Le Rire Ironique

reproche personnellement aux habitants de Paris. La forme romanesque permettant de distraire et d’amuser le lecteur, d’autant plus que l’exotisme oriental était à l’époque très en vogue, celui-ci est plus disposé à entendre la critique et peut ainsi en rire. La dimension critique de ce texte est induite par plusieurs éléments, notamment le thème du regard. On relève un champ lexical du regard très présent dans le premier paragraphe : « regardé » l.2, 17 ; « voir » l.3, 13 ; « lorgnettes » l.5 ; « vu »

d’autrui, dénoncer un adversaire en cherchant à le discréditer (marques de la première personne, procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives, antiphrases ironiques), procédés d’insistance (anaphores accumulation), apostrophes, lexique de l’émotion (indignation, surprise)). - Satirique : Se moquer, dénoncer les défauts des autres par le rire (antiphrases, caricature : figures de l’exagération (hyperboles…), naïveté feinte ou éloge paradoxale, allusions et sous-entendus). - Didactique : instruire

d’amplification pour parler de ce héros. On a de l’hyperbole, une accumulation d’adverbe, d’intensité. Le ton comique = il fait rire le lecteur soit par la surprise, l’inattendu qui crée un décalage avec ce que l’on attendait. Il va jouer parfois sur le détournement, sur l’imagination, le comique de situation (la mise en scène), le comique de gestes, le quiproquo. Le ton ironique = il dit le contraire de la pensée. Il fait un faux éloge dissimulant un blâme. C’est en réalité une sorte de raillerie

de l’humour. Première case: Le Chat nous dit que ces règles sont très sévères. Deuxième case: Le Chat nous dit de quoi on peut et de quoi on ne peut pas rire. En l’écoutant on pourrait conclure qu’on ne peut rire de rien. Troisième case: Le Chat se demande de qui peut on rire réellement. De qui peut on se moquer. Mais alors, est-ce qu’on peut rire de tout? ! 2° ! Biographie du Chat et de Geluck. • Le Chat: Le Chat est une série de bandes dessinées et de dessins humoristiques crées par créer par

C’est donc compréhensible que l’abbaye Jorge critique les personnes tel le moine Guillaume de Baskerville qui peuvent penser à placer le rire au-dessus ou la même place que Dieu et de ne plus le craindre « la fonction du rire […] on lui ouvre les portes […] de perfide théologie ». Mais les médecins se prennent pour Dieu car ils donnent des remèdes miracles, pourtant un miracle ne peut qu’être produit par Dieu. Donc les médecins

expriment la sensibilité. anaphores qui insistent sur la force des sentiments hyperboles qui montrent la violence des sentiments. Gradation : qui expriment la progression des impressions Notes personnelles : Le comique: Objectifs : faire rire ou sourire Diverses formes du comique : Le burlesque : provient du décalage entre le sujet et le style adopté. Ex : on peint une situation noble en termes vulgaires. C’est aussi un comique extravagant. Le grotesque joue avec les formes naturelles

long sur l’état d’esprit de Gargantua face à cette véritable corvée, et tout le résultat de cette éducation tend à étudier une heure par jour! Les métaphores « les yeux posés sur le livre » et« l’esprit à la cuisine » mettent en évidence, de façon ironique, que Gargantua ne retire rien de ses études. Donc Rabelais se sert de l’argumentation indirecte pour porter un jugement négatif implicite sur cette éducation. A contrario, les étapes du récit de l’éducation de Ponocrates sont bien différentes. Si

natale pour écrire. Ecrivain polyvalent, il réalise aussi bien des textes polémiques publiés dans le dauphiné libéré, que des romans pacifistes, dans lesquels ses appels à désobéirent le conduisent en prison, ou encore une fresque inquiétante et ironique, intitulée « Chroniques Romanesques », dont l’un des emblêmes est certainement Le Hussard sur le toit, écrit en 1951.C’est d’ailleurs de ce roman qu’est tiré cet extrait. Ce récit raconte l’histoire d’Angelo Pardi, aristocrate italien contraint

homme. Par ce geste Lescaut infantilise des Grieux. Il continue ensuite en lui ordonnant de faire sa révérence : celui-ci obéit et accentue sa gestuelle comme le suggère le superlatif : « deux ou trois des plus profondes », ce qui au théâtre ferait rire les spectateurs ( comique de gestes). Une autre indication est donnée parallèlement sur les gestes concernant l’autre personnage présent, Manon : elle met à l’abri tout ce que M.de G….M... vient lui donner, geste qui replace la situation dans la réalité

attachés à leurs biens les plus modestes, dérisoires symboles de leur identité (Cf. Incipit de La Peau de chagrin) - identité socio-culturelle -> discret effet comique : " du mécanique plaqué sur du vivant " (Bergson) -> " rire de supériorité " (Baudelaire, " De l’essence du rire ", dans Curiosités esthétiques), le lecteur est incité à se moquer d’eux. Stylistiquement, les parallélismes sont discrètement contredits par des antithèses ou des contrastes [un peu comme chez Tacite ?] : " grand " ­ " petit