Le Reve Americain Mythe Ou Realite

statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 1 II

statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche

blanc. Avant d'ouvrir le procès, nous tenons à dire certaines choses. L'analyse que nous entreprenons est psycholo­ gique. Il demeure toutefois évident que pour nous la véri­ table désaliénation du Noir implique une prise de con­ science abrupte des réalités économiques et sociales. S'il y a complexe d'infériorité, c'est à la suite d'un double processus : — économique d'abord ; — par intériorisation ou, mieux, épidermisation de cette infériorité, ensuite. Réagissant contre la tendance constitutionnaliste

la réalité qu’à travers les filtres et grilles de lecture que représentent aussi bien la langue maternelle que les acquis personnels et les compréhensions passées.1 Chaque personne, en tant que sujet de conscience et dans sa relation au monde, n’est jamais neuve. Elle est toute remplie des expériences du passé, les siennes et celles des autres, du milieu social et familial qui est le sien, expériences cristallisées en manières d’être, en préjugés, etc. De ce fait, la rencontre avec la réalité extérieure

littéraire  L’horizon d’attente  Sources de l’écriture (intertextualité, parodie, réécriture) SÉANCE 1 : DEUX CONCEPTIONS DE LA CRÉATION LITTÉRAIRE :  EDGAR ALLAN POE  PLATON • 1er texte : Edgar Allan Poe (p436) Edgar Allan POE : écrivain américain du 19ème siècle POE propose aux lecteurs d’entrer dans les coulisses pour comprendre le monde de l’écrivain pour voir comment celui-ci travaille. Il va à l’encontre d’une autre idée, longtemps maintenue : Le poète est un être inspiré par un pouvoir

depuis des siècles. Elles brisent le mythe de la mère admirable célébrée par les poètes de la Négritude, car c’est elle qui perpétue les pratiques aliénantes dont l’excision ; dénoncent l’ordre patriarcal qui les nie et revendiquent leur droit à l’autogestion. Les romancières afro-américaines, pour leur part, ont, dans un premier temps, dénoncé l’esclavage et ses conséquences, puis les conditions de vie des Afro-américaines en général, et des Afro-américaines en particulier dans le contexte du

réussite et de gloire. Ils désireront tous imiter leur idole Napoléon, un mythe vivant, qui issue d’une petite famille bourgeoise de Corse, est parvenue à façonner son propre Empire. Nous retrouvons aussi, ce désir dans les œuvres d’écrivains célèbres (Honoré de Balzac, Victor Hugo, Stendhal, Alexandre Dumas, Alfred de Musset...) : Julien, héros et fils de paysan dans Le Rouge et Le Noir dévoue un culte à Napoléon et rêve de gloire. Cependant, cette aventure est couronnée de victoire (Austerlitz

quelques-unes de ses géniales coquilles ! Sur sa demande, il fut affecté dans un centre de neurologie à Saint-Dizier, où il pratiqua avec ses patients la méthode de l'association libre, se consacra à l’exploration de l’inconscient, se mit à l'écoute du rêve afin d'en percevoir en pleine veille les phrases nocturnes, être attentif au jaillissement naturel de la pensée, frappé qu’il avait été par les paroles qu'on entend parfois venir de l'intérieur de soi-même, et sans que la volonté y soit pour rien,

sociologique de la réalité. On devrait alors voir sur le tableau les verrues de la vieille femme, la laideur des visages, comme dans le roman la misère du peuple, la bêtise du bourgeois, l’arrogance de l’aristocrate, ma médiocrité ordinaire. Sans le moindre souci de travestir ou d’idéaliser quoi que ce soit, ni même d’y rechercher une quelconque trace de l’esprit. Montrer les choses telles qu’elles sont, dans une perception purement factuelle, sans aucun projet esthétique, en prenant le mot « réalité » à ras

mesure des ambitions personnelles. La jeunesse haïtienne, au cœur de La Chair du maître, s’est désolidarisée de toute norme et de toute vertu et pour cause, le déséquilibre constant entre l’État et la société, la politique et la république, le rêve et la réalité, la jeunesse et les aînés. Les jeunes noirs de Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer ont pour centre d’intérêt la satisfaction d’une libido débordante sur fond de stéréotypes au sujet de la puissance sexuelle du Nègre. Ils sont