Le Recouvrement Des Créances Bancaires

banques sur le marché. Elle est marquée aussi par plusieurs évènements à savoir la libéralisation du secteur bancaire, le désencadrement des crédits, etc. Les banques se sont donc inscrites, à partir, de là dans un contexte de libre concurrence qui les a incité à développer davantage leurs compétences et leur savoir-faire. Elle se caractérise également par une décentralisation du système bancaire. Cette dernière avait pour but : - La disponibilité de l'information au niveau agence. - La réduction

l'entreprise mobilise des ressources de trésorerie dont elle dispose (caisse, banque, banque postale) grâce à différents instruments de paiement. Les instruments de paiement susceptibles d'être utilisées sont : les espèces, les chèques, les cartes bancaires, les virements. Pour les enregistrements on utilise les comptes 512 Banque, 531 Caisse, 514 Chèques postaux Exemple 1 : --> Chez le fournisseur Lambda : 30/01/N 411 Clients 1196 707 Vente marchandises 1000 44571 Etat – TVA collectée

conserver ses liquidités dans un compte bancaire. Les documents servant à contrôler un compte bancaire sont, notamment : La carte de signature, le bordereau de dépôt, le chèque, le relevé bancaire, le rapprochement bancaire. En général, les livres comptables et le relevé bancaire indiquent des soldes différents. Cet écart est attribuable au décalage temporel constaté dans l’enregistrement des opérations et qu’on appelle écart temporaire. Le rapprochement bancaire : Solde bancaireSolde comptable

LE RISQUE-CLIENT I LES CLIENTS DOUTEUX Lorsqu’une créance-client est l’objet d’un litige ou que son recouvrement devient incertain, on vire le montant de cette créance, du compte 411… à un autre compte de la classe des clients : 416… CLIENTS DOUTEUX Exemples :  Un chèque ou un effet de commerce est revenu “impayé”  Le montant d’une facture fait l’objet d’un litige, voire d’un procès  Le client fait l’objet d’une procédure collective (“dépôt de bilan”), redressement ou liquidation

   Une page au hasard [pic] | | | |Le risque de crédit et la rentabilité bancaire | |Sommaire | |Première partie : Modélisation

Passif 34 5.5 Ratios de Synthèse 36 5.5.1 Ratio de Financement à Long Terme 37 5.5.2 Ratio de trésorerie 37 5.6 Ratio de Gestion Financière 38 5.6.1 Vitesse de Rotation de Stock 38 5.6.2 Vitesse de Rotation des Créances Clients 39 5.6.3 Vitesse de Rotation des Crédits Fournisseurs 39 5.7 Ratio de Rentabilité 40 5.7.1 Rentabilité de l’Exploitation 40 5.7.2 Rentabilité Économique 41 5.7.3 Rentabilité Financière 41 Chapitre Six Conclusion

court terme 1. Les crédits de mobilisation de créances commerciales  2. Les crédits de trésoreries 3. Les autres formes de crédits à court terme II. Les critères d’octroi de crédit à court terme 1. Les critères juridiques et commerciaux 2. Les critères financiers 3. les conditions de rémunération des crédits 4. L’étude financière du dossier de crédit III. Les coûts du financement à court terme 1. Le taux d’intérêt 2. Les commissions bancaires 3. Les jours de valeur IV. L’arbitrage

facteurs exogènes aux entreprises du BTP (la baisse d’activité, la rigidité des prix, la faiblesse de trésorerie et l’approvisionnement étranger). La seconde famille regroupe des obstacles d’ordre interne, comme : la hausse des charges, le recouvrement des créances et l’approvisionnement local. L’analyse temporelle montre que pendant les années 2005, 2006 et 2012, les entreprises de ce secteur ont souffert plus de difficultés endogènes, tandis que les difficultés exogènes ont marqué les années 2008

bien différente. Le souk casablancais est un véritable carrefour où se croisent les circuits formels et informels. Clientèle et fournisseurs sont souvent issus de circuits de distribution structurés, les paiements sont parfois adossés au système bancaire et la moitié (au moins) des commerçants sont même connus du fisc, puisqu’ils s’acquittent de la patente. Autant de frontières floues entre l’économie formelle et informelle que pointe une étude socio-économique, à paraître sur la revue Economia.

(c’est une procédure constant à classer les créanciers par ordre de préférence pour déterminer ce qui viendront en rang utile pour être payé) et de contribution (constant à déterminer le montant de la somme revenant à chaque créancier au prorata de sa créance). Par conséquent l’enseignement des voies d’exécution à pour objet l’étude des procédés qui tendent à la conservation du patrimoine du débiteur et à son exécution et ainsi l'étude des procédures d’ordre et de contribution. Il résulte des explications