Le Rire Pendant La Guerre

: sujet sur la dénonciation de la guerre, DST de février) : - Repérer la thèse : une condamnation de la guerre > introduction Repérer les arguments > 1 Identifier, caractériser la manière dont ces arguments sont formulés > 2 Attention, un tel plan (arguments, procédés) peut donner l'impression qu'on va séparer le fond et la forme. Ce n'est pas le cas : en 1, si on évoque, parmi les arguments, celui qui consiste à dénoncer les horreurs de la guerre, on le fera en soulignant l'importance

fort sur lequel repose l’acmé comique des scènes. Dans cet extrait Pierre Augustin Caron de Beaumarchais met en valeur la ruse et l’intelligence féminine de façon à dévaloriser les valeurs masculines. Nous verrons donc comment, tout en éveillant le rire chez le spectateur ce passage remet en question la condition sociale de la femme du 18 éme siècle. Pour cela nous analyserons dans un premier temps en quoi ce passage dévoile une relation presque incestueuse entre Chérubin et sa marraine, et dans un

semaine en Scandinavie « il faisait sombre en Finlande, nuit et jour », « j’ai été souvent ivre », « Là-haut j’ai pensé à toi et à Stéphane » ainsi Marianne lui a fait aucune réflexion et enchaina en lui demandant «  et les affaires ? » il se mit à rire. Arrivé à la maison, lorsque les parents entrèrent, l’enfant n’adressa pas la parole à son père et continua à lire ainsi il fouilla sont père pour voir si il lui avait rapporté quelque chose. Bruno proposa un « repas de fête » à sa femme car il trouva

orphelins perdus dans la tempête : Gwynplaine, un jeune garçon marqué au visage par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rire, et Déa, une fillette aveugle. Quelques années plus tard, ils sillonnent ensemble les routes et donnent un spectacle dont Gwynplaine, devenu adulte, est la vedette. Partout on veut voir ‘L’Homme qui rit’, il fait rire et émeut les foules. Ce succès ouvre au jeune homme les portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui l’aient

Chaplin qui est aussi l'acteur principal. Le film raconte l’histoire d’un pays, la Tomainie, qui est dans les années 1930 sous le contrôle du dictateur Hynkel qui rêve de dominer le monde et mène une politique de discrimination contre les Juifs. Pendant ce temps, dans le quartier juif de Berlin, vit un barbier qui est le sosie du dictateur. Lors d'une rafle, le barbier juif est confondu avec Hynkel. Il prend la place du dictateur et prononce à la fin du film un discours pacifiste accueilli avec enthousiasme

surtout pas d’enlever vous chaussures à l’entrer. -Martin : On ne peut pas les enlever pendant nos heures de travail madame. Excusez-nous. -Marguerite : Bon, ce n’est pas grave je peux faire une exception cette fois-ci pour deux beau homme comme vous! Marguerite se dirige vers la salle à manger Marguerite : Ne soyez pas gêné! C’est par ici la sale a mangé, on va pouvoir discuter assis en paix pendant que je vous concocte de la fraiche limonade. Les deux policiers arrivent dans la salle

Il s’intéresse à la littérature allemande. Il a été mobilisé pendant la première guerre mondiale en 1914, il a été blessé deux fois. Cette expérience difficile lui a inspiré sa première œuvre, « Lecture pour une ombre » de 1917. En 1927, il rencontre le comédien et metteur en scène, Louis Jouvet. C’est à partir de ce moment qu’il va commencer à écrire des pièces de théâtre. Il écrit donc « Amphitrym » en 1929, ainsi que « La guerre de Troie n’aura pas lieu » en 1935 et « Electre » en 1937. Jean

faisait régner la paix dans son royaume. Il avait réussie après des années de guerre, d’avoir la paix avec elfes, nains, djinns et divers créatures magiques. L’empire Maomoïs était riche, en sécurité et les gens étaient heureux avec des grandes terres et peu d’impôts. Cependant Alaric n’aimait pas ça, lui il était sanguinaire et ambitieux et il n’aimait pas la paix qui s’était instaurée. Ses parents était morts pendant la guerre, quand il avait à peine quinze ans. Maintenant, dix ans après il était devenu

Après avoir commencé à l’évoquer Dans le silence de la nuit, introduction de L'Homme foudroyé écrit entre 1941 et 1944, Blaise Cendrars revient dans ce second volet de ses mémoires sur cette putain de drôle de guerre de 14. « La Main coupée est un monument aux morts de la Grande Guerre, comme ceux sur lesquels on a inscrit, année par année, les noms des disparus, morts identifiés mais morts obscurs, sans gloire. Blaise Cendrars a prélevé dans sa mémoire les bribes de la vie et de la mort de ses compagnons

lecture n°2 : Le silence de la mer. Fiche de lecture n°2 : Le silence de la mer. 1) Résumé. En pleine deuxième guerre mondiale, un jeune soldat allemand (Werner Von Ebrennac) va s’installer dans une famille française composée d’un homme et de sa nièce qui accueillent l’homme dans un silence de mort. Très vite, une routine s’installe dans la maisonnée française, le soir pendant l’hiver, le troufion vient se réchauffer près du feu et entame un monologue sur la France, la musique, la littérature