Le Roman Est Il Un Instrument De Connaissance Pour Le Lecteur

Victor Hugo, Les Misérables, 1862 (Gavroche) Cette page, tirée du roman de V.Hugo “Les Misérables” (1862) est très célèbre: on la retrouve dans presque tous les recueils de textes littéraires… Pourquoi? Notre objectif sera d’en vérifier l’importance: nous devrons comprendre si la fréquence de présentation, dans les manuels, de ce passage du roman répond tout banalement à une habitude, à une tradition didactique, ou si elle est plutôt justifiée par sa valeur. Finalement, est-il vraiment important

Introduction : Depuis les romans de chevalerie du Moyen Age, le roman n'a cessé de se diversifier jusqu'a aujourd'hui. Le roman est, par définition un récit en prose, qui peut etre, d'analyse, d'aventure, autobiographique ou historique en sachant que chacuns de ces genres alternent une part de reelle et d'imaginaire. Le roman est peu considéré jusqu'au 18 ieme siècle, car il ne figure pas dans la hiérarchie des genres et ne respecte aucunes règles formelles. Mais par la suite, il est apprécié des

Daniel Defoe : Robinson Crusoé (1719). Dans son roman, l'anglais Daniel Defoe raconte l'histoire d'un de ses compatriotes Robinson Crusoé qu'un naufrage avait jeté sur une île déserte pour de très longues années.   Au bout d'environ dix ou douze jours que j'étais là, il me vint à l'esprit que je perdrais la connaissance du temps, faute de livres, de plumes et d'encre, et même que je ne pourrais plus distinguer les dimanches des jours ouvrables. Pour éviter cette confusion, j'érigeai sur le rivage

professionnelle: Ex.: Situation conjugale, activité professionnelle, prix, … Elle ouvre parfois à une connaissance plus approfondie (enrichissante mais pas obligatoire) de l’auteur: Ex.: La personnalité, passions, amitiés célèbres, … Une biographie rédigée par l’auteur lui-même est appelée autobiographie. Le temps: L’auteur est évidemment toujours situé dans le temps: il a des connaissances et des habitudes (d’écriture, de choix de thème, …) liées à son époque. Il peut choisir de situer

1. Le roman contre le roman * Jean-Pierre Camus est appelé un « éveque romancier » car il publiait ses oeuvres d`une vistesse énorme. Entre 1620 et 1632 il a publie 4 ou 5 romans, variantes entre 300 et plus que 900 pages. * Apologétique romanesque : « copmme très accomodéè à l`infirmité humaine, et très propre pour tromper saintement certaines âmes malades, en leur faisant avaler des médicines sous l`apparence des confiitures; c`est-à-dire  incorporant les préceptes de la réformation des

d’un livre. Ainsi le livre semble être un moyen de combler le vide ou de conjurer l’ennui. La plupart des lecteurs attendent qu’un livre les distraie de leur quotidien. Selon leurs goûts, ils choisiront, dans ce but, un roman, un recueil de poème ou une pièce de théâtre. Le plaisir de voir évoluer les personnages, le plaisir des yeux mais aussi un autre plaisir, celui des mots. Si le lecteur est sensible à l’humour, il sourira par le comique de situation. Les genres comiques modifient la réalité

Les auteurs, à travers leurs œuvres, souhaitent communiquer au lecteur un savoir, transmettre des idées ou encore relater des histoires passées. L’instruction par les livres est, en effet, une pratique ancestrale toujours utilisée de nos jours. La Bruyère disait d’ailleurs « on ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ». Il est vrai que la lecture alimente nos quotidiens et ceci dans tous les domaines. Si un sujet nous est difficilement compréhensible ou si l’on veut simplement enrichir

dangereuses est un roman épistolaire écrit par Pierre Choderlos de Laclos et publié en 1782. Elle est considérée comme un chef-d’œuvre de la littérature française. Ce roman nous fait entrer dans l’univers libertin du 18ème siècle. Ici nous étudierons le thème de l’éducation. D’abord nous verrons le cas de divers personnages ensuite nous verrons les conséquences de cette apprentissage et enfin nous verrons que ce roman a aussi pour but d’éduquer et de mettre en garde le lecteur. I-Un roman d’éducation

d’écrire autrefois qu’un grand roman n’était pas la vie, mais lui ressemblait seulement, dans la mesure à la fois très importante et très incomplète où une cloche ressemble à un chaudron. C'est-à-dire les mêmes formes extérieures, la même apparence, mais l’une utilisée uniquement pour répondre aux exigences pratiques de la vie, l’autre seulement pour en dégager la musique. (Julien Gracq, Entretiens, p.146) La matière première du roman est la vie. Sans la vie, le roman ne pourrait exister. Il prend

BANQUE DE SUJETS DE DISSERTATION FRANCAISERESEAU LIBRE SAVOIR : DONNEUR UNIVERSEL / COORDONNATEUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 BANQUE DE SUJETS DE DISSERTATION LITTERAIRE NIVEAU TERMINALE RESEAU LIBRE SAVOIR : DONNEUR UNIVERSEL COORDONNATEUR TEL. 77-621-80-97 / 78-108-42-12 LITTERATURE SUJET 1 « Une littérature existe dans une société donnée ; elle en reçoit l'empreinte et, en retour, lui imprime une direction ». Donnez une explication plausible à ces propos de Roger CAILLOIS en