Le Rire Geste Social

Avant d’entamer ce travail, la première question qu’il m’est apparue importante de me poser est : qu’est ce que la relation éducative ? Marcel Postic, dans son ouvrage intitulé Relation Educative1, la définit comme « l’ensemble des rapports sociaux qui s’établissent entre l’éducateur et ceux qu’il éduque, pour aller vers des objectifs éducatifs, dans une structure institutionnelle donnée, rapports qui possèdent des caractéristiques cognitives et affectives identifiables, qui ont un déroulement

compris la morale et la religion. Il est antisocial, il n’accepte pas les devoirs qu’impose la vie sociale. Totalement à l’opposé du respect de l’autre, mais a un certain sens de l’honneur. Il est totalement libertin et athée. Jamais il ne se repend, même plongé dans les flammes de l’enfer. Il est matérialiste. Il aime le pouvoir, abus du pouvoir de séduction, abus du pouvoir de sa position sociale. Il créer des conflits, violence verbale et physique. Refus de la contrainte. Sganarelle : Il est

très sûr de lui malgré son incompétence, qui se montre pédant avec ses mots en latin alors qu’en fait il ne sait rien ; Argan ne s’en rend pas compte mais le public si. -Il n’y a pas de didascalies pour le comique de geste, mais on peut imaginer une mise en scène où le comique de geste serait très présent, notamment lorsque Toinette dit «ce pouls-là fait l’impertinent », ou qu’il faut couper un bras et crever un œil à Argan.-Le comique de répétition est très présent dans le discours de Toinette: les

stéréotypé: le lieu de l'enferment d'une bourgeoisie étriquée : Salon → lieu stéréotypé du bourgeois. Parodie du salon des Chant de Bises. Dès la didascalie parodie de «  La puce à l'oreille » de Feydeau. Meubles anglais: indique un certain statut social, certain chic. Une bonne : Marie ( l.38) => Ionesco vieillit son discours. Salon lieu de la représentation, où on reçoit. Salon stéréotypé, lieu clos => reflet des personnages étriqués dans leurs conventions. « John », « Baker » => noms typiques anglais

question et en transmettant une morale. Les dramaturges alors les plus connus sont Corneille et Racine qui se sont consacrés à la tragédie, et Molière qui s’est voué à la comédie. Le théâtre permettait alors aussi une distinction entre les classes sociales qui sont disposées différemment dans les tribunes.4Le théâtre au XVIIème siècleTrès inspirés des auteurs antiques, Molière s’inspire de La Marmite de Plaute en écrivant l’Avare, et Racine du mythe d’Euripide afin d’inventer sa célèbre Phèdre. Tandis

« Cupidon », «petit ange »). Arlequin fait trois apartés dont le seul témoin est le spectateur parce qu’il sait qu’il peut être rejeté. Lisette à force de se frotter à sa maîtresse n’est ni une domestique ni une fille de condition, elle a acquis un vernis social, elle est donc tout à fait crédible dans le rôle d’une fille de condition : c’est une sorte de mimétisme. Lisette a un bon caractère après trois répliques un peu sèches où elle le traite de « faquin », « de magot », « d’animal », elle rit, son bon

habit de cour, tandis que les garçons tailleurs manifestent leur joie pour les pourboires dont ils ont été gratifiés en dansant le second intermède (scène5). ACTE III : en croisant M.Jourdain habillé en gentilhomme, Nicole, la servante, est prise d'un rire incoercible (scène2), tandis que Mme Jourdain, consternée, dit tout net à son mari ses quatre vérités : il est proprement ridicule avec les grands airs qu'il cherche à prendre (scène3). Arrive Dorante, un comte dont s'est entiché M.Jourdain, à qui

par les usages d’une classe d’hommes ou d’une époque. C’est la satire d’un comportement social. Approche du genre :  le mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités

d’une vérité spirituelle d’ordre chrétienne destinée à un public religieux (des clercs, des moines et des moniales); ensuite elle s’est diversifiée au gré d’une thématique sociologique, psychologique et cathartique (libération émotionnelle). Cette geste caricaturale où les animaux sont représentés vivants agissant comme des humains sous la loupe grandissante du grotesque de la bouffonnerie ne cessera de divertir, d’amuser voire d’être perpétuée dans les œuvres de Boccace, Corbaccio, Rabelais, Gargantua

L'homme qui rit, Victor Hugo Ursus → auto-représentation de l'auteur = clé[*] possible du personnage mais pers. = plus que le modèle réel. Le discours social d'Ursus ressemble à celui de V. Hugo Hommes de savoir U. = intellectuel, « philosophe », ancien précepteur d'un Lord mais a été EXILÉ à cause de ses idées . = être inentendu // V. Hugo → appel à l'INSURRECTION après le coup d'état de Napoléon III U. = petit créateur ex nihilo Il a écrit une pièce de théâtre