Le Regard froid

Il a cru toucher son âme à travers son regard seulement.Ce retournement rappelle en quelques mots la réalité de la situation. Elle est banale : Une femme passe, un homme (ici Baudelaire) à la terrasse d’un café la regarde. Elle est déjà partie.Prise de parole du

dix-mille à quinze-mille SDF se trouvent à Paris, dont quinze pourcents de femmes. Dans la rue, les SDF subissent le froid, la faim, la maladie, la mort ainsi que rejet des autres, comme dans l’extrait des Misérables, de Victor Hugo, par exemple. Ils tentent de trouver à manger pour rester en vie, survivre. Dans le poème de Jacques Prévert, La grasse matinée, l’homme sans domicile a faim et regarde des aliments dans une vitrine. Malheureusement, il ne peut pas les acheter puisqu’il n’a pas d’argent. Expulsion

servantes ? Vous croyez que c'est bon d'être debout le matin à jeun, que c'est convenable pour des princesses ? Vous n'êtes seulement pas couvertes. Vous allez voir que vous allez encore me prendre mal. ANTIGONE __ Laisse-nous, nourrice. Il ne fait pas froid, je t'assure ; c'est déjà l'été. Va nous faire du café. (Elle s'est assise, soudain fatiguée) Je voudrais bien un peu de café, s'il te plaît, nounou. Cela me ferait du bien. LA NOURRICE __ Ma colombe ! La tête lui tourne d'être sans rien et je suis

pantalons de velours ».L’homme est pauvre il n’a que sur lui « un petit paquet » il n’a rien d’autre, pas d’argent, de photos de sa famille, rien. L’homme est une victime du froid glacial de ce paysage de plus il est démuni. Tout au long de ce début de roman est soulignée l'hostilité du milieu. Le personnage souffre du froid, il est « grelottant sous le coton aminci ».Dans le premier paragraphe on a une image sur sa souffrance physique « Des gourdes que lanières du vent d’Est faisaient saigner

habitudes et son cadre familier sont des épreuves douloureuses et traumatisantes pour Madame D. : une sorte de deuil de sa vie d'avant. Elle était employée de poste. Elle a une personnalité très forte et se montre autoritaire. Elle sourit peu et son regard très mobile oscille entre lassitude et malice. Peu soucieuse de son apparence, elle n'aime pas changer de vêtements : les tâches ne la dérangent pas. Le coiffeur et la douche sont des contraintes. Elle a des moments d'absence, comme si plus rien

criant, et les deux autres marcheurs, sont en diagonales coupé par rapport au second plan. Il y a des couleurs chaudes en haut de la peinture, des couleurs ternes au niveau du pont et des couleurs froides au milieu de l’œuvre. Il y a donc un contraste entre les couleurs chaudes , et les couleurs froides , mais elles restent quand même mélangées. Certaine parties du tableau donnent une répétition visuelle. 3)Connotation (interprétation): Le Cri de Munch montre l'angoisse d'un homme criant au

Je suis née a Béziers j'ai vécus pendant 3ans, en suite ma mère à était transférer sur Nîmes alors nous sommes aller habiter La Calmette. J'adore regarder des films, les jeux vidéos et les sortis entre amis. J'ai un grand frère de 23ans. Je suis élève au Lycée Technique de la Salle à Alès, en section baccalauréat professionnel Technicien du Froid et du Conditionnement de l'Air ( TFCA ). j'avais le choix entre le lycée privée de la Salle à Ales ou le lycée publique Mistral à Nîmes mais le lycée

Bijoux « La très chère était nue, et connaissant mon corps, elle n’avait gardé que ses bijoux sonores ». Entièrement nue, elle cache tout de même son sexe de la main gauche. Ses deux jambes sont croisées, la jambe gauche étant sur la droite. Son regard est porté vers le spectateur. A ses pieds, un chat noir avec la queue relevée, à peine visible mais qui a ici, a toute son importance. Derrière elle se trouve une femme noire, devant être sa servante, dont le visage se confond avec l’arrière-plan

Le regard Sommaire : 1) Le scaphandre et le papillon de Jean-Dominique Baudy 1999 2) Affiche d’une publicité Citroën 2005 3) Watchmen Zack Snyder 2009 Un regard est un nom masculin qui provient du verbe regarder. Il a plusieurs définitions suivant l’expression dans laquelle il est utilisé. Il décrit tous d’abord l’action de regarder, de porter

en vain se défend, Et que je souffre comme père, Moi qui souffris tant comme enfant ! Mon œuvre n'est pas terminée, Dites-vous. Comme Adam banni, Je regarde ma destinée, Et je vois bien que j'ai fini. L'humble enfant que Dieu m'a ravie Rien qu'en m'aimant savait m'aider ; C'était le bonheur de ma vie De voir ses yeux me regarder. Si ce Dieu n'a pas voulu clore L'œuvre qu'il me fit commencer, S'il veut que je travaille encore, Il n'avait qu'à me la laisser ! Il n'avait qu'à