Le Rire Paradoxal

de procédés d’écriture variés Les registres : Comique - Jeux sur les mots - Effets de chute, de rupture et de décalage - Répétitions mécaniques des mots ou de situation - Ironie - Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas) Faire rire ou sourire Délibératif - Articulations logiques explicites (hypothèse, cause, conséquence, opposition, but) - Argumentation serrée, raisonnements concessifs - Interrogations (adressées à soi-même ou a autrui) Ouvrir un débat, discuter en vue de prendre

est universel, éternel . Non seulement on peut mais on doit copier leurs ouvrages! il ne s'agit pas pour autant de les plagier. L'imitation n'exclut pas la création et l'originalité. Plaire et instruire L'art doit d'abord émouvoir, provoquer le rire ou les larmes: pour tous les écrivains classiques, rien n'est pire que ce qui laisse froid. Mais ce plaisir est révélateur : «il faut de l'agréable et du réel, écrit Pascal , mais il faut que cet agréable soit lui-même pris du vrai.» L'imitation de

enfant maltraité, insulté, ridiculisé, par son père et ainsi passer d’un monde secret et brutal à une fragile ouverture sur l’espoir grâce à une amitié qui lui permet de découvrir le bonheur et la joie de vivre. Pablo est mû par deux sentiments paradoxaux : Parler pour vivre Se taire pour survivre. * Description détaillée Dans ce film, une scène m’a particulièrement marquée : la scène où, après avoir appris que son parrain, qui a le S.I.D.A allait de moins en moins bien, Alfredo décide

attitudes et enfin comment Meursault aborde la réalité. Nous pouvons remarquer que dès les premières phrases de l’extrait, on retrouve le côté naïf de Meursault car il cherche toujours la facilité ; c'est pourquoi le verbe «  j’ai pensé » semble paradoxal tant le personnage nous donne plus l’impression de subir les choses plutôt que de les prendre en main. En effet, c'est un homme qui semble passif au monde et semble vivre selon le rythme de la nature. Nous pouvons confirmer cet argument avec

un poulet) et met en évidence son lien avec le corps par opposition à l’âme dont s’occupe la tragédie : la farce fait référence au bas corporel, à la nourriture et multiplie les obscénités sexuelles. Toute licence et lascivie y était admise[2]. Le rire qu’elle déclenche relâche précisément le corps du spectateur. Cet univers purement corporel est lui-même composé d’un hachis qui souligne par sa nature son refus absolu de toute règle et son goût pour le mélange des tons. A ce lien constant avec le

comprenais pas quels liens cette scène avait avec le reste du spectacle. Et ce, autant dans la forme que dans le fond. Cette scène m'échappait complètement et je trouvais ça jouissif. Je trouvais cette scène très satirique et elle m'a fait beaucoup rire, puis réfléchir. Elle mettait pour moi le doigt sur la grossièreté de certaines émissions de télévision. Je riais beaucoup et je m'étonnais de voir ce personnage de Kiki Reuten aller toujours plus loin dans ses exagérations, jusqu'à sauter dans le

fin morale ? L’humour et le rire 1) la manifestation d’un humour mondain a) joute verbale et logomachie b) mots d’esprit c) persiflage 2) le rire, révélateur de personnage a) Emilie Complice libertine de V., elle fait entendre son rire la première fois lorsque son corps sert de pupitre à V. Ce dernier rapporte l’hilarité ambiante à M.: « Emilie […]en a rit comme une folle » b) Cécile et Danceny Elle est l’un des seul personnage à rire aux éclats, témoin de sa candeur:

Molière (1622-1673) est inséparable de l’histoire du théâtre classique français. Ses comédies de mœurs et de caractère représentent une véritable galerie de la société du XVIIe siècle. Son premier souci est de «plaire». Pour lui plaire voulait dire rire. Et le rire est son arme. Son comique est toujours significatif. Molière cherche le réel des situations et excelle dans la peinture de la nature humaine. Au 17eme siècle la comédie cherche à corriger les mœurs tout en riant, elle illustre une aventure ordinaire

lecteur verra, en différents passages, de quels termes il se servait pour la caractériser. On dirait vraiment, à voir l'ardeur qu'il y dépense, qu'il avait à s'en venger comme d'un embarras public, comme d'un fléau de la rue. Combien eût-il ri, de ce rire méprisant du poète qui ne grossit jamais la grappe des badauds, s'il était tombé, comme cela m'est arrivé récemment, sur cette phrase mirifique qui fait rêver aux bouffonnes et volontaires absurdités des paillasses, et que j'ai trouvée se pavanant

lumière blanche représente le jour, la lumière bleue la nuit, la musique représente un événement (cri de guerre) […]. » Les masques de l'Antiquité amplifient et déforment voix et visages pour mieux souligner l'identité du personnage : une bouche au rire largement ouvert signale le personnage comique… De même, les costumes, aux couleurs souvent tranchées, prennent une valeur symbolique : le traître de mélodrame est vêtu de noir et porte un large chapeau qui lui couvre le visage pour mieux montrer sa