Le Rire Agressif

LES REGISTRES  émotion/sensibilité du lecteur : faire rire ou pleurer.  registres associé à des genres: le tragique à la tragédie / l’épique à l’épopée / le comique à la comédie… (genres on parfois disparu ex : épopée / épique  registres sérieux : épique, pathétique, tragique, lyrique, polémique, didactique, épidictique, fantastique  registres plaisants : comiques, satirique 1. Le registre épique  origine : épopée, long récit d’exploits et d’aventures à la gloire de héros

vous portez un véritable jugement argumenté sur le texte). Dans un second temps, nous réfléchirons à la dimension satirique du passage. I) Un fabliau vif et plaisant Destiné à être récité ou joué en public, le fabliau doit interpeler, faire rire, tout en faisant réfléchir. Aussi, il doit être vif et plaisant. Pour éviter toute monotonie, le texte est donc organisé en trois parties différentes, de taille inégale. a) une structure diversifiée Le passage s'ouvre sur une intervention du conteur

sont douées dans des domaines comme le chant, la musique, le piano… Humour Il s’agit d’une forme d’esprit consistant à apprécier les aspects comiques, absurdes ou insolites de la réalité. On dit de quelqu’un qu’il a de l’humour soit quand il fait rire, soit quand il sait apprécier les bonnes blagues. Traits physiques Il s’agit ici de l’aspect du visage, la carrure… Certaines personnes quand elles naissent sont naturellement plus agréable à voir que d’autres. La maîtrise du langage En effet

soufflant bruyamment ", " barrit presque ", " barrit de nouveau ", " voix rauque difficilement compréhensible "mais aussi son langage et sa pensée, caractéristiques propres à l'humanité, qui se déshumanisent peu à peu. Son ton est de plus en plus agressif et violent comme le montrent les nombreuses exclamations. A la fin de l'extrait son langage est celui de la bestialité :" il prononce des paroles furieuses et incompréhensibles". Ses répliques se résument souvent à des phrases nominales " des clichés"

soufflant bruyamment ", " barrit presque ", " barrit de nouveau ", " voix rauque difficilement compréhensible "mais aussi son langage et sa pensée qui se déshumanisent peu à peu ( caractéristiques propres à l'humanité). Son ton est de plus en plus agressif et violent comme le montrent les nombreuses exclamations. A la fin de l'extrait son langage est celui de la bestialité " il prononce des paroles furieuses et incompréhensibles" et ses répliques se résument souvent à des phrases nominales " des clichés"

les voie. Chaos visuel où domine le rouge, le sang. Rois qui les raillent → roulement de tambour qui rythme. Odorat → fumée acre, feu, tas fumant → Chaleur et odeur désagréable. L’ensemble est violent, agressif, désagréable. Pour l’arrière, les verbes expriment la douceur : bercer, s’endormir, rire. Les couleurs sont peu nombreuses, pas de chaos visuel → un ensemble fait d’ombre ( on est a l’intérieur) où l’on perçoit quelques éclats de lumière → blanc des nappes, l’or des calices. Les bruits sont

gestes, les expressions du visage, le regard ou le ton de la voix Les personnes atteintes d’autisme ont souvent des comportements répétitifs (balancements du corps, battements des mains, tournoiements …), auto-agressifs (se mordre les mains, se cogner la tête…) ou inappropriés (pleurer ou rire sans raison apparente…). Elles s’attachent souvent à des objets qu’elles utilisent de manière détournée, par exemple en les alignant ou en les faisant tourner inlassablement. En général, elles tolèrent mal le

Sganarelle « Je suis à vos genoux, Madame la statue, ayez pitié de nous ». On constate que le discours de la Statue est une chose également susceptible d’être mofidiée. Par exemple dans « Le Festin de Pierre », les propos de la statue sont d’autant plus agressifs que dans la version originelle. On engendre des exclamations telles que « Tremble ! », et « Détestable ! » tandis que dans la vraie version, la statue se contente d’expliquer la raison du châtiment de Dom Juan. De plus, les agissements de la Statue

prendre cela au sérieux et de penser que, si la prison l’avait calmée, c’était là ce qu’elle avait recherché [4]». Cela nous laisse entendre que la solution de l’acte, aussi agressif soit-il, dans la paranoïa peut être un dernier recours qui s’impose comme inévitable pour le sujet. Et Lacan d’ajouter : «  L’acte agressif résout la construction délirante[5] ». L’acte est ainsi mis en rapport avec la résolution du délire. Cela veut alors dire que suite à l’acte le délire disparait, la construction

l'action. Si la servante exhibe des traits de caractère qui lui sont propres, ceux-ci dérivent directement de la juxtapostion des diverses scènes dramatiques; ils n'ont aucune valeur morale intrinsèque et n'existent qu'en fonction de l'exploitation du rire qui découle de l'esquisse des différentes caricatures. W. G. Moore a insisté sur la neutralité des intentions morales des personnages de Molière qui ne cherchent pas à exprimer d'opinions (85-97). Je suis entièrement de cet avis, sans toutefois nier