Le Secours catholique

et les voleurs qui partent en courant… » (page 90) Elle se sent prisonnière de cet homme comme du mécène qui essaie d’abuser d’elle, comme de son maître qu’elle adore. Une toile se tisse peu à peu autour d’elle. Bientôt il n’y aura plus d’issue de secours. D’ailleurs le mécène se permet déjà de lui dire ses envies ouvertement : « Ah ! mais c’est la demoiselle aux grands yeux ! s’écria-t-il en se perdant sur son corsage. (…) Vous devriez faire son portrait. » (page 101) Elle sait intuitivement ce qu’il

société plus savante et perfectionnée qui vivra plus longtemps avec une partie croissante dépendante de l’appui de ses semblables. Seconde Partie : critique de l’aide publique Tocqueville distingue deux types de bienfaisances : -bienfaisance catholique privée : selon ses possibilités. D’origine divine, on la nomme charité -bienfaisance protestante publique : la société soulage ses membres Il s’agit donc de critiquer la seconde à partir de l’expérience anglaise : il constate les effets des

rentre en France ; il publie une tragédie, Zaïre, qui lui vaut un véritable triomphe, et des Lettres philosophiques, ouvrage qui provoque un beau scandale, et qui est aussitôt interdit, car il contient des propos ouvertement dirigés contre l’Eglise catholique, contre le pouvoir politique et la noblesse française. Voltaire est une nouvelle fois obligé de fuir Paris, et il se réfugie chez sa maîtresse, Madame du Châtelet. Exilé à la campagne, il travaille beaucoup, composant des tragédies, des comédies

Malgré une faible éducation il a de nombreuses qualités, il se fait adopté par la famille Kerbakon dont le père est enfaite son oncle. Il aime Melle de Saint-Yves mais sont amour est impossible car cette dernière est sa marraine aux yeux de l’église catholique… Le propre de l’ingénu est de dire tous ce qu’il pense et de faire tous ce qu’il pense… Melle DE SAINT-YVES : C’est la marraine et la maitresse de l’ingénu ainsi que la sœur de l’abbé de saint-Yves. Elle se sacrifiera en donnant son corps afin

est le mari, c'est lui qui fixe le domicile conjugal. La femme du chef était au départ incapable et soumise à l'autorité de son mari. L'union que l'on appelle mariage est indissoluble. De 1816 à 1884 on ignorait le divorce en France. La religion catholique était religion d'État. En 1884, la loi est venue introduire le divorce, divorce très réduit. Il n'est pas question de divorcer par consentement mutuel, on peut divorcer que par excès, sévices ou injures grave comme l'adultère. C'est très difficile

« Philosopher c’est secouer le joug de l’autorité » La métaphore évoque le passage de l’obscurité de la nuit à la lumière d’un jour nouveau, c’est-à-dire d’une société qui repose sur la tradition et la référence aux textes sacrés à une société qui privilégie la connaissance rationnelle et l’esprit critique. César Dumarsais pédagogue, grammairien (1676-56) définit le philosophe dans un article de l’Encyclopédie. Intellectuellement, c’est un homme qui ne se fit qu’à sa raison « la raison est à l’égard

musulmans et s’installent dans des forteresses appelées KRAK. * Cependant, les états latins ont du mal à repousser les attaques musulmanes qui finissent par reprendre Jérusalem en 1187 sous la conduite de Saladin * Malgré les croisades de secours organisées à partir du XIIè siècle, les chrétiens ne parviennent pas à se maintenir en Terre Sainte. A la fin du 13ème siècle les Etats latins disparaissent. L’expansion Chrétienne : * A partir du XIème siècle les chrétiens d’Occident cherchent

l'Église choquant directement de front les intérêts coloniaux quand elle affirme que la dignité de l'Homme doit être défendue (comme dans la célèbre controverse de Valladolid). En Martinique, les âmes pieuses durent se battre pour obtenir que les secours de la religion soient apportés aux esclaves. Les rites indiens ou africains ne furent plus officiellement tolérés, mais le candomblé et nombre de cultes vaudous témoignent d'un syncrétisme et de la perduration des cultes africains ou amérindiens.

assisté au concile de Clermont en 1095. En 1099, il accompagne les croisés de Pise en Terre sainte. Le cardinal assiste à la prise de Jérusalem et, par la suite, le pape le nomme patriarche de la Ville sainte. Dans la lettre Daimbert fait appel au secours militaire, il explique que la ville de Jérusalem se trouve exposée et est vulnérable. Le départ simultané de presque tous les croisés l'a poussé à engager des mercenaires pour garder les quelques points fortifiés que les chrétiens viennent de conquérir

chercha à se concilier les Bourguignons en demandant la main d’une princesse de leur sang : c’est ainsi qu’il épousa Clotilde, nièce du roi Gondebaud. Elle était belle, et l’amour serra les nœuds que la politique avait formés [13]. Élevée dans la foi catholique, au milieu d’une cour arienne, ses vœux, son devoir et son intérêt la portaient à faire tous ses efforts pour convertir son époux païen. Clovis écoutait favorablement la voix de l’amour et de la religion, lorsque la mort de son fils aîné, qu’il