Le Rire Ironique

humoristique (l'humour relève d'un art du langage). Le rire (et la force critique du texte) naît ici du motif dérisoire des querelles ; l'ironie, de la disproportion entre celui-ci et leurs conséquences. 2. L'art du récit Il est caractérisé par la rapidité grâce à l'asyndète : par l'économie des liens logiques, les faits se juxtaposent, s'enchaînent et le récit est plus vivant. La petite anecdote est structurée sur le même modèle : une définition ironique de la querelle, la dérision des positions en

Rire philosophe, blasphémateur, grimaçant, mordant, sardonique, sardonien, railleur, moqueur, narquois, satirique, ironique, sarcastique, blessant, sadique. Rire panique, populaire, gras, grossier, franc, enjoué, joyeux, goguenard, argentin, retentissant, sonore, bruyant, énorme, communicatif, éclatant, contagieux, compulsif, convulsif, inextinguible, irrépressible, épais, gloussant, spasmodique, aigu, homérique... Rire charmeur, séducteur, ensorceleur, émerveillé, rose, rouge, blanc, agréable

position registre polémique qui permet d'exagérer (exemple : le personnage de Lantier dans Germinal (Zola) qui se lance dans un plaidoyer, avec un vocabulaire péjoratif et une ponctuation agressive) registre satirique qui permet de convaincre par le rire (exemple : Cyrano de Bergerac qui fait preuve d'humour lorsqu'il dénonce l'incapacité des médecins) C. Les procédés qui permettent de convaincre plus aisément les lecteurs procédés musicaux (exemple : Rimbaud dans son poème "A la musique" avec l'allitération

la logique et de la vérité universelle qu'il partage avec les gens de bon sens, il choisit de l'attaquer avec une arme de choix: l'humour (le rire). En tournant en dérision tout ce qui appartient à ce monde, en grossissant, en caricaturant ses défauts et ses vices, il cherche à le discréditer, à le disqualifier, à dévoiler sa fausseté, son incohérence. Le rire satirique comporte du mépris, parfois même de l'agressivité, mais il écarte la passion, le tragique ; la satire implique une distance, un détachement

traitent du même sujet, mais là où le document 3 traite le thème à l'échelle internationale, le document 4 se centre surtout sur la France. Document 5 : L'affaire concerne Stéphane Guillon et Eric Besson. SG, après avoir fais un descriptif ironique, osé et satyrique, s'est vu licencier de la station de radio dans laquelle il travaillait pour propos injurieux envers la personne politique de EB. Dans le premier texte, ce dernier s'est expliqué dans le journal «Libération» afin de signaler qu'il

suggère souvent plus qu’il n’affirme une idée. Il recourt à la légèreté de l’allusion au détriment de la lourdeur de la démonstration. Il se cache de la censure en attribuant ses critiques à un tiers ou en les dissimulant dans des propos codés ou ironiques comme dans Candide, où l’on retrouve la polémique Voltairienne contre la religion, les jésuite. Voltaire emporte facilement l’adhésion en caricaturant le point de vue chrétien sous les traits ridicules de Pangloss ou du frère de Cunégonde .Les situations

Thunder-Ten-Tronk, est pris dans l’engrenage des combats entre les Bulgares et les Abares. Projet de lecture Dans ce passage, Voltaire démontre toute sa virtuosité d’écriture. En effet il parvient à rire de la guerre mais ce n’est plus le rire de la gaieté comme dans l’incipit mais le rire « grinçant » évoqué par Flaubert. Sur tout le 18ème siècle, l’Europe a connu 84 conflits dans lesquels les hommes ont combattu, non pas pour défendre leur liberté ou une base de justice politique et sociale

PAILLADES ​ Tanguy Culture de la communication ​   Première partie 1) Cette extrait est un texte de Jean Fourastié, économiste français, paru en 1983 dans Le Rire, suite, “Remarques et notes diverses” des éditions Denoël. Dans ce court extrait, il évoque les fonctions du rire pour en distinguer quatre : Le rire est d’après lui un comportement expressif qui permet de maintenir la bonne humeur à l’intérieur d’un groupe (ligne 6). Il est, à ce titre, un ingrédient essentiel de la « convivialité

Coupeau qui tiraient sur la bête. Puis, une clameur s’éleva, où l’on distinguait les voix aiguës et les sauts de joie des enfants. Et il y eut une rentrée triomphale : Gervaise portait l’oie, les bras raidis, la face suante, épanouie dans un large rire silencieux ; les femmes marchaient derrière elle, riaient comme elle ; tandis que Nana, tout au bout, les yeux démesurément ouverts, se haussait pour voir. Quand l’oie fut sur la table, énorme, dorée, ruisselante de jus, on ne l’attaqua pas tout de

eu raison, il insiste (« Et ma femme aussi ») ce qui redouble le comique de la scène au détriment bien sûr d’Arlequin lui-même qui est, rappelons-le, un personnage type de la commedia dell’arte repris ici par Marivaux et dont le nom seul évoque le rire. Quatrième mouvement l. 21-29. Arlequin séducteur - Arlequin qui est souvent maladroit, prétentieux, se trouve de plus en plus à l’aise et en profite pour prendre les attitudes des maîtres. On le voit dans sa manière d’interpeller Silvia qu’il