Le Regard froid

nuit arriver car elle était synonyme de doux ébats avec le seul amour de ma vie. Aujourd'hui c'est tout l'inverse que je vis. Quand le soleil se couche je sais que dans quelques heures je vais retrouver la solitude silencieuse de ma couche vide et froide et cela me glace le cœur et l'âme. La journée, très vite j'ai été obligée de me reprendre et tenir la maison afin qu'elle soit en tout moment un lieu accueillant, propre et prête pour le retour de mon amour. Les domestiques doivent être tenus car

l'autre remplit d'eau chaude (80 à 60°C) au pied de l'eau limpide. [pic] L’eau chaud va en haut l’eau froide vas en bas car plus l’eau est froide, plus elle est dense et plus l’eau est chaude, moins elle est dense. Par conséquence l’eau froide et plus lourd que l’eau chaude, donc l’eau froide vas en bas et l’eau chaude vas monter. Expérience 2 : Prendre un bâton d’encens et l’allumer. Regarder le comportement de la fumée lorsque le bâtonnet est placé sur un bec électrique en fonctionnement (thermostat

l’atmosphère l’odeur et le froid que sentent les personnages des romans de Dostoevskii. Petersbours dans ses romans n’est pas simplement le fond où se passe l’action mais c’est un sur-personnage qui influe les sorts et les vies des autres. Dostoevsky lui-même connaissait très bien Pétersbourg. Il y a vecu plus que 20 ans en déménageant pres de 20 fois. Il n’a jamais resté dans le même appartement plus que 3 ans et il n’a jamais eu son propre logement. Si on regarde les maisons où il vivait on

vers, puis la réponse de Junie est de 3 vers. Ensuite, la seconde tirade de Britannicus se compose de 9 vers et sa bien-aimée réplique en 5 vers. Enfin, la présence de Néron de traduit par de nombreuses références au regard et aux yeux. « Yeux » est répété quatre fois et « regard » apparaît une fois. Junie tente tant bien que mal de prévenir Britannicus de la présence de Néron dans la salle. Dans la phrase « ces murs mêmes, Seigneur, peuvent avoir des yeux », Junie veut faire comprendre que n’importe

porte avec appréhension. A l’intérieur, il faisait froid et sombre, c'était poussiéreux et une odeur de vieux envahissait les pièces. Mes parents avaient fini de porter les cartons dans la maison, ils étaient heureux tandis que de mon côté, j'étais mal à l'aise. Comme je ne connaissais personne ici, je décidai de me présenter au voisinage. Je fus accueillie très chaleureusement, mais quelque chose n'allait pas ; les voisins avaient un regard froid en regardant ma maison. Ils avaient une fille de

artificielles faites par l’artiste. La lumière est froide et sombre. Il y a très peu de lumière et le tableau est très sombre mis à part les corps nus qui ressortent de par leur clarté, en particulier celui de la vénus qui donne beaucoup de lumière au tableau. Les éléments mis en valeur sont la Vénus, la femme à sa droite et tous les personnages du premier plan, l’architecture et le ciel reste sombre. * La couleur : L’artiste a utilisé dans couleurs froide, malgré la touche de rouge sur la robe et le

CARTES POUR COMPRENDRE LE MONDE. INTRODUCTION Un monde complexe. Document 1 : Dessin de Chauvin, 2008. Questions 1 / Quelle période de l’histoire est évoquée par les deux personnages ? Les deux personnages font référence à la guerre froide qui a pris fin avec la chute du mur en 1989 et l’implosion de l’URSS en 1991. 2 / Pourquoi les deux personnages sont-ils «nostalgique» de cette période ? L’analyse du monde était plus simple. 3 / En quoi le monde était si simple à l’époque

« froid, sous sa pierre » * Un monde plongé dans l'obscurité : « nuit », « ombre », « sombre ». La lumière est circonscrite à la « lune », une « plaque en métal clair » et à l'œil « de lumière », difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non ») • Une promenade amoureuse qui dégénère * « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. * Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : «

on me fuyait du regard et on n’osait pas m’approcher ou m’adresser un simple bonjour, pourquoi, simplement parce que je suis différent d’eux. Pour subsister dans cet endroit hostile, je commençais à faire la manche, les jours passèrent et puis même des mois, personnes ne se préoccupait de mon état, j’étais invisible, oui invisible aux yeux du monde. Moi qui il y a encore quelques mois étais le centre d’intérêt de tout le monde. Je rentrais dans une pièce et tous les regards se tournaient vers

fait des bulles ; Les hirondelles sur le toit Tiennent des conciliabules : Voici l’hiver, voici le froid ! (…) Théophile GAUTIER (1811-1872)  Émaux et camées Matin d’octobre C’est l’heure exquise et matinale Que rougit un soleil soudain. A travers la brume automnale Tombent les feuilles du jardin. Leur chute est lente. On peut les suivre Du regard en reconnaissant Le chêne à sa feuille de cuivre, L’érable à sa feuille de sang. Les dernières