de l’époque. Son premier succès : Les Chouans en 1829. En 1830, il s’était lancé dans l’édition, mais ce fut un échec. Il collabore à de nombreux journaux et est connu dans la région parisienne. En 1834, la rédaction du Père Goriot lui inspire l’idée du retour des personnages et l’idée d’une unité pour l’ensemble de sa production romanesque qu’il désignera, en 1842 par « La comédie humaine ». Il entretient une correspondance épistolaire et une relation amoureuse avec Mme

de mieux comprendre nos comportements et ceux des autres (L’Étranger de Camus), voire de connaître notre identité, d’explorer les tourments de l’amour (Le Rouge et le Noir de Stendhal, Madame Bovary de Flaubert) comme les rapports familiaux (Le Père Goriot de Balzac). Le personnage permet de comprendre ceux qui sont différents de nous : les autres milieux (la mine dans Germinal de Zola), les autres pays (Le Désert de Clezio). Le personnage offre une réflexion philosophique sur la vie (La Peste de

« méditer sur les ppes naturels et voir en quoi les Sociétés s’écartent ou se rapprochent de la règle éternelle, du vrai, du beau ? » « Ainsi, dépeindre la Société devait porter avec elle la raison de son mvt ». « l’œuvre, pr être entière, voulait une conclusion »-> n’implique pas un dénouement (cf notes Pléiade) ms caractère démonstratif & explicatif. -« la loi de l’écrivian, ce qui le fait tel… > à l’Hô d’Etat, est une décision qqconque sur les choses humaines, un dévouement absolu à des ppes » « instituteur

français du XIXe siècle ayant traversé différentes périodes dans sa vie. Tout au long de l’histoire, un thème revient, celui de la famille : le père a une vision souche de la famille. Il veut tout le monde autour de lui et lui obéissant. Alors que Ginevra a une vision plus nucléaire de la famille, ce qui conduit à des tensions entre cette dernière et son père. Je vais d’abord commencer par présenter la vie de Balzac ainsi que son œuvre. Ensuite, je situerai l’histoire de « La Vendetta » dans le temps

10 mars 1833. La livraison du 17 mars donne les deux premières parties de Ferragus, chef des Dévorants : « Mme Jules » et « Ferragus » ; le troisième chapitre « La Femme accusée » paraît le 31, mais le quatrième « Où aller mourir », ainsi que la conclusion et une postface (jamais reprise) qui annonce les deux épisodes à suivre, ne seront publiés que dans un fascicule supplémentaire, tiré à part, dans le courant du mois d'avril. La version du texte publié dans la Revue de Paris est reproduite en 1833

historique / politique : Les Chouans - Le roman philosophique : Le Chef-d'œuvre inconnu - Le roman fantastique : La Peau de chagrin - Le roman poétique : Le Lys dans la vallée. Ses romans réalistes et psychologiques sont les plus célèbres comme Le Père Goriot ou Eugénie Grandet. Son projet : La Comédie Humaine. ⋄ Explorer les différentes classes sociales et les individus qui les composent. ⋄ Ecrire de façon quasi-exhaustive la société qui l’entourait. 137 livres : des romans, nouvelles, essais

personnages sont évoqués avec minutie et objectivité. Il s'oppose par conséquent au romantisme. Les auteurs réalistes les plus connus, ainsi que certaines de leurs œuvres ayant fait partis de ce mouvement sont : - Stendhal, qui est en théorie le père du réalisme. - Balzac avec du réalisme social notamment avec son œuvre Splendeurs et misères des courtisanes, et pourtant relativement à part du réalisme. - Gustave Flaubert, dont l'appartenance au mouvement réaliste est encore contestée avec son

les rapports entre les traits du visage et le caractère.  Conclusion : En définitive, Balzac et Stendhal ont surement étaient les premiers réalistes sans le savoir. Stendhal a était le premier écrivain français à avoir lié roman et histoire contemporaine, mais contrairement aux réalistes, il écrit avec un point de vue objectif alors que les balzaciens adopterons un point de vue subjectif. Notre analyse faite, quelles sont donc les conclusions que nous pouvons en tirer ? Premièrement en comparant les

plan. Nous verrons tout d’abord qu’elle est une actrice de talent et une séductrice puis nous montrerons qu’elle mène une bataille inégale. Exercice n° 3 Rédigez les deux axes d’étude. Exercice n° 4 Rédigez une conclusion à ce commentaire. La comtesse anéantir son piège Balzac père Goriot Corrigé de l’exercice n° 1 Pas de corrigé : vous trouverez des éléments de réponse dans le commentaire rédigé. Voici une problématique possible : Montrez que la comtesse use de ses talents de comédienne pour