Le Rôle D Autrui Sur Nous Même

du texte est de savoir si le jeu joue un rôle essentiel dans la sociabilité de l'Homme et si le regard d'autrui est négligeable. La thèse énoncée par l'auteur est que la communication et ce que nous renvoyons comme image auprès d'autrui sont les seules choses dont nous nous préoccupons. Dans un premier temps nous verrons comment l'homme agit quand il est en présence d'autrui. Ensuite, nous exposerons l'importance d'autrui dans la construction de soi-même. Nous verrons ensuite l'intérêt philosophique

du regard de ses parents qui choisissent son prénom et projettent sur lui leurs désirs et leurs projets. L’adulte est prisonnier de son métier, de sa vie familiale, de ses amis même qui veulent qu’il soit et reste tel qu’ils le désirent. Ainsi, chacun inconsciemment s’aliène aux désirs des autres au lieu d’être lui-même et d’assumer sa liberté au risque de décevoir son entourage. "L’enfer, c’est les autres" signifie que notre liberté est souvent aliénée par la pression sociale. Souvent, "Je" est

conscience qu'un sujet a de lui-même, et sur le rôle joué par autrui dans la formation de la conscience de soi. Or une telle question est problématique. En effet, on pourrait à première vue estimer que tout homme est capable de prendre conscience de ce qu'il est par lui-même, indépendamment des autres. Qui d'autre que le sujet semble en effet mieux placé en effet pour se connaître soi-même ? Toutefois, nous savons qu'il est facile de se tromper sur soi, voire de mentir à soi-même. A l'inverse, il arrive

III) Le sujet et autrui A) Définition de « autrui » Pour étudier les rapports du sujet à autrui, nous prendrons appui sur la définition sartrienne : autrui, c’est « ce moi qui n’est pas moi et que je ne suis pas ». Autrui est donc un sujet, un « moi », mais c’est un moi distinct et différent de moi (un autre que moi). Il est à la fois mon semblable, et mon Autre. Nous verrons au cours de notre raisonnement qu’il peut être intéressant de « tordre » un peu cette définition de Sartre pour inclure

 AUTRUI Qui est autrui ? Qu’est-ce qu’autrui ? Le terme d’autrui désigne un autre homme qui a pour caractéristique de dire « moi » mais sans être moi. Nous sommes tous des êtres humains mais différents les uns des autres. Pour définir l’autre : on se place dans un repère dont nous sommes le centre et autrui est tout autour de nous. Le terme « les autres » est vague, il désigne ceux qui nous sont indifférent. Si on restreint ce les autres il reste notre entourage : nos proches, nos amis,

Autrui Le problème principal qui est posé par autrui, par l’autre est le fait qu’il ne soit pas moi. Autrui, tout en étant distinct de moi, a quelque chose de commun à moi : la conscience. Il occupe cette position particulière c'est-à-dire qu’il n’est pas moi mais il a quelque chose qui le met sur le même plan que sur ma propre conscience. On se comporte avec autrui de telle façon à ce qu’il influence mon attitude, le personnage que je joue.C’est quelqu’un qui, par son regard nous montre ce que

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE Sujet au choix : La conscience de soi suppose t'elle autrui ? Introduction : La conscience permet à l'homme de savoir qu'il existe et donc à pouvoir différencier son être de son entourage contrairement à l'animal. L'homme vit dans le présent, le passé et l'avenir, il peut se projeter dans le futur ou se souvenir de choses révolues. La conscience nous permet donc en quelque sorte de « stocker » tout notre savoir, et de l'organiser de façon à pouvoir y puiser

et le NéantJean Paul Sartre Publié en 1943, L’Etre et le Néant est un maître ouvrage du père de l’existentialisme Jean Paul Sartre qui cherche à y répondre à la question « qu’est-ce que l’être ? ». Sartre s’intéresse à la conscience, au néant, à autrui, mais aussi à des comportements comme la mauvaise foi ou la honte. Sartre utilise pour ce faire une approche phénoménologique[footnoteRef:0] qui se nourrit de ses lectures de Heidegger. [0: Philosophie qui écarte toute interprétation abstraite pour

violentia) signifie d’après la définition exacte du dictionnaire Larousse une extrême véhémence, une grande agressivité, une grande brutalité dans les propos ou le comportement face à autrui généralement. Le terme «légitime» quant à lui désigne le caractère de ce qui est reconnu conforme aux droits, à l’équité, elle même définie par la raison et le bon sens. A premier abord on pourrait donc dire qu’une violence ne peut être légitime puisqu’elle est une entrave à l’Homme et au bon sens de l’existence

n’était pas originairement fait pour autrui, pour le servir lui obéir ou inversement le commander mais que chacun existait d’abord pour