Le Règne Animal

“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.” Voltaire L’ÊTRE HUMAIN, UN ANIMAL COMME LES AUTRES CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN Association ALDÉRAN Toulouse pour la promotion de la Philosophie MAISON DE LA PHILOSOPHIE 29 rue de la digue, 31300 Toulouse Tél : 05.61.42.14.40 Email : philo@alderan-philo.org Site : www.alderan-philo.org conférence N°1600-111 L’ÊTRE HUMAIN, UN ANIMAL COMME LES AUTRES La nature animale de l’espèce humaine Conférence d’Éric Lowen donnée le 8/11/2008 à la Maison de

l'espèce Homo sapiens était subdivisée en deux groupes distincts, considérés comme deux sous-espèces, dont l'une était l'espèce humaine actuelle, et l'autre, une espèce cousine éteinte, celle de l'homme de Néandertal. Comme pour toute sous-espèce du règne animal, la conséquence terminologique a été de créer des noms trinomiaux en rajoutant un adjectif, toujours latin (et en italique), après le nom d'espèce. C'est ainsi que l'espèce humaine était appelée Homo sapiens sapiens, et son cousin était appelé

comme outil de création. Le poète tente de revaloriser une existence qui semble insignifiante. Axe 2 Dans ce poème on peut voir des résonances entre le pain et la nature dans son ensemble : -le règne minéral (ex : montagnes, …) -le règne végétal (ex : feuilles, fleurs, …) -le règne animal (ex : éponge, …) Le pain est dynamique et statique jusque dans la construction des phrases. Il est décrit de l’extérieur vers l’intérieur. Un regard scientifique : -astronomie (ex : stellaire) -géologie

Un animal (du latin animus, esprit, ou principe vital) est, selon la classification classique, un être vivant hétérotrophe, c’est-à-dire qu’il se nourrit de substances organiques. On réserve aujourd'hui le termeanimal à des êtres complexes et pluricellulaires, bien qu’on ait longtemps considéré les protozoaires comme des animaux unicellulaires. Comme tous les êtres vivants, les animaux ont des semblables avec qui ils forment un groupe homogène, appelé espèce. Dans la classification phylogénétique actuellement

une hiérarchie rigide, renforcée par le pouvoir autoritaire. Pour ce fait, il utilise la symbolique des animaux. C’est avec ce système de dissimulation de la critique que La Fontaine a écrit la plupart des recueils de ses célèbres Fables, publiés de 1668 à 1696. Dans son œuvre « Le Lion, le Loup et le Renard » publiée en 1698 dans le Livre XIII des Fables, La Fontaine met en scène différents animaux, rappelant le Roi et ses courtisans. Le fabuliste montre de ce fait le caractère féroce, capricieux et

Dans Ce poème « La maison d’Hélène » tiré du recueil Hélène ou le Règne végétal, Cadou célèbre la maison de sa femme d’une manière fort originale. Nous montrerons comment le poète s’écarte de la représentation d’une maison ordinaire en la métamorphosant en un lieu magique, puis nous nous attacherons a analyser le lyrisme de ce chant du monde qui n’est pas dénué d’accents mystiques. Plan : 1) La maison est sous l’emprise du règne végétal 2) Cette maison est ensuite, une sorte de haut lieu de

intracellulaire comprenant le noyau au centre de la cellule entouré du cytoplasme. Un organite : est un élément intra-cytoplasmique qui baignent dans le hyaloplasme et qui a une fonction spécifique dans la cellule. Schéma de la structure d’une cellule animal ( cellule eucaryote ) : L’ultrastructure de la cellule : est ce que l’on distingue d’une cellule quand on l’observe au microscope électronique à transmission. On voit alors tous les organites de la cellule, les différentes protéines filamenteuses

est un bien vilain mot, ou plutôt une bien dure réalité pour l’individu ; elle est en effet souvent perçue comme une aliénation, une atteinte à la liberté, et même une corruption. On oppose ainsi l’état social à l’état de nature, qui serait, lui, le règne de la liberté et du bonheur. La société, c’est un obstacle à la nature (humaine). Cette identification de la société à un démon corrupteur, semble bien faire abstraction de notre nature humaine. En effet, " l’homme n’est ni ange ni bête ", disait Pascal

le complément « de tous les animaux » il fait paraître une évidence celle de l’H qui appartient au règne animal, dans ce règne est inférieur liée à sa pratique de la magie de + son âme est signe de noirceur décrit par un représentatif « il y a » avec un pléonasme d’une double négation restrictive « ne que » et d’un adj « seul » isolant paradoxalement celui-ci, ce qui en fait une exception ou les animaux ont une âme mais celle de l’h qui est loin d’égaler celle des animaux par leur caractère raisonnable

simplement recevoir un sens. Tous deux sont des excès baroques par rapport à la logique de la nature. La comparaison avec le règne animal est singulièrement éclairante : pas plus qu'ils ne sont à proprement parler méchants, même lorsqu'ils infligent à leurs semblables les pires souffrances (et les exemples abondent de la « cruauté » du monde animal), pas davantage les animaux ne sont capables de cette générosité inattendue, j'allais dire inespérée, qui est parfois le fait des êtres humains. Aussi dévoués