Le Soldat Blessé

vécue par les combattants et les civils ? A La violence du champ de bataille On constate plusieurs sortes de violence pour les soldats : - La violence du quotidien ou plus de 15% des Français et des Allemands mobilisés trouve la mort au combat. Chaque jour 900 Français, 1300 Allemands, 1500 Russes se font tuer. Près d’un combattant sur deux a été blessé au moins une fois (amputations, gueules cassés) - La violence du perfectionnement des armes s’exprime dans les guerres de tranchées

contexte historique Je rappelle que la première guerre mondiale aura durée de 1914 à 1918. Gromaire fit son service militaire comme beaucoup d’autres et resta dans l’armée jusqu’à la fin de la guerre, tout le monde est mobilisé. Il sera même blessé en 1916 dans la Somme. Le monde n’avait encore jamais vue une telle guerre, si grande, et surtout si violente. Plus 8 millions de personnes seront mortes et plus de 20 millions seront blessées. Une des principales particularités de cette guerre est

texte est une parodie de l’épopée. En théorie, le héros se bat pour son peuple, il le défend. Ici, le moine, Frère Jean se bat pour du vin > (l3). Ensuite, la violence est très présente. On constate que Frère Jean se bat avec acharnement contre les soldats. Le langage employé est très crue. « Écrabouillait la cervelle » (l8) ; « enfonçait les dents dans la gueule » (l9). Enfin, on peut observer le rapport avec les dieux mais encore une fois parodié. Les adversaires de Frère Jean, appellent les Saints

LES COMBATTANTS Pendant la première Guerre mondiale, 70 millions de soldats sont mobilisés ; l’ampleur de cette mobilisation recouvre forcément une grande diversité des « vécus de guerre » ; cette prise de conscience a permis un développement d’une histoire culturelle de la Grande Guerre. Ainsi les historiens se sont interrogés sur les expériences de guerre, cela les a conduit à  explorer une double césure qu’impose la violence du combat : le consentement aux gestes de tuer et l’exposition à un

dans les flammes, la seconde est une tête humaine avec un bras tenant une lampe à pétrole, la troisième est une femme qui accourt. Au centre la composition se trouve un grand triangle où se tient un cheval blessé, son corps est dessiné dans du papier journal. Au sol git une statue d'un soldat démantelé tenant une épée brisée dans la main, elle marque la base du triangle. On y aperçoit aussi un oiseau entre les deux animaux et une petite fleur a coté de l'épée. La lumière divise la scène en deux

sommes pas en point de vue interne. Dans le deuxième texte de ce corpus écrit par Zola nous assistons à la mort du soldat Rochas. Dans la Condition Humaine de Malraux nous suivons le fil des pensées du révolutionnaire communiste Kyo qui vont le pousser au suicide. Alors que dans le dernier extrait un Balcon en Forêt de Julien Gracq, on à accès aux pensées du capitaine Grange qui est blessé. Lors d’un moment épique ou émouvant le point de vue interne contribue à intensifier les émotions et les pansées

guerre des tranchées » : → Avant, guerre = quelques semaines ou mois, victoire rapide, guerre offensive → Nouveauté de la première guerre mondiale : guerre de tranchées → D'abord, offensives menées sous le feu de l'artillerie → Ensuite, les soldats sortent de la tranchée pour aller attaquer la tranchée adverse, mais parfois il y avait des fils barbelés, ou des corps à corps à la baïonnette → les offensives liées à cette nouvelle forme de combat sans meurtrières sans résultats significatifs

canadiennes sans masques à gaz. En respirant le gaz, les soldats se mettaient à hurler, suffoquaient et tombaient comme des mouches * Les soldats canadiens, malgré la désertion des soldats algériens, ont résisté pendant 3 jours aux tirs d’artillerie et aux attaques au gaz des allemands, puis les renforts britanniques sont arrivés. * Plus de 6037 soldats Canadiens ont été tué ou blessés. Cette première grande bataille permit aux soldats canadiens de démontrer leur efficacité et leur courage

retour à la réalité de la guerre → ''champs de bataille jonché de cadavres''. • Répétition de ''rouge'' 5x → désigne les uniformes des anglais mais aussi le sang. • Répétition ''d'habit rouge'' 4x → souligne l'abondance des mourrants. • Les blessés et les morts sont piétinés par l'ennemi → ''Fabrice se donnait toutes les peine du monde pour que son cheval ne mit les pieds sur aucun habit rouge''. => Réalité de la guerre qui étonnement ne renforce pas les qualités guerrières du héros.

à l’arbre des sentiments tels que le regret « sans regretter », la volonté « qui veut », le courage « Comme un soldat blessé qui veut mourir debout » et des sensations, notamment la douleur « tronc douloureux ».      L’arbre poète nous est tout de suite présenté avec « une plaie au flanc ». Il souffre et sa souffrance est mise en lumière par un fort champ lexical de la douleur « blessé, entaille profonde, douloureux, larmes, mourir… ».      Cette souffrance n’est pas le fait de la nature mais