Le Rôle Du Sacre Du Roi

ont laissé leurs places à un culte qui s’organise autour d’une trinité appelée Trimurti dont les dieux sont : Brahma, Shiva et Vishnu. Les divinités sont surtout identifiées et identifiables géographiquement, dans le pays saint : l’Inde ou Terre sacrée entre la mer divine : Barata Mata. Le Brahman est le dieu des védas, il est la Réalité Ultime, l'Âme Absolue ou Universelle (Paramatman), l'Un. « Tu es la femme. Tu es l'homme. Tu es l'abeille bleue et le vert papillon aux yeux rouges. L'éclair

Constitution élaborée par les membres de la Constituante (Constitution de 1791), Louis XVI fait passer la France d'une monarchie absolue à une monarchie constitutionnelle. Le Roi n’est plus le souverain du royaume, il n’est plus que le chef du pouvoir exécutif : la nation est souveraine, représentée par les députés et le Roi (au même niveau). Distinction entre principe et institution :

femmes. Critique de Zola : femmes niaises, incultes. -Nana dit du naturalisme : immonde, fausse prétentieuse. -La lecture ne fait pas partie de son éducation, elle fait la mondaine, lit le « figaro ». Elle joue encore un rôle : théâtre des illusions. -Contraste entre le rôle qu’elle doit jouer et son langage (« jolie ordure » oxymore) Le naturel revient au galop. Violence verbale (« répugnance », « immonde » hyperbole), elle ne maîtrise pas ses mots et ne peux pas échapper à ses origines. -Ton

L’œuvre dont est extrait le présent texte est un poème intitulé « Charme (carmen) pour le roi Robert ». Plus que d’un discours (puisqu’il n’a, semble-t-il, jamais été prononcé), il s’agit d’un poème politique adressé au roi capétien Robert II le Pieux aux environs de 1025. L’auteur en est Adalbéron, évêque de Laon, neveu de l’archevêque Adalbéron de Reims. Il appartenait à un très puissant lignage : il était de sang royal, affilié à la fois aux Carolingiens (il était descendant des ancêtres

peut-être pas une coïncidence car si l’Empire veut conquérir le monde, le christianisme se veut universel. 1. La Royauté et la République Pendant la Royauté, Rome était soumis à un roi qui avait tous les pouvoirs (= l’imperium), ce qui a poussé les citoyens à associer Royauté et tyrannie et à chasser le dernier roi pour installer la République (> res publica, chose publique). On a remplacé le pouvoir absolu par un régime censé donner le pouvoir au peuple. En réalité, c’est l’aristocratie (les

tête d’un empire = structure qu’on appel la respublica (chose publique, appartient à tout le monde). Le Roi lui est à la tête d’un peuple. Il aura plus ou moins de pouvoir selon s’il écoute son peuple. Dans un empire, le pouvoir vient aussi du peuple dont il est légitime. Mais l’empereur incarne la structure juridique. Il est locataire du pouvoir, il n’y a pas d’hérédité contrairement au roi. C’est une personne morale de droit publique. Un Etat est donc une personne morale de droit publique. L’Etat

personnelle, càd que le pouvoir est le roi. Le roi est roi des francs (pas «  de France  »), ou rex francorum. Il n’y a pas de chose publique, ni d’Etat : les choses conquises sont propriété personnelle du roi. 2. Caractère patrimonial : le roi est dominus, propriétaire des biens et personnes. Ses ressources sont les tributs payés par les vaincus. Il dispose du royaume, peut vendre, donner des terres (loi de succession de droit privé). 3. Caractère patronal : le roi exige obéissance de ses sujets, qui

cérémonie même du baptême qui eut lieu le jour de Noël. Il y a un beau développement à ce sujet. Ce jour est devenu le véritable anniversaire du roi (cf Saint Louis). Toute la cérémonie est évoquée : le roi comme catéchumène (candidat au baptême), les eaux de la vie (le baptême d'eau), l'onction sainte (l'onction du saint Chrême, qui n'a rien à voir avec le sacre royal), la blancheur des vêtements (vêtements blancs revêtus par les nouveaux baptisés, en principe conservés pendant une semaine in albis)

Séance 4 : L’institution royale1. La définition de la royauté à l’époque d’Hugues Capet(Abbon de Fleury, Collectio canonum, III-IV)1 III. Du ministère du roi. – Ce qu’est le ministère du roi, il le révèle lui-même par le nom de son office et il l’enseigne par le soin qu’il prend du royaume tout entier. Et rien n’incite davantagel’âme du roi à bien agir que la clémence de divers princes qu’on propose en exemple, comme la mansuétude de l’empereur Constantin. Mais pourquoi parler de rois étrangers,

respectables, il faut qu’elles soient conformes à un droit idéal. B) Les lois soumises à des règles supérieures Exprimés de manière remarquable dans une tragédie de Sophocle (Antigone). (Le roi Créon avait refusé toutes sépultures aux condamnés à mort en raison de la révolte des citoyens de Thèbes. Antigone (nièce du roi) n’étant pas d’accord va aller enterrer son frère et ne présentera pas d’excuse. Elle finira par mourir.) Elle a dû obéir à des lois supérieures, éternelles, divines… Question étudiée