Le Roman Est Il Le Reflet Du Monde Ou Celui De Son Auteur

personnages, ne consiste-t-elle qu'à imiter le réel ? La liberté propre au roman, genre protéiforme et en perpétuelle évolution s'il en est, peut-elle supporter de se cantonner à cette imitation? Le geste créateur du romancier se réduit-il à une simple reproduction, quasiment photographique, du réel ? Nous observerons tout d'abord comment le romancier s'inspire effectivement de la réalité qui l'entoure. Nous montrerons ensuite que le roman offre tout de même une déformation du réel et que ses personnages

Horla Auteur Guy de Maupassant Genre Nouvelle fantastique Pays d'origine France Lieu de parution Paris Éditeur Ollendorf Date de parution 1887 Le Horla est une nouvelle fantastique de Guy de Maupassant écrite en 1887. C’est un des premiers récits fantastiques que Guy de Maupassant a écrit. La seconde version du Horla se présente sous la forme d’un journal inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie. Le Horla marque les prémices de la folie de son auteur, Guy

tout à fait l'idée du mouvement réaliste du XIX°siècle. Apparut en France vers 1850, il réunnit des auteurs tel que Guy de Maupassant, Emile Zola, Honoré de blazac ou encore les frères Goncourt, écrivains soucieux de vraissemblances, qui ont fait du quotidien de toutes les classes sociales le sujet de leurs oeuvres (ouvriers, employés de maison, banquiers, prostituées..). L'objectif de ces auteurs, et du courant réaliste en général, était de rejeter toutes les formes d'idéalisation de la réalité

: Le roman permet-il donc d'ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou bien au contraire de s'échapper de la réalité? Le roman a pour définition d'être une fiction mais ne permettrait-il pas dans certains cas d'ouvrir les yeux du lecteur sur la vie... Le genre romanesque est tout d'abord une fiction, le fruit de l'imagination d'un auteur; mais le roman a bien changé depuis les romans de chevalerie du moyen âge, il se décline aujourd'hui en plusieurs genre comme le roman d'analyse

d’autres types de récit qui pourraient être considérés des autobiographies, mais qui en réalité ne le sont pas, par exemple : - Les autobiographies fictives : auteur ≠ narrateur = personnage (c’est le cas de Robinson Crusoé de Daniel Defoe et des Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar). - Les autobiographies en 3ème personne : auteur = personnage ≠ narrateur (c’est un cas plus compliqué qu’on peut trouver par exemple dans L’autobiographie d’Alice B. Toklas de Gertrude Stein, qui a publié sa

FICHE GENRE N°3: Le personnage de roman du XVII° à nos jours Histoire du genre et personnages(Rappel) : Poésie vient de “poien” = créer , fabriquer en grec. Le poète est celui qui crée à partir des mots, celui qui va donner forme au langage. Moyen âge : Le mot « roman » est apparu au XIIe siècle. Il a alors deux sens : • la langue parlée dans le nord de la France • un récit en vers français (comme les romans de la Table ronde). Le roman en prose n’apparait qu’audu XIVe siècle. Comme récit il a déjà

parvenir à sa fin, la création de son œuvre, soit elle-même le style. Marcel Proust affirme donc le contraire, le style serait donc la manière propre de l'auteur dans son écrit afin de partager sa vision du monde ou alors de choses plus particulières. Proust pense que le grand écrivain est celui qui pratique l'économie d'un travail d'écriture avec le beau style et de belles métaphores porteuses de vérités que seul l'auteur est capable de retranscrire. Avec cette vision de l'oeuvre littéraire, nous

est l’ordre de la description, qu’est-ce qui est dit d’elle, pourquoi, et en quoi peut-on dire qu’elle est le reflet d’une époque et d’un certain monde ? II. Le discours de Mme de Chartres : comment ses paroles sont-elles rapportées, quelle est la conception de l’éducation qui est révélée par ces paroles, et quel portrait de la mère se dessine derrière cette présentation ? III. Le monde de la Cour royale : comment la Princesse est-elle accueillie, quel effet provoque-t-elle, et en quoi peut-on dire

:dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit).Le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire celui qui s’adonne aux plaisirs charnels, avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle. Le libertinage est un courant de pensée né au 17ème siècle en Italie, puis au 18ème en France. Quelques auteurs se distinguent pour leurs œuvres libertines

Maria Rilke est une de ces oeuvres touffues et sinueuses, gorgées de solitude et de poésie, aux intonations mystérieuses, rythmées par le silence et les interrogations. Cet auteur tchèque d’entre deux siècles dont la vie fut ponctuée de rencontres et de voyages aptes à enrichir un travail déjà inspiré, offre à la lecture romans, recueils de poésie, pièces de théâtre, ainsi qu’une correspondance assidue avec plusieurs individus- clefs tant pour son oeuvre que pour son être, notamment Lou Andréas- Salomé