Le Réalisme Objectif Et Subjectif

conscience de l'individu n'est pas isolée, mais elle passe par la raison. Or la raison est universelle, on peut se mettre d'accord sur des raisons mathématiques, scientifiques ... Alors que les émotions relève du domaine du subjectif, qu'on peut difficilement rendre objectif contrairement à ce qui découle de la raison. Ainsi donc, la conscience individuelle qui repose sur la raison repose aussi sur de l'universelle, et c'est a partir de là qu on peut faire le lien entre moral et politique. _ Donc

recherche scientifique considère que le monde empirique existe en dehors du chercheur, et que celui-ci a pour objet de le " découvrir " (Lakatos, 1965). Ceci implique que le chercheur croit dans l'existence d'un monde objectif qui existe malgré lui, et possède un statut objectif. Kuhn (1970) en participant la structure des révolutions scientifiques a pourtant su montrer que les paradigmes scientifiques sont des ensembles de croyances partagées par des communautés de chercheurs. Les données utilisées

humaine et sociale 4 Chapitre 1 Le sens des mots : Droit et Justice 4 Section 1 Recherche d’une « définition »  4 Section 2 Les parties de la Justice 10 Chapitre 2 Droit objectif et droits subjectifs 18 Section 1 Une distinction classique  18 Section 2 Actes juridiques et faits juridiques 23 Chapitre 3 La règle de droit objectif 29 Section 1 Les caractères généraux de la règle de droit 29 Section 2 Confrontation de la règle de droit avec la règle religieuse ou morale  36 Section 3 La spécialisation

1. Tendances esthétiques dans la littérature au XXe s. Réalisme, modernisme, avant-gardisme, postmodernisme. Les métissages des genres. Le XXe s. on ne peut pas être défini par une seule esthétique comme les siècles précédents. La tendance est traditionnelle, il y a une écriture réaliste et postmoderniste, et une tendance qui se veut expérimentale, qui se propose d'enrichir la littérature par des procédés nouveaux, au nom d'une image authentique de la réalité. Traits particuliers de la littérature

artiste ne désire prouver quoi que ce soit. Même une vérité générale peut être prouvée. […] Tout art est plutôt inutile. » Vivian, le porte-parole de Wilde dans Le déclin du mensonge, s'oppose clairement au mimétisme en littérature qu'implique le réalisme. Selon lui, « la vérité est entièrement et absolument une affaire de style » ; en aucun cas l'art ne doit se faire le reflet de « l'humeur du temps, de l'esprit de l'époque, des conditions morales et sociales qui l'entourent ». Wilde contestait d'ailleurs

à sa philosophie de la nature et sa philosophie transcendantale. Le sujet et l’objet coïncident dans la représentation. Il appelle nature ce qui relève du purement représentable et il appelle moi ou intelligence ce qui relève du représentant. Le subjectif représente le représentable. Son idée profonde est que ce qui relève de l’objectif ou du représentable a un statut inconscient tandis que le représentant est conscient. Il y a un processus historique dans la nature et dans toutes les productions

une structure qui préexiste à tout contenu, et qui serait applicable de l’extérieur à tout objet pour en dire la vérité ? Hegel n’est-il pas le philosophe qui affirme sans cesse que l’énonciation du vrai ne saurait se satisfaire d’un point de vue subjectif, et de catégories ou autres exigences de méthode applicables à tout objet au sein d’une perspective sur lui ? Quel est le sens de cette revendication, et quelle conception de la vérité révèle-t-elle ? En d’autres termes, il ne s’agit pas de charger

des sociologues classiques vont diverger : l’option objectiviste, incarnée par Durkheim, se focalisera sur la nécessité de mettre à distance le monde social pour mieux le saisir scientifiquement, ce qui passe par la neutralisation de tout regard subjectif ou intuitif ; l’option compréhensive de Max Weber arguera, à l’inverse, de l’importance de cette subjectivité pour saisir « de l’intérieur » le sens de la réalité ou du phénomène social étudié. 5. Emile Durkheim (1858-1917) et l’analyse des faits

sur la modération : « l’esprit de modération est le véritable esprit du législateur et le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre les deux limites. »[6]. Ensuite, il expose le fait que le code civil tienne compte d’un certain réalisme politique. Il est pour le progrès : « tout ce qui est ancien a été nouveau »[7]. Enfin, il s’appuie sur la place du temps dans la création du droit, temps qui selon lui est essentiel : « l’essentiel est d’inspirer aux institutions nouvelles le caractère

combinaison la plus économique en termes de coûts de production. Tout individu peut se présenter sur le marché soit comme producteur-vendeur, soit comme acheteur-consommateur, et changer de catégorie à tout moment. Les deux groupes poursuivent les mêmes objectifs : maximiser les profits et minimiser les pertes. Ils sont donc censés réagir de manière similaire aux variations de prix (ce qui ne s’observe pas toujours dans la réalité). Le modèle repose entièrement sur la rencontre entre l’offre et la demande