Le Snobisme Selon Bourdieu

principales galeries. L'artiste préféré des Français demeure, selon cette enquête, comme selon toutes celles qui l'ont précédée (2), Vincent van Gogh (1853-1890). Pourtant, 67 % des personnes interrogées par Beaux-arts pensent aussi que l'art est « quelque chose d'universel et d'essentiel pour l'humanité », et 62 % estiment qu'il devrait être enseigné dès l'école primaire. Autre paradoxe, plus de 40 % des Français se revendiquent, selon la même enquête, praticiens amateurs (photo, dessin, peinture

consommation ces 40 dernières années puis nous analyserons les déterminants économiques et sociologiques. Tout d'abord les consommations finales des ménages qui permettent la satisfaction directe des besoins humains, n'évoluent pas de la même manière selon les différents secteurs. En effet, de façons générale, on peut observer une hausse de la consommation dans les domaines du transport et communication, logement, loisirs et culture et également dans le domaine sociale ( santé, éducation...). Alors que

prix). Quand le prix d'un bien augmente, il y a effet de substitution ; la demande se porte sur un autre bien. - L'offre dicte la demande (rôle des entreprises) J.K. Galbraith critique l'hypothèse selon laquelle la demande dicte l'offre. Il formule une autre thèse dite de la "filière inversée" selon laquelle ce sont les entreprises qui définissent les besoins, les modes, ... C'est l'offre qui dicte la demande. - Les taux d'intérêt De faibles taux d'intérêt favorisent les crédits à la consommation

est le grand refus, la protestation contre ce qui est. L’art crée des formes de négation. L’art est « séparé du monde », il crée des formes de négation, c’est-à-dire qu’il s’agit d’évoquer une autre dimension de la réalité. Exemple : la poésie selon Valery : « Le langage poétique et ses vers ne parlent jamais que de choses absentes. Il hante le monde du comportement et du discours établi comme projet le plus tabou ». La distanciation artistique est sublimation. Elle crée les images de situations

biens et des services consommés, et surtout du rôle symbolique qui existe dans cet acte de consommer. Certains économistes eux pensent que la consommation va varier uniformément selon l’échelle des revenus, les sociologues observent des modes de conso et montrent qu’il y a des variations des besoins et des gouts selon les classes sociales. Le sens donné aux achats n’est pas déterminé par les revenus mais par la place que l’on occupe dans la société. Des logiques sociales se dissimulent derrière

dynamique de la stratification sociale Stratification : Classement, recensement de la population selon une échelle de valeur (revenu, prestige, richesse …). Il peut être hiérarchique (cas des classes sociales de Marx et de l’analyse de Bourdieu sur la détention de capitaux et d’habitus). Chez Marx, la hiérarchie est purement économique, elle relève de la détention des moyens de production. Chez Bourdieu, elle relève de la détention de culture. |Hiérarchie

contraintes » 1. En microéconomie, on étudie les comportements du consommateur, on considère qu’un consommateur rationnel va chercher à maximiser sa satisfaction. On parle de « théorie du consommateur » pour décrire la façon dont les individus selon leurs préférences et leur revenus maximisent leur bien-être en arbitrant pour acheter plus d’un bien ou service et moins d’un autre, ou plutôt tel bien ou service que tel autre. L’arbitrage étant essentiellement basé sur le prix, celui-ci est une variable

ainsi que l’usage des biens et services consommés et surtout leur rôle symbolique. Contrairement à ce que mentionnent certains économistes qui pensent que la conso varie uniformément selon l’échelle des revenus, les sociologues observent les modes de conso en montrant qu’il y a une variation des besoins et des goûts selon les catégories sociales. Qu’ils s’agissent des aliments que l’on mange, des vêtements que l’on porte ou même le nombre de fois où l’on consulte le médecin, des logiques sociales se

prix). Quand le prix d'un bien augmente, il y a effet de substitution ; la demande se porte sur un autre bien. - L'offre dicte la demande (rôle des entreprises) J.K. Galbraith critique l'hypothèse selon laquelle la demande dicte l'offre. Il formule une autre thèse dite de la "filière inversée" selon laquelle ce sont les entreprises qui définissent les besoins, les modes, ... C'est l'offre qui dicte la demande. - Les taux d'intérêt De faibles taux d'intérêt favorisent les crédits à la consommation

en Europe * les prix pratiqués sur le marché : concurrence, produits de substitution * les contraintes des production (coût de revient) et de commercialisation * le type de produit : nature, positionnement, cycle de vie * les prix selon les canaux de distribution * le consommateur : élasticité de la demande/prix, pouvoir d’achat… * la conjoncture économique. IV. les méthodes de détermination des prix A. les méthodes à partir des coûts avant de définir le prix d’un