Le Roi Et La Féodalité

liés par serment à un chef, qu’ils s’engagent à servir au besoin les armes à la main. Ceux qui prêtaient un serment particulier au roi ; les antrustions ; formaient sa garde royale, la truste. Ce lien de dépendance était plus fort que celui des sujets. La truste désigne l’un de ses groupes, et le mot évoque une notion de dévouement, de confiance. En principe, seul le roi a une truste, dont les membres, ses fidèles, ou leudes, assurent sa protection ou accomplissent pour son compte certaines missions

liés par serment à un chef, qu’ils s’engagent à servir au besoin les armes à la main. Ceux qui prêtaient un serment particulier au roi ; les antrustions ; formaient sa garde royale, la truste. Ce lien de dépendance était plus fort que celui des sujets. La truste désigne l’un de ses groupes, et le mot évoque une notion de dévouement, de confiance. En principe, seul le roi a une truste, dont les membres, ses fidèles, ou leudes, assurent sa protection ou accomplissent pour son compte certaines missions

de la puissance de cette dernière entre le roi précédant et le roi qui s’apprête à régner. Cette transmission connait une série de règle qui sont référencés dans les lois fondamentales du royaume. Elle peut toucher deux aspects différents l’intérêt personnel ou l’intérêt général. On entend par intérêt personnel la tendance à ne voir le monde qu'en fonction de soi-même, au risque du détriment d'autrui. Durant la période étudiée, il s'agira des faits du roi ou de la famille royale pour garder leur puissance

devant des juges. Cette présence se comprend, les parties à l’acte vont faire constater leur accord par une personne susceptible de la connaître en cas de litige. A la fin du troisième millénaire avant notre ère, apparaît aussi la personne du roi. L’intervention du roi est bien plus efficace que celle du juge ; la valeur du document va se trouver parfaitement établie par l’autorité de cette figure souveraine. Le droit devient, est aussi une prérogative du pouvoir. II. Le droit du pouvoir Dès

ces sociétés qui enracinent le pouvoir politique au sein de hiérarchies multiples et enchevêtrées. 3. (! FÉODALITÉ llET. ~PÔRTS DE DÉPENDANCE Les études des anthropologues, consacrées aux sociétés qu'ils caractérisent comme «féodales )),montrent concrètement l'articulation d'un système d'inégalités et d'un régime politique, en dépit des controverses qui opposent les vraies féodalités - celles du Moyen Age européen - aux pseudoféodalités - celles qu'ont portées, et portent encore, l'Asie et

Leurs traditions sont très différentes de celles des Romains, leur civilisation est très primitive, pastorale, itinérante. Sur le plan politique, ils n’ont qu’une organisation très simple, un système tribal et chaque tribu dispose d’un chef, d’un roi désigné par l’assemblée des guerriers. On peut retenir que les rapports sociaux s’organisent à deux niveaux autour de l’idée de solidarité. Cette cohésion se rencontre au niveau de la famille (le clan sous l’autorité du père) et sur le plan militaire

période a la fais de déclin et de progresive renaissance sur un plan poli, culturel et dc intellectuel. Du Veme au XI onasite une regression de la civilisation occidentale, l'Etat diparrait et il est remplacé par un new systéme féodl qui est la féodalité. A cette époque l'aspect scientique est confiné des des cercl tre strestrient , la pop y compris les dirigeant poli on une mentalité magico religieuse et dc a priori on peut doiuter qu'il existe une véritable pense politique a cett période. En fait

causes de cette guerre, et nous tenterons également d'établir si elle représente ce qui caractérise principalement le Moyen Age. Premièrement, nous poserons le conflit de succession et son impact sur la guerre. Deuxièmement, nous aborderons la féodalité, ses caractéristiques et le lien avec la guerre de cent ans. Troisièmement, nous verrons en quoi il s'agit également d'une guerre territoriale où le Duché de Guyenne sera un des territoires les plus convoités. Enfin, nous aborderons les armes utilisées

Suger, abbé de Saint-Denis La Geste de Louis VI : La théorie de mouvance des fiefs établit par Suger est issu d’un constat d’affaiblissement du lien personnel dans le lien féodo-vassalique. C’est pourquoi il affirma que le roi de France reste le suzerain suprême de tous les seigneurs du royaume parce que tous les fiefs procèdent du royaume. Le texte que nous avons a commenté est un extrait du chapitre III du livre de Suger abbé de Saint-Denis intitulé La Geste de Louis VI . Louis VI qui fut

n’y a pas de contre pvr instit, le roi a son pvr de dieu et ne doit pas rendre compte à des instit humaine. Ça ne veut pas dire despotisme, tyrannie. Le roi est entouré de conseil, il est soumis aux lois fondamentales, divines. Et le pvr en théorie absolue est limité en pratique par des contres pvrs tel que la structure de la société. Les privilèges, les résistances locales, des contres pvrs existent qui sont autant de freins à la réformation de la monarchie. Le roi ne se confond pas avec l’état. On