Le Souffle au cœur

celui d'après. Je t'aime comme personne ne t'aimera dans ta vie. Je réalise de jour en jour que tu es la seule personne qui comble chaque vide dans mon coeur, tu es la personne qui me fait devenir bien ! J'ai les yeux qui brillent depuis qu'ils ont croisés les tiens. Ce ne sont pas des mots jetés en l'air pour te donner le sourire. C'est mon coeur qui te parle, qui t'appelle & te dit que sans toi il est a l'abandon ! Non je ne suis pas amoureuse de toi, je suis FOLLE de toi. Folle de l'homme que tu

j'étais épuisé, en sueur. Les minutes passaient comme des bateaux dans des écluses. Si longues, si remplies, si lourdes... Des ampoules ici et là se trouvaient sur mon corps. Mais seulement, je ne serais l'expliquer, j'étais bien. Paisible, et le cœur remplit. En allant me coucher, je me rappelais de ce que tu m'avais raconté sur ta vie passer. Tu avais perdu ta mère à l'âge de tes 10 ans et ce fut alors ton père qui vint à s'occuper de toi. C'était un riche banquier de banlieue issue de famille

L'automne est déjà là, tout ces couleur dans le jardin mais à l'approche de l'hiver tout sera mort. Mort de désespoir, un peu comme mon coeur là fait avec toi ! Tu étais un peu une destiné mais tu ma fais dévier. Je te pardonne parce que au fond ces de ma faute. Ma faute de mettre accrocher à toi. Désolé que la fleche est traverser ma peau, est entrer dans mon coeur et ne voulais pas en ressortire. Et pourtant j'ai essayer de l'enlever... Je n'ai pas su te dire non ou oui au bon moment.. Je t'aime

aspirations, et non pas manger des nourritures peu agréables ou mettre des habits primitifs. » Al-Djunayd a dit : « J’ai entendu Sarân dire : Certes Allâh a éloigné le bas-monde de Ses amis [Awliyâ], l’a chassé auprès de Ses élus et l’a soufflé des cœurs de ceux qui l’aiment parce qu’Il ne l’a pas voulu pour eux. » La demeure (traduction rapprochée) : « C’est toi que nous adorons, C’est de Toi que nous implorons le secours. » Est la demeure de l’ascétisme. Allâh - Ta’âla

souhaite chaque seconde que mon existence s'arrête, J'ai commis une erreur qui a mis fin à mon bonheur : Celle de t'aimer, du plus profond de mon coeur. La pluie m'accompagne dans mon désarroi, L'orage retentit puisque tu n'es plus plus la Cependant, je n'avouerai jamais la douleur de ton départ, Je préfère sourire du matin au soir. Mon coeur se serre lorsque je te croise ton chemin, Mes repères s'envolent, ainsi va mon destin, Une pluie ????? le long de mon visage, Prisonnière de cette

Il fait froid L'hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en proie. La bise mord ta douce main ; La haine souffle sur ta joie. La neige... Ferme ta porte à emplit le noir sillon. La lumière est diminuée l'aquilon ! Ferme ta vitre à la nuée ! Et puis laisse ton coeur ouvert ! Le coeur, c'est la sainte fenêtre. Le soleil de brume est couvert ; Mais Dieu va rayonner peut-être ! Doute du bonheur, fruit mortel ; Doute de l'homme plein d'envie ; Doute du prêtre et

sensations produites par l'agonie : “un froid inconnu”, et la reprise du mot “cœur”, siège de la passion qui doit donc être le premier puni : “dans ce cœur expirant”. La tirade se clôt donc de façon solennelle, de façon à reproduire la lente progression de la mort avec les répétitions qui ralentissent l'agonie en imitant la progression du poison : “J'ai pris, j'ai fait couler”, “Jusqu'à mon cœur… / Dans ce cœur…”. On note le rythme final, longue phrase ralentie par les anaphores de “déjà”

T'AI DEMANDé si j'étais jolie, tu m'as repondu non ... je t'ai demandé si j'etais dans ton coeur, tu m'as repondu non ... je t'ai demande si tu pleurerais si je partais, tu m'as repondu non ... Alors j'ai commence a marcher... et tu m'as attraper la main et tu m'as dit: je ne t'aime pas bien, mais je t'aime tu n'es pas belle mais tu es magnifique tu n'es pas dans mon coeur mais tu es mon coeur et je ne pleurerais pas si tu pars mais j'en mourrais... Mon beau cheri aux yeux verts

mort.   Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis ævi spatium. L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé dans son cœur. Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette eau profonde et triste, qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme.   Qu’est-ce que les Contemplations ? C’est ce qu’on pourrait appeler, si le mot n’avait quelque prétention

d’un mort. Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes. Grande mortalis ævi spatium. L’auteur a laissé, pour ainsi dire, ce livre se faire en lui. La vie, en filtrant goutte à goutte à travers les événements et les souffrances, l’a déposé dans son cœur. Ceux qui s’y pencheront retrouveront leur propre image dans cette eau profonde et triste, qui s’est lentement amassée là, au fond d’une âme. Qu’est-ce que les Contemplations ? C’est ce qu’on pourrait appeler, si le mot n’avait quelque prétention,