Le Régime De La Preuve Des Obligations Contractuelles

responsabilité civile regroupe la responsabilité civile contractuelle née d’un acte juridique, et la responsabilité civile délictuelle née d’un fait juridique. I) Responsabilité contractuelle : est due à l’inexécution où la mauvaise exécution  des contrats. Les formes d’inexécution : a-b-c : a-obligation de donner : -refus de paiement par l’acheteur dans le contrat de vente ; -Refus de paiement de l’indemnité de congé payes par l’employeur. b- obligation de faire : 1-retard de livraison par le transporteur

La qualification du contrat A- La classification du contrat B- Distinction entre les trois régimes conventionnels II- Les stipulations contractuelles relatives à la propriété des biens des époux A- La propriété exclusive de chaque époux B- La preuve de la propriété exclusive III- Les stipulations contractuelles relatives à la gestion des biens des époux A- L’Independence des époux dans la gestion de leurs biens

responsabilité contractuelle I- Généralités (Le fondement : Responsabilité contractuelle = réparer le dommage causé par l’inexécution de son acte juridique Responsabilité délictuelle  = réparer le dommage causé par son fait personnel Un courant doctrinal a considéré que ces deux responsabilités devaient de rallier – contestation de la responsabilité contractuelle. Différences : - Délai de prescription - Principe de la limitation de la réparation en matière contractuelle -

chose. I- Le principe fondateur du droit des contrats A) De la liberté contractuelle à l’autonomie des volontés. Lors de la formation du contrat on peut observer que la liberté contractuelle découle de l’autonomie de la volonté. Ainsi, l’homme qui est libre par nature peut avoir le choix ou non de contracter alors il ne pourra être soumis qu’aux obligations qu’il a voulu. Le contenu de la liberté contractuelle | Les limites | La liberté de contracter ou de ne pas contracter | Certain

Commentaire de l’article 1342 de l’avant-projet de réforme du droit des obligations et du droit de la prescription. Selon G. Durry "un puissant courant doctrinal à mis l'accent sur la nécessité de soumettre à un même régime, celui de la responsabilité contractuelle, tous ceux qui n'ont souffert d'un dommage que parce qu'ils avaient un lien avec le contrat initial" . L'avant-projet Catala s'intéresse globalement au code civil de 1804, en se penchant plus particulièrement sur les règles applicables

Droit des obligations cours 1er qu'est ce qu'une obligation? C'est un lien de droit entre deux personnes en vertu du quel l'une est tenue en vers l'autre de faire ou de ne pas faire quelque chose selon les lois de la citée. Celui qui est tenu de faire quelque chose est le débiteur = le patrimoine passif = la ou s'inscrit une dette. Celui qui peut exiger que l'autre agisse c'est le créancier = actif = celui qui dispose d'un droit sur le patrimoine du débiteur. Ce qui est du, c'est

demandeurs était fondée sur la violation même de l’obligation contractuelle de donner des soins « assidus, éclairés et prudents (…) ». Ce qui faisait qu’il ne pouvait y avoir application de la prescription triennale. La thèse du pourvoi cependant se base essentiellement sur l’idée que l’absence d’assurance dans le contrat contre les accidents involontaires impliquait une responsabilité délictuelle et non une responsabilité contractuelle. De ce fait, la responsabilité du praticien étant délictuelle

respondere qui signifie répondre de, se porter garant de. Il est apparenté au terme sponsio qui veut dire promesse. La responsabilité, c’est donc une obligation de répondre de ses actes, d’être garant de quelque chose. Le terme civil provient quand à lui du latin civilis dérivé de civis c'est-à-dire citoyen. La responsabilité civile c’est donc une obligation de répondre de ses actes, de son fait personnel ou du fait d’autrui dans la société. Si on se place du côté du droit pénal être responsable ça suppose

Tout contrat est civil ou commercial selon la qualité des personnes qui le passent et le but poursuivi. L’intérêt de la distinction réside essentiellement dans la simplicité qui caractérise le régime des contrats commerciaux. Les particularités les plus importantes sont les suivantes : - la liberté de la preuve : on n’est pas obligé de prouver avec des écrits - la compétence des tribunaux de commerce : on ne passe pas devant des juges professionnels (ils sont élus par leurs pairs commerçants) - possibilité

informations, grâce à divers textes particuliers, sans aucune disposition générale. La liberté contractuelle : pratique et enjeux. A travers les recherches que nous avons pu mener, il ressort que faute d'une réglementation, les parties sont libres de pouvoir aménager contractuellement la protection de leur propre information stratégique. Cette liberté des parties est telle qu’elles ont créé des obligations au secret, tantôt étendue comme le secret stricto sensu consistant en l’absence totale de divulgation