Le Roi Et La Féodalité

laissé le Saint-Siège affaibli, tandis que montait en puissance le roi de France (saint Louis, arbitre de la Chrétienté; politique hégémonique de Philippe le Bel) ; - affirmation des légistes au sein du gouvernement royal ; - portée européenne du conflit. Plan : Portée extérieure et intérieure du conflit, rapp. "Le roi est empereur en son royaume", souveraineté du roi à l'égard du Pape et de l'Empereur et à l'égard de la féodalité en France. I. La naissance de l’Etat français A. La fin d'un

Timothy Tackett, né en 1945, est un historien américain spécialisé dans la Révolution Française. Il a publié de nombreux ouvrages ayant pour thème la Révolution Française comme La Révolution, l’Église, la France en 1986 ou Le Roi s'enfuit – Varennes et l'origine de la Terreur en 2004. Par la volonté du peuple, comment les députés sont devenus révolutionnaires ne déroge pas à son thème de prédilection. Publié en 1997, l'ouvrage s'intéresse aux futurs députés de l'Assemblée constituante. Pour son

qui dure de la fin du VIIIeme jusqu’au Xeme. Les carolingiens auront un destin bien different des francs, nous etudieront donc ce regnum francorum. Le royaume est fondé par clovis, le mot merovingien provient de Mérovée qui avait été le deuxième roi des francs au début du Veme, les francs l’admiraient beaucoup d’où le nom donné à cette dynastie. Les frnacs etaient installés dans l’actuelle Belgique et essayaient de penetrer en Gaule mais ont été repoussés assez souvent. Finalement, les francs

laïcisation sur le modèle romain. B/ L'apport chrétien 1) Eglise et pouvoir L'Eglise a apporté des idées en matière de pouvoir. Elle a également apporté un modèle d'organisation. a) Les idées Elle apporte l'idée du dualisme du Dieu et du Roi. Elle distingue l'autorité divine et l'autorité temporelle (la religion et l'Etat). Ce qui était lié dans l'antiquité. Le christianisme dit que pouvoir et Eglise sont séparés mais le pouvoir royal a une origine divine. b) Le plan institutionnel

Emmanuel, Les Chevaliers – Splendeur et Crépuscule (1302-1527), Tallandier, Paris, 1995. DUBY, Georges, Le chevalier, la femme et le prêtre, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, Guillaume le Maréchal, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, Guerriers et Paysans, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. DUBY, Georges, L’An Mil, in Féodalité, Gallimard, Paris, 1996. FINÓ, J. – F., La société féodale, Albin-Michel, Paris, 1994, Tome II. FLORI, Jean, La Chevalerie en France au

forgé l'unité monarchique, puit notre modèle. CHRONOLOGIE : Trois phases importantes : 1) Du 5eme au 12eme, c'est le pluralisme médiéval qui est successivement à fondement ethnique (les royaumes barbares) puis à fondement territorial (la féodalité et les coutumes). Il y a la chute de l'empire romain d'occident, la Gaulle change, se constitue des royaumes barbares, puis la constitution d'un royaume franc et la première dynastie des mérovingiens suivie par les carolingiens et enfin les capétiens

Le roi et l’église au Moyen-âge : Phrase d’accroche : Le meilleur gouvernement est celui d'un seul chef. Somme théologique (1266-1273) Citations de Saint Thomas d'Aquin. Définition des termes du sujet : Le roi est un chef d’Etat qui exerce, généralement à vie, le pouvoir souverain, en vertu d’un droit héréditaire ou, plus rarement, électif. L’église est la communion de personnes unies par une même foi chrétienne. Le Moyen-âge dérive du latin medium aevum : l'aire Intermédiaire entre l'antiquité

expressément citée. A cela s’oppose le fait que ce soit le « sang » qui légitime la transmission du pouvoir royal et une multitude de coutumes qui ont valeurs de règes. En réalité, le concept de constitution monarchique est difficilement envisageable, car le roi est selon la coutume, le plus haut représentant des Hommes sur terre. Mais alors quelle place doit prendre la constitution, car elle aussi doit être au-dessus de tout. Tout d’abord une constitution est la loi fondamentale d’un état qui définit les

combattent, les nobles et les chevaliers, et ceux qui travaillent, les paysans mais aussi les artisans et les marchands. L’Occident est divisé politiquement en plusieurs royaumes. Tous ces royaumes sont organisés selon les règles de la féodalité : le roi et les grands nobles sont des seigneurs qui confient à des chevaliers un bien (terre, château) qui est appelé un fief. En échange de ce fief, le chevalier devient le vassal du seigneur : il lui doit aide et fidélité lorsque celui-ci en a besoin

du terme s’est généralisé à partir du XVIIe siècle. Les historiens actuels divisent habituellement le Moyen Âge en trois périodes, tout en soulignant la grande diversité de l’époque médiévale, hors des facteurs unificateurs qu’ont été la féodalité et la religion chrétienne. 2. Le haut Moyen Âge (du Ve au Xe siècle) Le pillage de Rome par les Goths d’Alaric Ier, en 410, plus peut-être que la déposition, en 476, de Romulus Augustule, le dernier empereur romain d’Occident, fait sur