Le Rat La Fontaine

Classique aux XVII est le genre de théâtre suivant des règles strictes : une action ne dépassant pas vingt-quatre heures, un lieu unique et une intrigue unique. La Fontaine s'est inspiré d'Esope qui était un conteur grec du VI ème siècle avant J-C. On remarque que certaines de ses fables sont les même que Esope notament celle du lion et du rat. Molière s'est inspiré de Plaute notamment pour écrire Amphitryon. La Bruyère s'inspire de Théophraste qui a vecu au III et IV ème siècle avant J-C. Jean racine

Jean de LA FONTAINE (1621-1695) Le Curé et le Mort Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons

forme d’argumentation particulièrement efficace ? » L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes

L'APOLOGUE. Corpus: 1. Fénélon (1651-1715) «Le Pigeon puni de son inquiétude», Fables et opuscules pédagogiques, fable XX (posthume 1718) 2. J. De la Fontaine (1621-1695) «Le Loup et le Chien», Fables, I, 5 (1678) 3. C. Baudelaire (1821-1867) «Le Joujou du pauvre», le Spleen de Paris. (1869) Question: L'apologue est un récit narratif à visée argumentative, allégorique et didactique, rédigé en vers ou en prose, apposé d'une morale pratique. Dans le «Pigeon puni de son inquiétude», de Fénelon

Fables » de La Fontaine, par exemple, sont en effet des textes moralisateurs, destinés en premier lieu à éduquer les lecteurs. Dans chacune de ses fables, mettant en scène des animaux, La Fontaine donne une morale. Par exemple, la morale de « Le loup et l’agneau » (la raison du plus fort est toujours la meilleure) donne une morale pessimiste, mais destinée à éveiller à la prudence chez ses lecteurs. Les fables éduquent donc, en éveillant à la prudence, à la patience (« Le lion et le rat »), à la compassion…

le tier état et la noblesse. Je ne pourrait pas parler de pastiches sans inclure Les fables de la fontaine en effet inspirées des fables de son antique confrère Esope comme par exemple le corbeau et le renard ou encore la tortue et le lièvre. Toutes ces fables comportent une morale située à la fin ou au début de la fable. Jean de La Fontaine utilise donc le concept d’Esope tout en faisant ressortir une morale explicitement dissimulée derrière la personnification

travers les fables de Jean de la Fontaine au XVIIE siècle. Comment, Jean de la Fontaine, utilise-t-il ses fable pour dénoncer l'absolutisme au XVIIe siècle ? SOMMAIRE INTRODUCTION I. Jean de la Fontaine: Le fabuliste de la cours du Roi Soleil 1.La France du XVIIe siècle 2.La fable - Qu’est ce qu’une fable - Le renouveau des Fables par la Fontaine - Les différents recueils de fables de La Fontaine II. Les Différents aspects de l'Absolutisme

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Jean de La Fontaine FABLES (1668 - 1694) Livre I Illustrations par Gustave Doré Table des matières Préface ...................................................................................... 4 A Monseigneur le Dauphin .....................................................13 La Cigale et la Fourmi .............................................................14 Le Corbeau et le Renard..................................................

D’Horace à Ronsard : la Fontaine de Bandusie et la Fontaine Bellerie par Nicole Genaille La charmante ode qu’Horace adresse à la source (fons, tis, m.) de Bandusie a, c’est bien connu, inspiré à Ronsard une ode non moins gracieuse à la « fontaine » (= source) de son domaine de la Possonnière, dans son cher Vendômois. La comparaison s’impose, et peut-être n’est-il pas inutile d’en suggérer ici des éléments qui pourraient inviter les jeunes latinistes à découvrir à la fois un joyau de la poésie

éditeur d'Aix-en-Provence, Denis-Marius Perrin. Celui-ci publie 614 lettres en 1734—1737, puis 772 en 1754. Jean de la Fontaine Sa vie : La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète, moraliste, dramaturge, librettiste et romancier français. On dispose de très peu d'informations sur les années de formation de Jean de La Fontaine. On sait qu'il a étudié au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième où il apprit surtout le latin, mais n'étudia pas