Le Rat La Fontaine

Copie n° 6 – Question sur un corpus de textes de théâtre où la lettre joue un rôle dramatique essentiel Copie n° 7 – Question sur un corpus de textes sur la notion d’engagement Copie n° 8 – Commentaire de la fable : « Le Rat qui s’est retiré du monde » de Jean de La Fontaine. Copie n° 9 – Dissertation sur les pouvoirs de la poésie Copie n° 10 – Dissertation sur le roman comme reflet de la société Copie n° 11 – Commentaire d’un extrait de l’Heptaméron de Marguerite de Navarre Copie n° 12 – Écriture

Prologue de l’auteur / RABELAIS→ il met le lecteur dans un univers rabelaisien grâce à son ton→ il ne présente pas Gargantua →rapport ; rire par son exagérationLa dispute rhétorique/ RABELAIS→Grandgousier déçu de l’éducation de son fils, elle est basée sur le corps et un apprentissage par cœur. Il décide alors de le faire changer. Une rencontre entre homme ayant reçu une éducation humaniste=Eudémone et son fils. Education opposée. Gargentua finira en pleure après les talents d’orateurs de Eudémon

quelconque récit, mais il a un second sens que le lecteur doit déchiffrer. Ce sens est souvent d’ordre moral. L’apologue a donc une visée didactique. Il existe différents types d’apologues : la fable et le conte philosophique, notamment. Selon La Fontaine, l'apologue est composé de deux parties : Le corps représentant la fable, l'histoire racontée et l'âme qui elle symbolise la morale. La fable est un genre ancien qui remonte à l'antiquité. Son père fondateur est grec et a pour nom Esope, il aurait

Introduction : Les Fables de La Fontaine ont eu, en leur temps, un vif succès. Avant-gardistes, elles ne se plient à aucune des règles de la poétique classique. Bousculant les habitudes littéraires et la doctrine de l'époque, La Fontaine impose un style qui n'est pas loin d'être condamné par ces pairs. Fort heureusement, la grande majorité des lecteurs est enchantée par ses écrits et se soucie peu de savoir si les règles sont respectées ou non. Comme Molière le leur conseille, ils se laissent «

section doivent, d’après moi, être des poèmes qui contiennent une morale, tout comme les Fables de La Fontaine, ou des symboles, c’est à dire des images à déchiffrer. C’est pour cela que j’ai choisi ces trois textes : Le premier, « Le Joujou du Pauvre », où deux enfants s’opposent. L’un est riche, avec un beau jouet qu’il délaisse, l’autre est pauvre, avec un « jouet » très particulier : un rat. Les deux enfants envient mutuellement leur jouet. Dans ce poème, Baudelaire montre que malgré la barrière

plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Joachim du Bellay (1522-1560) La Belette entrée dans un grenier (Jean de la Fontaine) Damoiselle Belette, au corps long et flouet, Entra dans un Grenier par un trou fort étroit : Elle sortait de maladie. Là, vivant à discrétion, La galante fit chère lie, Mangea, rongea : Dieu sait la vie, Et le lard qui périt en cette occasion

Commentaire composé : La Fontaine : La Cour du Lion (livre VII, fable 6) | |Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître | |5 |De quelles nations le Ciel l'avait fait maître. | | |Il manda donc par députés | |10

autobiographiques, récits symboliques) est un élément de séduction, qui est en soi didactique. 1. Une lecture plaisante Le but affirmé de la Fontaine à travers ses Fables était bien de plaire. Ses récits peuplés d’animaux, qui évoquent « le temps où les bêtes parlaient » renvoient à un monde merveilleux, plein de charme. Dans « Le pouvoir des fables », La Fontaine montre la peine d’un orateur à captiver son public sur un sujet grave, menaçant sa patrie, avec un discours éloquent et alarmiste. Voyant

nombreux défauts : « méchants » qui ne changera jamais, à qui on ne pourra jamais faire confiance, avec qui on ne peut pas faire la paix. Morale explicite qui dit clairement la déloyauté de certains, les empêchant ainsi de collaborer avec eux. La Fontaine voit la société comme un tout, où chacun dépend des autres. La Paix ne peut se fait pas avec des « ennemis sans foi ». Ici, il n’accepte pas cette partie de la société, mais il appelle plutôt à une résistance. On est bien en présence d’une satire

bagarre, par ruse le moucheron remporte en faisant se tuer le lion lui-même. Mais il se fait tuer par une araignée. Entre nos ennemis les plus a craindre sont les plus petits explicite Le lion et le rat Un lion laisse la vie a un rat, et un jour il est coincé dans les mailles d’un filet, le rat le sauve en grignotant les mailles. Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde : On a souvent besoin d'un plus petit que soi. Patience et longueur de temps Font plus que force ni que rage. explicite