Le Roman Peut Il Intéresser Son Lecteur

nous-mêmes, de nos mœurs, de nos comportements, des défauts et des contradictions de notre nature. Ainsi, dans ce registre, le recours a une histoire permet de varier les types de personnages «gentils» , les 'méchants', les ' flics ' les 'voyous'. L'auteur peut choisir de donner a chacun des personnages proches de la réalité auxquels son public s'identifiera rapidement ou des personnages hauts en couleur qui n'ont pas d'aspect humain, comme par exemple dans Le Cycle des Robots 5, Les robots de l'aube de Isaac

un des romans à la première personne de Marivaux paru chez Pierre Prault entre 1734 et 1735. Il revêt la forme de mémoires fictives relatées en 5 parties par un narrateur nommé Jacob. Il y raconte son ascension sociale à Paris, du statut de paysan à celui de bourgeois. À propos des romans à la première personne de Marivaux, René Démoris écrit : « Le langage du narrateur est (…) partiel et partial, fût-ce par omission, et c’est à son croisement avec celui du personnage agissant que le lecteur est convié

Un héro peut être le personnage principal d'un roman ou d'une pièce de théâtre. Demi-dieu dans la mythologie grecque, homme exceptionnel divinisé à la suite de ses exploits, le héro est devenu, en termes littéraires, un personnage qui, s'il ne se distingue pas par des actions grandioses, n'en demeure pas moins chargé d'une mission exceptionnelle : conduire l'action dans un récit, incarner les valeurs, les rêves, les mythes du lecteur. Un héro est généralement doté d’une personnalité hors du commun

cause des actes, des guerres que L'Empereur a fait . II. Dissertation: De nombreux romans sont nourris d'événements et de personnages historiques. En tant que lecteur trouvez-vous que ces matériaux donnent de l'interêt au roman ? Un roman qui prend pour toile de fond un épisode (parfois majeur) de l'Histoire, auquel il mêle généralement des événements -des personnages- réels et fictifs se nomme un roman histoqrique . Celui ci est apparu à la fin du xviie siècle avec comme principaux auteurs Madame

cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté didactique s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à laquelle la diffusion du savoir apparaît comme primordiale, la publication de L'Encyclopédie en est peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations imaginaires, ayant ainsi recours à la fiction. Cela nous amène à nous intéresser aux raisons de ce choix :

INCIPIT Un incipit est le début d'un texte, en général d'un roman (du latin incipio, is, ere : « commencer »). À l'origine, on désignait par ce titre la première phrase d'un roman, aussi nommée « phrase-seuil ». Il est cependant commun de nos jours de le considérer plutôt comme ayant une longueur variable. Il peut ne durer que quelques phrases, mais aussi plusieurs pages. Contrairement à l'incipit, l'excipit (ou clausule) est la fin d'un chapitre, d'un ouvrage (les derniers paragraphes, les

été faits et conçus pour attirer les lecteurs et être lus. Dans ces lecteurs, il y a deux parties distinctes que nous évoquerons dans cette dissertation : les gens qui lisent les romans comme des « livres d’histoire des mœurs », et les autre qui les lisent pour d’autres raisons, car ils sont plus sensibles à d’autres manières de lire un livre. Je présenterais dans cette dissertation deux parties : une première partie où je m’exprimerais sur le fait de lire un roman comme « un livre d’histoires des mœurs

l’incipit du roman, dans lequel nous découvrons Thérèse qui, sortant du palais de justice avec son avocat, retrouve son père M. Larroque. - (Lecture) - Nous nous demanderons comment cet incipit parvient à donner au lecteur l’envie de découvrir le passé de Thérèse en lui cachant volontairement des éléments importants pour la compréhension de l’histoire. - (Annonce du plan) 1. Un début In medias res 1.1 Un cadre judiciaire - Dès la première phrase, le lecteur est plongé dans l'action du roman, comme

adhérer aux idées qu’il défend. Cependant la complexité des moyens mis en œuvre peut être un frein et c’est souvent en dehors de la stricte argumentation que les hommes de lettres nous aident le mieux à rejoindre leurs causes. Développement → La littérature est un bon moyen de convaincre et de persuader. Définition de ces deux termes : "Convaincre" s’emploie pour exprimer le fait que l’auteur cherche à amener un lecteur à reconnaître qu’une proposition, qu’un point de vue est véridique, irréfutable

moyens choisis à travers son œuvre littéraire. Celui-ci conserve la pensée, mais c'est la pensée qui fait le style. Or si le style se confond si fortement avec avec la technique, comment peut-il s'en détacher et être porteur de la vision de l'auteur? Il semble d'abord que la technique soit elle-même le style du roman dont elle assure son expression linguistique. Pourtant c'est ce même style qui conserve la pensée de l'auteur et qui retranscrit sa vision du monde. L'auteur doit alors chercher à exprimer