Le Roi Mystère

1ère leçon ⇒ les sens sont fiables ‘ils sont corrigés par la raison. - V.42 à 54 : ⇒ récit qui développe le titre, emploie du passé simple, et 3ème personne, ⇒ anecdote inspirée d’un fait réel avec un personnage héros : Charles II qui découvre le mystère de la bête - V.54 à 72 : ⇒ discours personnel du fabuliste, ⇒ 2ème leçon ; emploie du futur et imparfait qui exprime un souhait pour l’avenir (de la France) et « nous » ⇒ les Français II) Positions et valeurs défendues par L.F. Conclusion - Laraisonetlessens:v

Louvre, fiançailles de Claude de France et du duc de Lorraine, la référence hiqtorique renforce l'illusion de la véracité du récit. -Effets de surprise : l'arrivée de Nemours peu discrète attire toute l'attention,  "Il se fit un assez grand bruit", mystère quant à l'identité des deux personnages, ils ne se connaissent pas et sont amenés à danser ensemble par hasard, leur identité n'est dévoilée qu'à la fin. -Les deux héros : portrait commun, grande beauté, voir les hyperboles, et surtout reconnaissance

d’ivresse a l’honneur du Dieu. Panthé voulant voir cela et sous l’influence du Dieu qu’il prend pur un serviteur de Dionysos, met un costume de femme et s’approche pur observer les rituels ; les femmes le voiet et sur ordre du Dieu le démembre et tue le roi de Thèbes. Dilème posé : Dionysos influence Panthée a se vétir en Ménade. Euripide fait un lien entre la cité et la barbarie. Passage virilité/féminité par une farce (panthée déguiser en femme)  ce passage de farce comique ce trouve au milieu de la

orphelin, il est le neveu du roi Marc de Cornouailles. Tristan devient un chevalier valeureux. Il tue le géant Morholt, mais il est blessé à l’épaule. Il est soigné par la reine, sœur du Morholt et par sa fille Iseult. Tristan guérit et retourne auprès de son roi. Le roi Marc lui demande de retrouver la femme à qui appartient le cheveu d’or déposé par deux hirondelles. Tristan reconnaît ce cheveu, il sait qu’il appartient à Iseut. Il arrive à décider Iseut à épouser le roi Marc, après avoir tué

femme n’est pas reconnu. Il fut attribué à Madame de Lafayette mais il s’agit plutôt d’une œuvre collective. On lui attribue son nom près d’un siècle après. L’action se passe à la Renaissance (fin 15e siècle  1598, édit de Nantes) et à la cour du roi Henri II. Madame de Clèves est élevé par sa mère et va être marié à un homme qu’elle n’aime pas. Elle qui vient de se marier rencontre pour la 1ère fois le duc de Nemours mais cette rencontre arrive trop tard et leur passion restera sans issue. Nous

symbole des Francs, qui étaient originaires de Flandre où l'iris Faux-Acore ou iris jaune (Iris pseudacorus L.) poussait en abondance sur les rives de la Lys. Le Seigneur d'Armentières en fit le motif de son blason. Lors de l'annexion de son fief par le roi de France, celui-ci décida à son tour de l'ajouter à son propre blason. Ainsi naquit la "fleur de Lys"... qui n'est pas un lys[3]! Un emploi du semis de lys attesté se trouve sur un sceau du prince Louis, futur Louis VIII, en 1211. Semis qui est remplacé

l’historien français Fustel de Coulangues (1830-1889), on ne peut totalement séparer le culte des morts de l’idée même de religion, qui impliquent, l’un et autre, un rapport à l’au-delà, au transcendant : « La mort fut le premier mystère. Elle mit l‟homme sur la voie des autres mystères. Elle éleva sa pensée du visible à l‟invisible, du passager à l‟éternel, de l‟humain au divin ». Ce sont donc de tels hommes, une fois sédentarisés, qui ont été à l’origine des premières agglomérations, puis des cités et finalement

connu la triste et belle joie D'être trahi d'amour et de l'aimer encore O mon coeur mon orgueil je sais je suis le roi Le roi que n'aime point la belle aux cheveux d'or Rien n'a dit ma douleur à la belle qui dort Pour moi je me sens fort mais j'ai pitié de toi 0 mon coeur étonné triste jusqu'à la mort J'ai promené ma rage en les soirs blancs et froids Je suis un roi qui n'est pas sûr d'avoir du pain Sans pleurer j'ai vu fuir mes rêves en déroute Mes rêves aux yeux doux au visage

Les Romains l’ont assimilé au pâle Bacchus. Selon les listes, il fait partie ou non des douze Olympiens, bien qu’il ne vive pas sur le mont Olympe (c’est essentiellement un dieu errant). Le mythe Excitée par la jalousie d’Héra, Sémélé, fille du roi de Thèbes, veut contempler son amant Zeus dans toute sa majesté. Lié par un serment, Zeus ne peut s’y soustraire, et Sémélé, simple mortelle, meurt foudroyée. Zeus alors tire son fils du ventre de sa mère, et s’entaillant la cuisse, y coud l’enfant

On sort de là plein d’une admiration enthousiaste. On se dit : « Plus de mystères ; tout l’inexpliqué devient explicable un jour ; le surnaturel baisse comme un lac qu’un canal épuise ; la science, à tout moment, recule les limites du merveilleux. » Le merveilleux ! Jadis il couvrait la terre. C’est avec lui qu’on élevait l’enfant ; l’homme s’agenouillait devant lui ; le vieillard, au bord de la tombe, frissonnait éperdu devant les conceptions de l’ignorance humaine. Mais