Le Radeau De La Méduse

n’ai pas vécu pour la Patrie, au moins peindrai-je pour elle ! » Et c’est ainsi qu’il fait de la figure allégorique de la Liberté l’héroïne du combat, exaltant le peuple pour une lutte juste et digne. Certes le choc visuel et dramatique du Radeau de la Méduse de son ami Géricault, décédé quelques années auparavant, l’influence au point d’en construire une composition très semblable, tel un hommage au génie romantique du peintre, mais Delacroix développe ici un témoignage historique et civique inédit

capables de changer la monotonie du quotidien ; Culte de la nature : redécouverte de la nature puissante, sauvage Culte du rêve : on cherche la solitude car la société déçoit Quelques autres oeuvres autres que littéraire : Peinture : le radeau de la méduse : Géricault, Falaises de craie sur Rügen de Friedrich Caspar David

(1848), Chateaubriand * Méditations poétiques (1820), Alphonse de Lamartine * Hernani (1830), Les Contemplations (1856), … V. Hugo * Les Confessions, Rousseau Peinture : * La Liberté guidant le peuple (1831), Delacroix * Le Radeau de la Méduse (1819), Géricault * Voyageur contemplant une mer de nuage (1818), David Freidich Musique : * Nocturnes (1833), Chopin

a été établi pour empêcher les habitants de se ravitailler. Judith apprenant la menace décide de se parer, d'ensorceler le général ennemi - Holopherne - grâce à ses charmes. C'est ce qu'elle met à exécution. Elle sort de la ville sous le regard médusé des soldats. Au camp d'Holopherne, afin de justifier sa "trahison" elle prétend que ses coreligionnaires ne sont plus assez fidèles à la loi de Moïse et que Dieu l'envoie pour les punir. "Je viens de Béthulie, je puis te dire comment prendre la ville 

cri, l'autre coiffé d'un bonnet de police s'agrippant au pavé . Les couleurs dominantes sont les bleu, blanc et rouge. La lumière semble provenir de l'arrière-plan et la femme s'avance vers le lecteur. Delacroix emprunte à Géricault et son Radeau de la méduse, les cadavres allongés, le corps nu en chemise, le bas en accordéon, le torse coupé. Dans son tableau on retrouve la même source d’éclairage venant de gauche, le même contraste fort et la même composition en double pyramide.

Géricault »). Ces œuvres sont très connu et ont une amplitude historique : La Joconde, Léonard de Vinci, début du 16e siècle ; La Ronde de nuit, Rembrandt, milieu du 16e siècle ; Venus de Milo, Alexandros of Antioch, Antiquité Grecque ; Le Radeau de la Méduse, Théodore Géricault, début 19e siècle. Il utilise des jeux de mots (là, là, là / d’art, d’art, d’art) et l’anaphore « parfois ». Nature de l’œuvre : Pastiche d’Œdipe et le Sphinx de Jean Auguste Dominique Ingres (1808) Titre : Œdipe et le

1831) ou social (Hugo ; Les misérables 1862) 6. Tableau : Géricault, Delacroix, expression du mouvement et de la couleur. Aiment les sujets pittoresque et représentent des scènes tirées de l’histoire ou de l’actualité (Géricault ; Le radeau de la méduse 1819) 7. Contexte politique : * Extrême instabilité politique : 6 régimes avec une alternance de régimes libéraux et autoritaires * Idées monarchistes/lutte pour la liberté démocratique=> révolution de 1830 puis 1848

grands.Il admire beaucoup les peintres espagnols comme Vélasquez, Zurbaran et Ribera(photo+dessin x 3) Mais ses artistes préférés sont Géricaud et Delacroix. Géricaud(photo) --> sculpteur et peintre français , oeuvre la plus célèbre : Le Radeau de la Méduse.(photo) Eugène Delacroix(photo) --> peintre majeur du romantisme également Il était dit que Courbet était un oeil et qu'il avait un sens unique de l'alchimie visuelle. Il doit ensuite faire son service militaire et s'en va de Paris. 21

virginité et le bleu la fidélité. Commentaire peu convaincant, faisant appel à des notions peu autorisées, peu vérifiables. Ce portrait très sage et très classique (Inex), contraste avec les oeuvres les plus connues de Géricault, comme le Radeau de la Méduse ou ses peintures de chevaux. Ici, pas d'animaux, pas de mouvement, pas de tragédie. Juste une femme, qui vous fixe tranquillement du regard.

«Méditations» (1820) ; Musset, « Lorenzaccio » (1834) ; De Vigny, « Stello » ; Chateaubriand, « le Génie du christianisme » (1802) ; Delacroix, « la liberté guidant le peuple de Paris » (1830) ; Goya, « el tres de mayo » (1814) ; Géricault, « le radeau de la méduse » (1818)