Le Rôle De La Cruauté Dans Le Récit Imaginaire

la fois lumineuses (puisqu’elles éclairent le port) et obscures (par rapport à la clarté du soleil ou de la lune), l’alliance de mots devient légitime et la contradiction disparaît. Le rôle de cette figure est ici de rendre l’atmosphère d’attente qui précède le combat (le vers est en effet extrait d’un récit de bataille). © rue des écoles, 2012 L’alliance de mots est également appelée oxymore, oxymoron ou antinomie. antithèse Remarque allitération Une allitération est la répétition

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communication donne au récit sa liberté ; le lecteur a l’impression que le narrateur parle et lui parle. Montrez-le en relevant des caractéristiques de la langue orale (construction de phrase, niveau de langue) et quelques fautes qui vous paraissent particulièrement comiques ou poétiques. L’écrivain Gary-Ajar ne fait pas écrire son personnage, il le fait parler (« La première chose que je peux vous dire… »). La spontanéité de la 1 La Vie de v a n t so i communication orale donne au récit sa liberté

traîne dans la ville de Ndar sa plaie sanieuse qui l’éloigne des hommes et lui fait perdre progressivement les valeurs qui le rattachaient à sa communauté. Il fait alors l’amère expérience de la méchanceté humaine dans une «ville coloniale dont la cruauté et la violence réduisent toute une population à l’état de sous humanité, dans des exclusions sans appel » 1. Son errance dans la ville de Ndar, « Saint Louis du Sénégal » comme se plaisait à l’appeler Ousmane Socé Diop, en compagnie de sa ménagerie

Figure proche du romantisme. Il y a des enjambements (2ème partie du vers au vers suivant) Il y a 4 parties dans ce poème : I. présence d’une jeune fille II. caractéristiques de celle-ci III. rencontre IV. échec Images : La lumière : elle joue un rôle prépondérant dans le poème, avec une opposition entre la luminosité de la jeune fille (sa fleur « brille », c'est un « doux rayon » qui « lui[t] ») qui « éclaircirait » la « nuit profonde » dans laquelle est plongé le poète. La jeune fille : elle

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le malade imaginaire’’ (1673) comédie en trois actes et en prose de MOLIÈRE avec un prologue et trois intermèdes (musique de Marc-Antoine Charpentier) pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 2) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 4)

des acteurs qui sont aussi des spectateurs, lesquels regardent d'autres acteurs. L'acteur se trouve ainsi projeté hors de son rôle et se voit jouant, comme le spectateur se voit regardant.) conforme à la vision du monde baroque puisqu'il brouille les repères entre réalité et illusion et réactive la métaphore du monde comme grand théâtre sur lequel les hommes jouent leur rôle sous le regard d'un spectateur (Dieu ?) n'est pas propre à Corneille : Calderon La vie est un songe (1635), Shakespeare Le songe

qui créent des mondes féeriques autonomes, sortes de mythologies individuelles particulièrement complexes. Nous consacrerons un chapitre à ce sujet. On croise parfois, dans ces univers, des enfants sombres ou cruels qui renouent avec la violence des récits folkloriques. De temps à autre, les artistes n’hésitent pas à mettre en scène avec un kitsch très « disneyen » la fausse ingénuité des mondes enchantés. Mais il n’y a pas de contes de fées sans monstres (pensons ici à l’ogre) ; or, s’il est bien

connaissait plus de 50 contes) qui nous fascinent encore à l’âge adulte et nous entraînent toujours dans un monde magique, merveilleux qui nous fait rêver. Plus tard, la lecture et la relecture de ces mêmes contes transcrits a suscité en nous l’écho de ces récits oraux, qui nous vient de loin à travers la langue écrite ; une espèce de parcours immobile où la langue écrite se souvient toujours quelle était orale. Toutefois en lisant l’ouvrage de Nicole Belmont1 Poétique du conte : essai sur le conte de tradition

évoquant l’existence d’une femme insatisfaite par le mariage et qui finit par se tourner vers l’adultère. Six parties conservent le titre des anciennes nouvelles. Ces nouvelles ont une temporalité qui se chevauche (ce qui explique l’invraisemblance du récit). On se perd dans le nombre d’enfants de Mme d’Aiglemont. Tout est suggéré. Les trois dernières parties sont excessives. Rupture justifiée par la chute (le fait qu’elle cède à l’adultère).Balzac joue sur les nuances = originalité de l’approche de la