Le Rire Est Il Toujours Cruel

Qu'il soit vert ou bleu depuis sa naissance  Il a les yeux roug's, il est plein d'excroissances  Qu'il soit asthmatique, goîtreux ou rampant  Malheur à celui qui blesse un mutant  Dans l'institution où l'on plaça le p'tit chauve  Il faisait bien rire avec sa douzain' de doigts  Il faut reconnaître qu'une main tout' mauve  Ce n'est pas courant sur la têt' d'un p'tit gars  refrain  Il y avait des jours où c'était dur pour l'pauvr' gosse  Quand avec un'sonde il fallait l'alimenter  Car je

enfance est peuplée de personnages oniriques, de fées et de sorcières, auxquels j'offrais mes recettes immondes; qui, à l'époque, m'apparaissaient comme les plus fins des mets gastronomiques. Toujours en osmose avec mère nature, ma grande passion enfantine était l'eau. Mon grand-père était pêcheur et m'a toujours emmenée avec lui en bateau. Pendant qu'il travaillait, je me baignais dans l'eau salée aux effluves iodées. L'été, je communiquais avec la mer et ne foulais le sable de mes petits pieds dodus

: L’attitude des jurés est mécanique avec leurs éventails : Camus semble souligner ironiquement cet aspect mécanique, à l’aide d’une antithèse (« grands ventilateurs » / « petits éventails »). « L’après-midi, les grands ventilateurs brassaient toujours l’air épais de la salle, et les petits éventails multicolores des jurés s’agitaient tous dans le même sens. » : cette phrase dévalorise la scène : les jurés sont rapprochés ironiquement avec les ventilateurs. L’expression « brasser l’air » peut évoquer

mon coussin, Par tout touchez, Je ne connais pas mes voisins, Si vous voyez. Dieu, saint Julien je vous en loue Car j'ai si bien appris les doux Jeux de ma main, par dessus tout, Elle donne un conseil qu'ayez-vous Le bon avis Que brille toujours le rouge des joues Que j’ai décrit. * Bernard de Ventadour : Bernard de Ventadour ( en ancien occitan Bernat de Ventadorn ) est né vers 1125 à Ventadour et mort après 1195, il fut l'un des plus célèbres troubadours. Ce n'est merveille

Préface au lecteur La poésie représente, pour la plupart des gens, une partie de la littérature qui est (d’avantage que les autres) hermétique est incompréhensible. Cette vision simpliste des choses m’a toujours choqué, en quelque sorte, car on m’a toujours appris l’amour des mots et de leur sonorité. La poésie, bien qu’elle soit un art à part entière, prend ses racines dans la chanson, et, tel deux arbres qui grandiraient cote à cote, et dont les branches s’entremêlent, ils puisent chacun dans

(Dubois, 2001, p.95). La prochaine étape est donc de satisfaire l’appétit, c’est 7 Lloyd, « Huysmans et l'humour fin-de-siècle », in J.-K. Huysmans: la modernité d'un anti-moderne, Bonnet, L’écriture comique de J.-K. Huysmans, 2003 Nous ferons toujours référence à En ménage avec l’abréviation « EM » 2003 8 9 2 le « célibat avec bordel » (ibid, p.95), qui frustre malgré la satisfaction passagère, et cette étape lance le début d’une crise sentimentale et libidinale qu’il appelle une «

Introduction de l’idée de moralité (définition proposée par les élèves) Recherche de la moralité dans la Travail individuel fable de La Fontaine Correction immédiate Travail collectif Question : quels sont les Travail collectif éléments que l’on retrouve toujours dans une fable ? (à noter sur une affiche) Un titre Deux animaux différents Une histoire (avec un début, un milieu, une fin) Une moralité (un conseil ou une leçon) Lecture individuelle de la fable Travail individuel d’Esope « La fourmi et la colombe

Du Bellay, Les Regrets ; sonnets 30 → 60 n° Analyse thématique Commentaire 30 Thème : celui qui peut voyager en oubliant l'amour de ses parents et de sa maîtresse sans penser au retour est, selon DB, « fils d'un rocher ou d'une ourse cruelle ». Particularité : s'adresse à qqun (« mon Bailleul » prêtre de la maison du cardinal de DB cf note page 217) qui l'a aidé et qu'il cotoie à Rome Inutrition v10/11, Didon dit qq chose semblable à Enée. Structure gramm : 2 premiers quatrains

1 Juste la fin du monde, Jean-Luc Lagarce Première partie, scène 3 : De « J’habite toujours ici avec elle » à « tu dois pouvoir comprendre cela » Suzanne, film de X. Dolan Introduction : La scène entre Suzanne et Louis (ou plutôt la tirade de Suzanne face à Louis) est la première des scènes intimes qui mettent le jeune homme en présence de chacun des membres de sa famille. Elle intervient très tôt dans la pièce, juste après les deux scènes qui évoquent l’arrivée de Louis et les premières

souffrance, qu'elle tente en vain de cacher.      D'un autre côté, les autres voyageurs sont indifférents, voire parfois cruellement contents de ce qui arrive à Boule de Suif.  L'auteur nous le montre bien par le haussement d'épaules du comte et le «rire muet de triomphe» de Mme Loiseau.  Nous aurions alors pu croire que les "bonnes soeurs" porteraient secours à la pauvre Boule de Suif, affamée.  Hélas, par une antiphrase ironique, l'auteur nous fait bien comprendre qu'elles ne sont pas plus charitables