Le Rire Satanique

L’actrice, Marie Daubrun, remplaçait provisoirement la chère mulâtresse. Ne logeant plus chez elle, Baudelaire errant, changea huit fois de domicile, en cette période (1855-1856) où il publia une étude sur l'Exposition universelle et “L'essence du rire”. “Les histoires extraordinaires”, en deux volumes, furent mises en vente à la Librairie Michel Lévy. En 1855, Marie Daubrun devint la maîtresse de Théodore de Banville et vécut avec lui. Baudelaire, jaloux, lui adressa le cruel poème ‘’À une Madone’’

lÕentourent dans la nostalgie du temps passŽ ; le Sujet est irrŽmŽdiablement seut. Voici Albertine Žchangeant avec le HŽros des rŽflexions empreintes de nostalgie : Elle Žtait devenue extr•mement intelligente et quelquefois dÕellem•me, avec un bon rire, elle me disait : Ç Vous vous rappelez mon cher Racine. È Je rŽpondais : Ç Oui, ˆ Balbec, sur la falaise. Ñ Oui, mais ˆ ce moment-lˆ, vous ne mÕavez pas dit combien jÕŽtais ridicule. Mais ˆ Paris, vous vous souvenez, le jour o• vous mÕavez dit que

verrez qu’à notre prochaine séance d’hypnose, vous irez beaucoup plus facilement et beaucoup plus vite dans la transe. • La prochaine fois que vous entrerez dans un tunnel d’autoroute, vous vous souviendrez irrésistiblement d’une chose qui vous fera rire et vous serez très détendu au volant. • Et je me demande si c’est entre dix heures et onze heures… ou entre onze heures et minuit… que vous aurez la même sensation irrésistible de détente… et de sécurité… juste avant de laisser venir le sommeil

Mais Louis le Grand, XIVe du nom, va bientôt imposer sa vision de l’art d’écrire : économie des moyens, rigueur dans la composition, efficacité dans la transmission du message ! Ainsi s’impose finalement le genre classique, avec un Molière qui fait rire dans ses comédies, un Racine qui émeut dans ses tragédies ou un Boileau qui théorise à longueur d’alexandrins. Dans leur sillage : Madame de Sévigné et ses adorables lettres en petits potins, La Rochefoucauld et ses maximes, Perrault et ses contes

manifeste à être heureux. Impossibilité d’être satisfait de soi-même. Les symptômes négatifs sont bien plus résistants aux traitements que les symptômes positifs. Exemples de symptômes négatifs : Rien ne me satisfait dans la vie. Il m’arrive de rire, mais c’est nerveux. Quand j’écoute de la techno à fond, je me sens pas mal, mais mon plaisir est faible même à ce moment-là. Quant au sexe, c’est pareil. Même pas autant de plaisir que la masturbation… » (réponse) Après ma deuxième hospitalisation

au temps alimentent l'œuvre schwobienne en lui donnant parfois sa dimension tragique. De la décadence dénoncée découle la transgression exacerbée ; de la transgression des règles émerge une nouvelle façon de combattre qui serait d'utiliser le rire comme arme première. b. Transgression La transgression est celle de la norme de l'époque dans laquelle vit Marcel Schwob, en ce sens que de nombreux de vices se répandent dans toutes les classes sociales. Exploiter ces transgressions

Mais Louis le Grand, XIVe du nom, va bientôt imposer sa vision de l’art d’écrire : économie des moyens, rigueur dans la composition, efficacité dans la transmission du message ! Ainsi s’impose finalement le genre classique, avec un Molière qui fait rire dans ses comédies, un Racine qui émeut dans ses tragédies ou un Boileau qui théorise à longueur d’alexandrins. Dans leur sillage : Madame de Sévigné et ses adorables lettres en petits potins, La Rochefoucauld et ses maximes, Perrault et ses contes

issu d’une famille athénienne terrienne, a écrit 40 comédies dont 11 nous sont parvenues. C’est le créateur de la comédie comique. Il a pour but de faire rire via une critique de la politique. Aristophane fait rire en faisant des choses énormes, de la bouffonnerie, mais aussi du fantastique. Il juxtapose le fantastique et la réalité, ce qui fait rire les gens. On distingue trois phases dans sa carrière   Section I- Aristophane   A.  La satire militante de -427 à -421   Il oppose dans Les convives

sur la naissance du théâtre de vaudeville qui, à sa façon, transcrit également des réalités dans lesquelles tout le monde se reconnait plus ou moins. Les deux écrivains traitent la société bourgeoise en deux manières différentes : la satire et le rire. Zola revient à l'ère florissante des sciences de la nature dans laquelle les chercheurs ont étudié la vie, enregistré ses phénomènes et de plus ils ont fait les essais et codifié les résultats et les commentaires. Ces chercheurs ont rejeté l'imagination

mangeait plus, se faisait lire les communiqués auxquels elle ne comprenait rien, par le maître d'hôtel qui n'y comprenant guère davantage et chez qui le désir de tourmenter Françoise étant souvent dominé par une allégresse patriotique disait avec un rire sympathique, parlant des Allemands: "Ça doit chauffer, notre vieux Joffre est en train de leur tirer des plans sur la comète." Françoise ne comprenait pas trop de quelle comète il s'agissait, mais n'en sentait pas davantage que cette phrase faisait