Le Rire Moqueur

dans un rire moqueur de la petitesse environnante serait un comique qui ne fait pas rire au sens flaubertien du terme, ces aspects risibles seraient une mise en exergue de l’atmosphère poisseuse et tragique dans laquelle sont enfermés les personnages. Alain Vaillant dans « L’Art du « comique qui ne fait [plus] rire »3 souligne ce parallèle et cite la correspondance du 8 mai 1852 d’un Flaubert qui écrit à Louise Colet : « Le comique arrivé à l’extrême, le comique qui ne fait pas rire, le lyrisme

ridait à longs plis ; sa joue était si creuse que l' on comptait ses dents. Malgré le fard épais dont elle était plâtrée, comme un marbre couvert d' une gaze pourprée sa pâleur transperçait ; à travers le carmin qui colorait sa lèvre, sous son rire d' emprunt on voyait que la fièvre chaque nuit le baisait. Ses yeux sans mouvement semblaient des yeux de verre, ils n' avaient rien des yeux d' un enfant de la terre, ni larme ni regard. Diamant enchâssé dans sa morne prunelle, brillait d'

sociaux et religieux. D.J. aurait du donner de l’argent au pauvre de lui-même pour le remercier. Or il ne donne rien (=transgression des codes sociaux et religieux). Il entraîne le pauvre à le lui demander. l. 961 : « Ah ! ah ! » : c’est un rire moqueur. Il “écrase“ encore plus l’infériorité du pauvre sous son mépris (= 2° transgression). l.961 : « ton avis est intéressé » : il dit que les pauvres sont cupides (=avides d’argent), intéressés, opportunistes : il attaque la société et la religion

* Avec la répétition de « tout ». * C’est un écho de l’énumération, voire de l’accumulation dans le rêve de Perrette. * V.38 : « Quand je suis seul, je fais au plus brave un défi ; » * Autodérision : ( Faculté ou fait de rire, de soi-même) * On retrouve l’indicatif présent de la même façon qu’on retrouve l’indicatif présent, futur, imparfait dans la 1°partie. * La chute de diadèmes (V.41), fait référence à la chute du rêve, au retour vers la réalité. REVE |

d’Antonin Artaud : « Du corps par le corps avec le corps depuis le corps et jusqu’au corps » qui traduit l’extrême violence de cet assassinat.Les premières pages délimitent le cadre. D’abord, « La chambre vide. » « L’homme » à l’ « air étrangement moqueur »,  « allongé à même le sol sur un matelas rouge ». Et « la femme » à son chevet. Ensuite, des phrases courtes, rapides qui nous amènent à une lecture saccadée, rythmée par les mouvements de la femme égrenant continuellement son chapelet et les respirations

faire. Détail Jim. - Tu dis alors que son roman est une forme d’art qui est dure à comprendre ? - Oui je pense. Mais bon comme le dirai Diderot, C’était écrit la haut que tu ne comprennes pas comme moi je l’ai compris. D’un ton moqueur. Après cela, les amis se sont mit à rire et sont parti manger à la cantine.

brume enveloppe, Un roc hideux, débris des antiques volcans. Le Destin prit des clous, un marteau, des carcans, Saisit, pâle et vivant, ce voleur du tonnerre, Et, joyeux, s’en alla sur le pic centenaire Le clouer, excitant per son rire moqueur Le vautour Angleterre à lui ronger le cœur. Évanouissement d’une splendeur immense! Du soleil qui se lève à la nuit qui commence, Toujours l’isolement, l’abandon, la prison; Un soldat rouge au seuil, la mer à l’horizon. Des

les lèvres l’insomnie et les voix La voix d’Hérodiade en rut et amoureuse Mordant les pâles lèvres du Baptiste décollé Et la voix des hiboux nichés au fond des yeuses Et l’écho qui rit la voix la voix des en allés Et la voix de folie et de sang le rire triste De Macbeth quand il voit au loin la forêt marcher Et ne songe pas à s’apercevoir des reflets d’or Soleil des grandes lances des dendrophores Pablo Picasso, « Les Bateleurs » huile sur toile, 1905 Jean-Baptiste Chassignet (1570?-1635?) J'ay

Serre-moi contre toi, jusqu'à en étouffer. Prends ma main et ne la lâche plus. Sèches mes larmes et donne-moi ce sourire que seul toi connais. Appelles moi même quand je suis énervée. Dis-moi Je t'aime au moment que tu juges le plus beau, fais-moi rire comme jamais. Chatouille-moi même si je n’en ai pas envie. Fais de ce rêve une réalité et surtout ne brise pas tous ces espoirs. Car toi seul sais à quel point tu comptes à mes yeux. Je donnerais tout pour un seul regard de toi, pour passer toutes

comme Salai dans les yeux de ce personnage . D'autres encore disent que se serait un autoportrait ou deux visage peint l'un sur l'autre. Tout cela porte à confusion et c'est peut êtres pour cela qu'elle nous lance ce regard et ce sourire si moqueur. Nous ne connaîtrons donc jamais vraiment l'origine de ce tableau ni l'interprétation que nous devrions nous en faire . I I I reprise de la Joconde Reprise d'un peintre Beaucoup d'artistes ont repris la Joconde en y ajoutant leur touche