Le Souffle au cœur

avait d'étoiles ! Tant son calme était frais ! Tant son souffle était doux ! Tant elle éteignait bien ses rumeurs apaisées ! Tant elle répandait d'amoureuses rosées Sur les fleurs et sur nous ! Moi, j'étais devant toi, plein de joie et de flamme, Car tu me regardais avec toute ton âme ! J'admirais la beauté dont ton front se revêt. Et sans même qu'un mot révélât ta pensée, La tendre rêverie en ton coeur commencée Dans mon coeur s'achevait ! Et je bénissais Dieu, dont la grâce infinie

similaires. - Il y a bien des lunes de cela, commença le vieillard, notre Contrée ne dépendait pas des dieux et déesses pour exister... Aénor s'interrogea sur cette phrase, d'aussi loin qu'il s'en souvenait il avait toujours cru que les dieux étaient le cœur même de leur civilisation. Voyant les visages interrogatifs de ses compagnons le vieux reprit : -Oh ils avaient toujours existé mais se souciaient trop peu de cet endroit pour l'influencer… De la Terre naquit deux sœurs jumelles immortelles, dans

se rend compte que Rimbaud a un gout immense pour la révolte et l’aventure. A partir de ses 16 ans, il multiplie les fugues et dira lui-même : « Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre ». Au cœur de son siècle, Rimbaud s’inspire de la guerre opposant la France à l’Autriche pour écrire certains de ses poèmes, mais surtout de son grand désir de liberté. Vers 1975, à la fin de sa liaison avec Verlaine, il s’engage dans les troupes coloniales.

m'égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu'il fallait peu de chose à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s'élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du nord sur le tronc d'un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient

appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux : c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. 14 J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. 15 Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. 16 J'ai dit en mon coeur : Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup

message oral d’un individu à un autre est facilement altéré et ouvre plus grande la porte à l’erreur, à l’interprétation, à l’incompréhension. Et j’en viens à rêver d’un monde plein de regards, d’écoute et de silence. Le silence n’est-il pas le souffle du logos : car, avant que le monde soit, le silence a précédé le verbe, de même que la nuit a précédé le jour. Pour ma part, le silence pur n’existe pas : il est une question d’amplitude, de relativité. Il fait partie du rythme de la vie. Toute

Ces 3 textes sont : A/ "Il pleure dans mon coeur", Paul Verlaine Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! B/ "Le Chandelier", Alfred

lui tarde d'éclairer d'une aura diaphane ces deux amants là!... L'homme de guerre...La dame de beautée... Le voir bruler ses paumes aux courbes de son corps... La voir griser son âme au vin de sa tendresse... Le voir secher ses larmes au souffle de sa bouche... Et la voir haleter sous des caresses pures! La mer de la tranquilité à perte de vue...Grise poussière et silence profond. Depuis longtemps déja il cherche ses distractions sur cette planête là bas...Tout en bas!...Monde de

souffrent de l’injustice sociale, considérées comme inférieures, donc dépourvues de tout pouvoir de prendre une décision. Cette catégorie de femmes doit seulement accepter, procréer et se taire ! Najia Bennani a voulu apporter à ces voix un souffle d’optimisme et d’espoir, elle a voulu aussi dénoncer la discrimination raciale, l’injustice sociale, la violence, l’intolérance et l’irresponsabilité… ». Le recueil est composé de 54 poèmes qui tournent autour des thèmes suivants :            -l’exil

circulartion du sang : cœur et vaisseaux sanguins. Le cœur est un muscle, un muscle vital qui n’est jamais au repos. Le sport permet d’entraîner le cœur à l’effort : le cœur devient plus fort (le volume maximal de sang augmente) et plus endurant. Conséquences : il bat plus lentement au repos, ne s’emballe pas au moindre effort (au contraire, plus on fait du sport régulièrement, plus on peut faire du sport sans que le cœur ne s’affole, ni même ne batte très vite), bref, le coeur se fatigue moins et