Le Roi Suzerain

cette relation est acceptée par Dieu, car Dieu n’est pas là pour punir, il est là pour pardonner. Mais ce n’est pas l’unique raison de son pardon, il sait aussi ce qui s’est passé sur la nef lors du retour de Tristan et Iseut en Cornouailles. Mais le roi Marc et ses félons ne sont pas Dieu, ils voient cette relation comme une offense contre le pouvoir qui doit inévitablement être punie par la mort. Suite à l’exil de Tristan en Bretagne, leur amour perdure malgré la mer qui les sépare. Mais rapidement

des rois carolingiens et qui ne dépendent que du pouvoir et de la juridiction du roi carolingien et ensuite capétien. A l'époque féodale, l'aristocratie a évolué a cause des dissociations territoriales et ces maisons nobles se sont progressivement écartées de l'autorité impériale. Elles sont devenues des F princières (dérive de princeps). Elles doivent leur puissance non plus à raison du service qu'elles rendent au roi mais à leur hérédité, lignage, et selon un juriste et historien du droit allemand

chanson de Roland on retrouve plusieurs indications pour l’emploi d’un langage féodal. C’est que en premier lieu on fait beaucoup d’aveux et serments qui sont accompagnés des rituels pour montrer la sincérité du locuteur. Par exemple au moment où le roi Marsile donne une branche d’olives à ses comtes, qui est destinée à Charlemagne. Cette branche d’olives renforce son message de réconciliation. Dans la XXIVme laisse on voit que Ganelon reçoit le bâton et le gant. Ces deux objets sont une confirmation

fonction de comte, on associe une terre. 877 : charges deviennent héréditaires à Quercy entre 888 et 987 : naissance des grandes principautés. Roi ne peut exercer son pv partout. Charles le Chauve et successeurs développent politiques de grand commandement → prince sur leur terre. Origine, lien d’homme à homme / hommage. Mais indépendance quasi-totale et roi ne peut gouverner hors de son territoire. Sociétés des territoires se regroupent autour de lui et transmission par le lignage. Plus unité franque

seigneurs (suzerains et vassaux) qui exercent leur autorité sur leur domaine et sur les paysans qui y travaillent. La féodalité ne concerne qu’une partie du Moyen- Âge, pas sa totalité. • Vassal : au Moyen-Âge, homme lié à un seigneur, un suzerain qui lui donnait la possession d’un fief (souvent des terres à cultiver) et jure fidélité (aide financière et militaire). • Suzerain : roi ou seigneur qui donne une partie de ses terres (fief) à un vassal (système féodal). Le suzerain devait protection

rendu Le roi Arthur Michael Morpurgo Accueil DAC !       Présentation à l'AQPDE      Index des comptes rendus MORPURGO, Michael, Le roi Arthur, Éditions Gallimard Jeunesse, 1995, 234 p. (690 mots) L'auteur et son oeuvre Né en 1963 près de Londres, d’où il est évacué rapidement, Michael Morpurgo a écrit quarante livres en une vingtaine d’années. Une de ses œuvres s’intitulait " Le roi Arthur " et racontait la légende du roi Arthur. M. Morpurgo a été poussé a écrire l’histoire du roi Arthur par

Louis VIII en est le prolongement. L'essor monarchique se traduit d'abord par la dilatation du domaine royal, dilatation d'ou le roi tire dés 1204 le surnom d'Auguste, du latin augere ( augmenter). Le roi n'etait pourtant agé que de 15 ans en 1180, et dés 1181, les grands feudataires s'unissent contre lui. Le contexte favorable permet de les evoncer, et ainsi le roi fait des premiéres acquisitions territoriale. De plus, grâce a son union avec Isabelle de Hainaut, il réussit à s'implanter à partir

Dissertation « Autorité royale et féodalité Xe- XIIe siècle » En 987, réunis à Senlis, l’archevêque de Reims Adalbéron et les grands choisirent comme roi un Robertien, Hugues Capet. Cette élection inaugure l’ère des rois dits de la troisième race : les capétiens. Entre l’avènement d’Hugues Capet et celui de Philippe II dit , Auguste, la monarchie capétienne révèle des caractères d’une royauté féodale. Seigneur parmi les seigneurs, le capétien doit d’accommoder d’une féodalité qu’il lui fait investir

papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’. Édition complétée le 25 octobre 2004 à Chicoutimi, Québec. T A B L E D E S M A T I È R E S I. La féodalité dans l’ancienne Chine. II. La Confédération chinoise. III. Le suzerain. IV. Le seigneur. A. Le seigneur et son domaine. V. Le seigneur. B. Organisation sociale des seigneuries. 6e conférence. Groupements féodaux et groupements fami­liaux. 7e conférence. Groupements féodaux et groupements

est le suzerain. Les liens de vassalité L'affaiblissement du pouvoir royal au Xe siècle et l'insécurité favorisent le renforcement de la vassalité. À la fin du siècle, presque tous les seigneurs et grands propriétaires se trouvent engagés dans des liens de fidélité personnelle à l'égard d'un ou de plusieurs personnages plus puissants qu'eux. La recommandation a pris désormais le nom d'hommage, ensemble de gestes par lesquels le vassal devient, au cours d'une cérémonie, l'homme de son suzerain. Le