Le Regard froid

Portent en livrée jolie, Gouttes d'argent, d'orfèvrerie Chacun s'habille de nouveau : Le temps a laissé son manteau. Charles d’Orléans D’abord, le premier quatrain décrit la fin de l’hiver qui laisse place au printemps. Le « manteau » évoque le froid, repris dans l’énumération « de vent de froidure et de pluie ». Les « broderies » sont les fleurs du printemps. Elles évoquent la beauté de cette saison, reprise dans l’énumération « de soleil luisant, clair et beau. » Ensuite, le deuxième quatrain

girouettes piaulaient, le feu rampait dans la cheminée, et le vent frappait à la vitre comme un importun qui veut entrer. L’étranger était beau comme un ange, mais comme un ange tombé ; il souriait doucement et regardait doucement, et pourtant ce regard et ce sourire vous glaçaient de terreur et vous inspiraient l’effroi qu’on éprouve en se penchant sur un abîme. Une grâce scélérate, une langueur perfide comme celle du tigre qui guette sa proie, accompagnaient tous ses mouvements ; il charmait à

gravure est dramatique, agressive et notamment constituée de couleurs sombres et froides (du blanc au noir). Cette absence de couleurs évoque la mort et décrit l’époque avec une grande cruauté. Otto Dix peint d’un trait froid, la sauvagerie des combats. Cette œuvre est centrée sur un individu, représenté comme déshumanisé dans un champ de bataille dévasté. Les scènes sont d’une précision, d’une force difficile à regarder. Ce corps est parcouru de déchirements, de blessures et de douleurs. L’horreur

Alors tout disparut… un visage, un sourire et tout le reste s’enfuit, le bois, la fête, les enfants et même moi, son ami François… Ne restait que sa douce voix, son regard d’azur et un prénom : « Yvonne ». Il restait là, au bord du chemin, tandis que dans la lumière du jour déclinante, la jeune fille n’était plus qu’un parfum. Son cœur battait la chamade, il n’entendait plus ni les promeneurs, ni les bateliers ; dans les bois qui l’entourait, c’était comme si tous les oiseaux s’étaient enfuis,

Formes du comique I-Deux procédés comiques en regard : le burlesque et l’héroï-comique. Burlesque et héroï-comique reposent sur le décalage entre l’objet décrit et le niveau de langue choisi. 1- Burlesque : L’adjectif « burlesque » (du latin burla, plaisanterie) désigne un comique outré. Sous sa forme substantivée, il désigne un style très prisé au XVII° siècle qui traitait un sujet noble de manière familière. Ex : - Scarron, pour évoquer la princesse carthaginoise Didon, amante d’Enée

Nord », Le livre de poche éditions 2002 avec des photographies d’Alain Szczuczynski Thème général * Une « ethnologie hédoniste » : la culture inuit Introduction de l’ouvrage Les idées générales * Un environnement rare : la pierre ; le froid ; l’espace étendu * Un peuple aux coutumes immobiles : la survie ; la répétition ; le rite * Une fragilité face aux menaces contemporaines : la colonisation ; le sédentarisme ; le nihilisme La problématique * La culture inuit paraît-elle

provoque un effet d’insistance. Cela donne l’impression que A.Rimbaud veut partager son goût pour ce jambon. Cela reprend l’effet de proximité du vers 1. Le thème de la nourriture rapproche le lecteur de l’auteur, en effet cela casse la distance, le froid. On a plus de faciliter à s’identifier à A.Rimbaud. Cette proximité crée doc un effet de convivialité, de chaleur.             La manière d’être du poète apporte une touche de chaleCette ambiance chaleureuse et conviviale permet au poète de se détendreur

tout cela sous mon regard sans que je puisse rien faire. Je précise que je ne peux rien faire car il ne me laisserait pas mettre mon nez dans ce qu'il fait hoooo que non, alors que lui me hante chaque jour ! Lorsqu'il prend le dessus, il fait abstraction complète de moi, il voit rouge, tout n'est que mal et désespoir pour lui. Et cela ce voit, vous pourrez demander à n'importe qui, ceux qui ont eu le malheur de croisé sa route s'en souvienne comme si c'était hier, un regard plein de haine, une posture

la rigueur ou la rigidité. Au contraire les lignes courbes renvois à la douceur la sensualité, la féminité… Les lignes verticale renvois le regard du spectateur vers le haut de l’image suggerant ainsi l’esprit, l’intellecte, la sciences ou la spiritualité, les lignes horizontal surtout lorsqu’elles arrivent dans la moitié basse de l’image rabaisse le regard vers les bas et donne une impression de concret, charnel, terre a terre, pragmatique. b) Perspective et profondeur du champs 1er plan (élément

titre d'un documentaire a notre époque , alors que dans le récit de cette enfance tragique est en fait très singulière . h) Tout d'abord, le transport des déportes se fait dans des contextes extrêmes , ils sont humiliés dans les gares sous les regards intrigués des passants , ensuite ils sont emportes dans des wagons ou ils passeront plus de deux jours dans des conditions démesuré , en effet , ils ne mangent pas, ne boivent pas ,et ne peuvent pas faire leurs besoins. Enfin , ils sont transportes